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  12/05/2009

Apeca BtoB transaction news


APECA BtoB Transaction News - avril 2009


 

Sphère publique

 

E-marchespublics.com, pour recevoir tous les appels d'offres - Batipole.com 
Le site e-marchespublics.com, spécialiste des marchés publics en ligne, diffuse désormais plus de 400 000 appels d´offres de marchés publics par an. Pionnière de la dématérialisation des marchés publics depuis 2003, la plateforme E-marchespublics.com continue sa progression et sa spécialisation sur le segment des marchés publicsélectroniques, en concentrant les principales sources du marché français via un moteur de recherche global intuitif. Les 110 000 entreprises enregistrées au site peuvent désormais accéder sur un portail unique aux principales sources d´appels d´offres du marché français, dont le BOAMP (Bulletin Officiel des Annonces de Marchés Publics), le JOUE (Journal Officiel de l´Union Européenne), et toujours les marchés publicsdématérialisés du site E-MP (E-marchespublics.com). L´utilisation de la plate-forme e-marchespublics.com permet de gérer avantageusement cette veille avec de nombreuses fonctionnalités automatiques : - Système d´alerte e-mail par mot-clés, par zone géographique. - Pré-remplissage automatique des formulaires de candidature - Recherche automatique des marchés en temps réel d´un simple clic. - Interface de gestion complète incluant historique et traçabilité des participations.

http://www.batipole.com/e-marches-publics-appels-d-offres-actualite-2916.html

 

 

Vers un recensement électronique des marchés
Les acheteurs publics pourront-ils bientôt remplir sous format électronique leurs fiches de recensement économique des marchés publics ? C’est tout le sens du projet Re@p (Recensement économique des achats publics), présenté en avril par l’Observatoire économique de l’achat public (OEAP), au cours d’un atelier sur la dématérialisation. 

Actuellement, l’envoi de fiches électroniques reste une exception et ne peut se faire qu’après accord préalable de l’Observatoire. Cet organisme, rattaché au Premier ministre, organise chaque année le recensement complet des données pour les marchés supérieurs à 90 kEuro, les informations étant recueillies par sondage au dessous de ce seuil. Actuellement, la règle demeure la saisie des données sur une fiche papier. Chaque année, plusieurs dizaines de milliers de fiches sont ainsi envoyées par les collectivités locales, l’Etat et ses établissements publics ou les entités soumises à l’ordonnance de 2005. Ces fiches doivent ensuite être ressaisies manuellement par l’administration, avec tous les risques d’erreurs que cela comporte.

http://www.decision-achats.fr/xml/Breves/2009/05/06/29332/Vers-un-recensement-electronique-des-marches/?iPageNum=1

 

 

 

Bercy veut booster l’avancée de la dématérialisation
Vade-mecum et guide de bonnes pratiques, autant d’outils initiés par la direction des affaires juridiques de Bercy pour faciliter et accélérer la mise en place de la dématérialisation. ' D’ici à un an, les pouvoirs adjudicateurs pourront exiger des réponses dématérialisées à des appels d’offres. En 2010, conformément aux directives de la Commission européenne, 100 % des marchés publics devront être accessibles en ligne et au moins 50 % des marchés publics formalisés devront être passés par voie électronique', rappelle Catherine Bergeal, la directrice des affaires juridiques (DAJ) de Bercy, dans l’éditorial de la lettre de l’Observatoire économique de l’achat public (œAP) d’avril 2009.

http://www.aact.asso.fr/articles/index.php?TYP_ID=1&RUB_ID=4&oldRUB_ID=4&SOU_ID=16&oldSOU_ID=16&oldid=3942&id=3929

 

 

 

 


Achats publics : La plate-forme de sourcing de l’OGC monte en gamme
La plate-forme d’e-sourcing de l’Office of Government Commerce (OGC) du trésor britannique, vient d’être enrichie de plus de cent fonctionnalités. Une façon pour BravoSolution, qui fournit le socle technique, de se préparer à la remise en concurrence du marché. Lancée en 2005 à l’attention des quelque 10 000 entreprises du secteur public britannique, suite à un appel d’offres européen, l’OGCbuying solutions a notamment été améliorée sur la partie gestion des négociations : création de dossiers communs pour partager des informations en interne et avec les fournisseurs, réalisation de questionnaires RFX personnalisés, suivi optimisé du processus de négociation, etc. BravoSolution lui a également adossé une plate-forme collaborative offrant aux utilisateurs de partager leurs expériences et d’enrichir leurs compétences en matière d’e-achat, par le biais d’une certification et d’une formation en ligne. Cette plate-forme BEN (BravoSolution Education Network) compte déjà plus de 1 000 utilisateurs.

http://www.lettredesachats.fr/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/3E/B7/document_article_web.phtml

 

 

 

European eGoverment Award

 La Commission européenne invite les administrations publiques d'Europe à soumettre leurs cas de bonnes pratiques en matière d'utilisation des technologies d'information et de communication (TIC) dans le cadre des European eGoverment Awards 2009. Votre cas de bonne pratique et votre expérience mettront en lumière la manière dont les technologies de l'information et de communication (TIC) contribuent à l'amélioration du service offert aux citoyens et aux entreprises d'Europe au niveau local, régional ou national. Les candidatures reçues seront examinées par un panel d'experts indépendants. En soumettant votre candidature, vous aurez peut-être la chance de gagner l'un des 5 prestigieux European eGoverment Awards 2009 décernés à Malmoe (Suède) le 19 novembre 2009 lors de la 5ème conférence ministérielle 'eGoverment 2009'. Attention, l'appel à candidatures se clôture le 10 juin 2009.

http://www.artesi.artesi-idf.com/public/article.tpl?id=18633

 

 

Administration électronique: les nouveaux référentiels seront bientôt disponibles
Le développement de l’administration électronique mobilise un réseau étendu d’acteurs : services centraux et déconcentrés de l’Etat, collectivités publiques, éditeurs de logiciel, prestataires de services, etc. Pour accroître la cohérence des systèmes d’information que conçoivent, développent et opèrent tous ces acteurs, le partage de standards et de normes est indispensable. En ouvrant references.modernisation.gouv.fr, la direction générale de la Modernisation de l'Etat a souhaité faciliter l’accès aux documents de référence qui présentent l’état de l’art dans ces domaines.
http://www.references.modernisation.gouv.fr/

 

 

 

Réglementation

 

Commande publique : les recours facilités pour les entreprises
La transposition de la directive recours, c'est fait ! L’ordonnance relative aux procédures de recours applicables aux contrats de la commande publique est parue au Journal Officiel du 8 mai.
Le gouvernement avait reçu habilitation via la loi du 28 juillet 2008 relative aux contrats de partenariat de procéder par ordonnance pour transposer d'ici au 29 juillet 2009 la directive dite "recours". Cette directive du 11 décembre 2007 a pour but d'améliorer l'efficacité des procédures de recours en matière de passation des marchés publics.
Cette ordonnance renforce les possibilités de recours des opérateurs économiques qui auraient été évincés lors d'une passation de marché, parce que les obligations de publicité et de mise en concurrence n'auraient pas été respectées. Ce faisant, elle améliore également la sécurité juridique que recherchent les pouvoirs adjudicateurs.
Introduction de la notion de référé contractuel
Ce texte modifie le référé précontractuel, et introduit la notion de référé contractuel.
Ces recours, ouverts pour des manquements aux obligations de publicité et de mise en concurrence, seront ouverts devant l'ordre administratif et devant l'ordre judiciaire, selon les règles de répartition des compétences actuellement en vigueur pour le référé précontractuel.
D'une part, le référé précontractuel, qui permet au juge de statuer avant la signature du contrat, est rendu plus efficace : la définition des contrats concernés est précisée et l'introduction du recours suspend automatiquement la signature du contrat. De plus, le principe d'un délai pendant lequel le juge ne peut statuer a pour objet de faire en sorte qu'il ne statue que lorsque tous les recours ont été déposés.
D'autre part, l'ordonnance crée également un référé contractuel qui permet au juge d'intervenir avec une efficacité comparable une fois le contrat signé.
La signature du contrat ne fera ainsi plus obstacle à ce que soient immédiatement sanctionnées les atteintes les plus graves aux obligations de transparence et de mise en concurrence. Le juge est doté de pouvoirs nouveaux : prononcer l'annulation ou la résiliation du contrat, en réduire la durée ou infliger des pénalités financières. Le recours contractuel est ouvert pour les manquements aux obligations de publicité et de mise en concurrence, en cas de violation du délai de suspension, ou en cas de non-respect de la suspension de la signature du contrat liée à la saisine du juge du référé précontractuel.
A souligner : tous les contrats de la commande publique qui entrent dans le champ des directives 2004/17/CE et 2004/18/CE du Parlement européen et du Conseil du 31 mars 2004 sont soumis aux recours introduits par cette ordonnance. Pour assurer un système de recours uniforme en matière de contrats de la commande publique, les délégations de service public sont maintenues dans le champ du référé précontractuel et sont incluses dans le champ du référé contractuel.

http://www.lemoniteur.fr/P_article.php?id=606566

 

 

Délais de paiement : 70 jours fin de mois au 1er janvier 2009... les décrets sont signés pour le BTP
Les décrets validant les deux principaux accords dérogatoires à la réduction des délais de paiement à 45 jours fin de mois sont parus au Journal Officiel. Au grand soulagement des fédérations professionnelles du secteur.
Enfin ! Le décret "portant dérogation des dispositions relatives aux délais de paiement dans la filière des produits, bois, matériaux et services pour la construction et la décoration dans le secteur du BTP", et le décret "portant dérogation aux dispositions relatives aux délais de paiement dans le secteur du sanitaire chauffage et du matériel électrique" sont parus au Journal officiel du 2 mai 2009. Ils mettent fin à la longue période d'incertitude que connaissaient les professionnels du secteur depuis le 1er janvier dernier.
Concrètement, la loi de modernisation de l'économie (LME) prévoyait une réduction des délais de paiement à 45 jours fin de mois, ou 60 jours date d'émission de la facture, à compter du 1er janvier. Principe applicable à toutes les entreprises, sauf accord dérogatoire interprofessionnel, validé par décret après avis de l'Autorité de la concurrence.
Les deux principaux accords, BTP et sanitaire chauffage/matériel électrique, avaient bien été signés fin 2008, et les avis de l'Autorité de la concurrence rendus courant mars 2009. Mais faute de décret, les entreprises se trouvaient dans une "zone grise", en théorie soumises au principe strict de la LME, et donc tenues de payer leur fournisseur à 45 jours fin de mois. En pratique toutefois, les fédérations avaient donné consigne à leurs adhérents de respecter l'accord dérogatoire, et donc un paiement à 70 jours fin de mois. Un délai que certains fournisseurs refusaient d'appliquer à leurs clients, se retranchant derrière le fait qu'ils n'étaient pas adhérents des fédérations signataires des accords. Désormais cet argument ne tient donc plus : les décrets précisent en effet clairement que "le délai dérogatoire maximum est étendu à tous les opérateurs dont l'activité relève des organisations professionnelles signataires de l'accord". 
Le calendrier de réduction des délais de paiement a en outre bien été unifié par les décrets. Il est donc le suivant :
- 1er janvier 2009 : 70 jours fin de mois
- 1er janvier 2010 : 60 jours fin de mois
- 1er janvier 2011 : 50 jours fin de mois
- 1er janvier 2012 : 45 jours fin de mois.

http://www.lemoniteur.fr/P_article.php?id=606482

 

 

e-commerce

 

Vers un paiement à l'expédition, labellisé Fevad
Après avoir annoncé en mars dernier sa volonté de renforcer la protection des consommateurs, la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) travaille actuellement au déploiement de recommandations concrètes.

Le 3 mars 2009, la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) annonçait plusieurs mesures chargées de renforcer la protection des consommateurs. Il avait été question, notamment, de la mise en place d’un débit à l’expédition pour les paiements par cartes bancaires ou d’un système de garantie de paiement par un tiers. Alors que des groupes d’experts sont actuellement en train de réfléchir à l’application concrète de ces évolutions, retour sur les raisons ayant motivé ces changements.

Tout débute le 27 octobre dernier, à la suite du dépôt de bilan de la Camif Particuliers, suivi, en décembre, de la faillite de ShowRoom2001. Ces deux affaires ont placé sur le devant de la scène la vulnérabilité des acheteurs à distance – payant par avance leur commande – par rapport aux acheteurs classiques. Suite à une vague de réclamations et de plaintes, Luc Chatel, secrétaire d’État chargé de l’Industrie et de la Consommation, avait alors saisi la Fevad afin qu’elle propose des pistes de réflexion pour assurer une meilleure protection des consommateurs en cas de faillite.

L’engagement de la Fevad

Le rapport remis par la Fevad quelques mois plus tard envisageait donc plusieurs pistes dans le domaine de la prévention des risques, de l’information du consommateur ou encore du renforcement de ses droits. Parmi elles, le lancement d’une “norme” Fevad, prévu pour septembre, rendrait obligatoire pour les membres de la Fevad l’adoption du débit à l’expédition ou d’un système de garantie financière par un tiers. En effet, lors de faillites, les consommateurs se retrouvent à la fin de la liste des créanciers. Récupérer un produit payé mais non livré ou se faire rembourser relève alors bien souvent du parcours du combattant.

« Nous souhaitons vivement mettre en place ce système nous-mêmes », explique Marc Lolivier, délégué général de la Fevad. Mais pour le paiement à expédition, de nombreuses difficultés d’ordres pratique et technique doivent être résolues. » Comment faire, concrètement, en cas de paiement par chèque, pour des produits fabriqués sur mesure ou pour les règlements échelonnés ? « Cela pose également certains problèmes pour les sites de ventes privées, par rapport à leurs besoins en fonds de roulement. Dans ce cas, un système de garantie financière par un tiers est plus adapté. Nous devrons également laisser le temps à nos adhérents de mettre ces systèmes en place et parvenir à un consensus au niveau de l’assemblée générale », ajoute-t-il. Un consensus difficile En effet, pour Alexandre Theriot, responsable marketing chez Achat VIP, la solution du paiement à expédition n’est pas adaptée. « Nous nous orientons vers la mise en place d’un système de paiement à réception, qui rassurera davantage nos clients. Dans le secteur des ventes privées, les délais de livraison sont souvent de deux semaines et les clients peuvent rapidement s’inquiéter de ne pas recevoir un produit qu’ils ont déjà payé. Pour pouvoir assurer nos besoins en fonds de roulement, il nous faudra également choisir un tiers de paiement qui avancera les fonds des commandes des clients. » Une solution qui sera mise en œuvre chez Achat VIP dans les six mois à venir et qui devrait, selon Alexandre Theriot, faire tache d’huile chez les acteurs de la vente privée. De fait, cette norme se révèle autant un exercice politique que technique. En effet, ces solutions sont déjà effectives, par exemple chez PriceMinister, “intermédiaire de confiance” dans le C to C. La société bloque le paiement au vendeur jusqu’à la bonne réception du produit conforme. Fia-Net, qui joue également un rôle d’intermédiaire de paiement, propose avec “ReceiveAndPay” le paiement à livraison. David Botvinik, directeur géneral de la société, est donc assez critique : « Le paiement à l’expédition est une avancée. Mais, face à une escroquerie massive sur la conformité des produits ou à des défaillances des réseaux de transport, cette solution ne sera pas efficace. De plus, le commerçant est un peu juge et partie et, en cas de mauvaise foi du commerçant, le “label” Fevad ne sera pas efficace. Autant anticiper et passer directement au paiement à réception. Le surcoût de 0,3% par rapport à une solution de paiement classique n’est pas exorbitant », estime-t-il. Alors que le paiement à l’expédition peut assurément prévenir certains risques, la mise en place d’un système de garantie par un tiers (banques probablement) pourrait, quant à elle, s'avérer complexe du point de vue des internautes. Pourtant, pour Marc Lolivier, « si l’accessibilité au métier d’e-commerçant est facile, il faut absolument l’accompagner et la réglementer ». Mais il n’y a pas de solution « idéale », souligne-t-il. Conclusion ? Le compromis qui émergera, entre les preuves de confiance qui doivent être apportées aux consommateurs et les intérêts parfois divergents des e-commerçants, ne satisfera probablement pas toutes les parties prenantes.

http://www.ecommercemag.fr/xml/Article-A-La-Une/952/Vers-un-paiement-a-l-expedition-labellise-Fevad-/?XType=XTM&xtor=EPR-3

 

 

 

Lancement du dispositif Boutic pour développer le e-commerce
La communauté de communes du Sud-Arrageois a répondu à un appel à candidature de la Région sur le dispositif Boutic qui vise à lancer des actions d'information et de sensibilisation pour développer le e-commerce. Les premières actions ont débuté au cybercentre de Croisilles. Le dispositif Boutic est destiné aux artisans, commerçants, entreprises de services, exploitants agricoles et associations du territoire. Internet est devenu un nouvel espace d'information, de choix et d'achat : on se renseigne, on sélectionne et on paie en ligne. Aujourd'hui, les consommateurs recherchent et achètent des produits et services presque systématiquement par internet. Pour se développer et se faire connaître, les acteurs doivent maîtriser cet outil.

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Arras/actualite/Autour_d_Arras/Secteur_Arras_Sud/2009/05/03/article_lancement-du-dispositif-boutic-pour-deve.shtml

 

 

 

Carte d'achat/carte de paiement

 

Recession is a good time to grow your p-card programs
According to some observers, any economy is a good economy for using purchasingcards, because they are so effective in managing spend and reducing costs. So, if you believe the experts, here are your options: If you don´t have a p-card program, a down economy is a good time to start one. If you do have one, it is a good time to create a formal process to 'grow' it. We expect a pretty dramatic uptick in the use of p-cards in 2009, about a 5% overall increase,' says Frank Martien, a partner with First Annapolis Consulting in Linthicum, Md. This is primarily because p-cards serve as an effective spend management tool and in this market, everyone can use more of those. P-cards can improve spend visibility and create controls over who can spend what. 'Being in a recession, corporate spending may decrease this year, and p-cards can help to better control this,' he explains. But even after the recession, First Annapolis believes that the increased growth of p-cards will definitely stick. 'Once companies see the benefits of p-cards, they continue to use them,' says Martien. And as the economy improves and spending increases, then the growth will really skyrocket. Another trend that bodes well for the growth of p-card programs is that paymentcards in general represent only about 1–2% of overall commercial expenditures, which provides a lot of room for growth, Martien says. He sees the main areas for growth opportunities in the future being in the indirect spend categories, especially travel management.

http://www.purchasing.com/article/CA6654002.html?rssid=268

 

 

 

 

SEPA

 

Le prélèvement SEPA sera disponible en France à partir de novembre 2010 
Communiqué commun Comité national SEPA - Banque de France - FBF

Le Comité national SEPA s’est réuni le 29 avril 2009 pour examiner la date et les modalités du lancement du prélèvement SEPA à la suite des déclarations des autorités européennes relatives aux commissions d’interchange, au vote par le Parlement européen du nouveau règlement 2560, et à la décision du 31 mars 2009 du Conseil européen des paiements (EPC – European Payments Council). Le Comité national a pris en considération les délais d’adaptation qui résulteront du fait que, dans une majorité de pays, la transposition de la Directive sur les services de paiement interviendra vraisemblablement peu de temps avant l’échéance du 1er novembre 2009. Il a également noté la nécessité de clarifier les conséquences pour les consommateurs, les créanciers et les banques de la suppression des commissions d’interchange sur le modèle économique du prélèvement. Le Comité national a donc retenu la date du 1er novembre 2010 pour le lancement en France du prélèvement SEPA. Les travaux de préparation ont été relancés pour permettre de tenir cette échéance. Le Comité national SEPA informera les autorités européennes de sa décision.

http://www.fbf.fr/web/internet/content_presse.nsf/(WebPageList)/A0A684297512FDCFC12575A7003A0A7C

 

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EU Approves revisions to Regulation 2560 

 France defers implementation of SEPA. Will others follow? In a communiqué issued by the French Banking Federation here (in French), the French SEPA committee has announced that it has broken ranks with the European Payments Council (EPC) and has deferred the implementation of the SEPA Direct Debit until November 2010, exactly one year after the date agreed by the EPC. The French dispute is with the European Commission rather than with the EPC, and relates to certain aspects of the interchange fees which will be payable in relation to direct debit transactions under new revisions to Regulation 2560/2001. The presentation of a united front by the bankers of Europe has been the foundation stone of the EPC, and this breaking of ranks may significantly weaken their position in Europe. The French communiqué amounts to the breaking of promises given by EPC to the EU Commission for a general SEPA-wide Direct Debit launch in November 2009. Certain other countries are known to have issues concerning the launch date, and the French move may bring those issues into sharper focus and cause others to defer. Other countries, particularly Britain, have accelerated their SEPA-related programs, and so a clear divide is emerging. The French bankers discomfiture with SEPA has previously been covered on this website. It has been going on for some time and the French have boycotted many committee meetings of the EPC.

http://www.sepa.ie/news/article/eu-approves-revisions-to-regulation-2560.html

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dématérialisation

 

 

Bouygues Construction : Dématérialiser 1,5 million de factures par an
Le groupe de BTP (9,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires) déploie, dans l’ensemble de ses entités à travers le monde, un système de numérisation et de traitement automatisé de ses factures fournisseurs. La réalisation de ce système de dématérialisation remonte à 2007, dans le cadre du projet Edifice de refonte et d’harmonisation du système d’information financier autour du progiciel SAP. Objectifs : rapprocher la comptabilité des processus opérationnels de gestion, notamment les achats (1,3 milliard d’euros en 2007, 240 acheteurs), et automatiser les tâches à faible valeur ajoutée. En juin 2007, le choix technique s’est porté sur les solutions de dématérialisation de ReadSoft, déjà exploitées en interne pour certaines opérations comptables. « Ce choix rendait la bascule vers le nouvel environnement informatique relativement transparente, explique Bernard Cottinaud, directeur du centre de compétences SAP chez Bouygues Construction. Il garantissait aussi la flexibilité que nous recherchions, pour faire face à la grande disparité organisationnelle et technique entre nos diverses entités à travers le monde ».

http://www.lettredesachats.fr/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/3E/AF/document_article_web.phtml

 

 

Wells Fargo introduces online invoicing for small businesses
Wells Fargo & Company (NYSE:WFC), in recognition of Earth Day, today introduced Online Invoicing through Wells Fargo Business Online, a time and money-saving online banking offering for small businesses. The new service makes it easier for small business owners to create and send invoices and receive payments online. 'Online invoicing gives small business owners an opportunity to take an enormous amount of paper out of the waste cycle and to reduce the need to physically transport invoices and payments across the country,' said George Throckmorton, senior director for NACHA - The Electronic Payments Association and a spokesperson for PayItGreen. 'Today is Earth Day and we applaud Wells Fargo for introducing Online Invoicing because it is good for the environment.' According to Aite Group, a leading independent research and advisory firm, most small business owners manually create their invoices or use a third party solution. In addition, a recent report stated that despite small business owners´ interests in electronic invoicing, only a few U.S. banks currently offer the service.

http://www.finextra.com/fullpr.asp?id=27184

 

 

EBG et Deskom créent un forum interentreprises d’échange et de retour d’expériences sur les enjeux de la Dématérialisation et de la Facture Electronique 
Deskom, opérateur français de facturation électronique de référence, et l’EBG (Electronic Business Group) annoncent la création de la Commission sur la Facturation Electronique. L’EBG et Deskom ont souhaité s’associer afin de proposer aux adhérents de l’association un forum dédié à la facturation électronique animé par les entreprises pour les entreprises et destiné à leur servir de lieu d’échange et de contact permanent. L’enjeu pour la France correspond à une économie récurrente de l’ordre de 20 milliards d’euros à réaliser par an, sur les 35 milliards d’euros que coûte le traitement des factures B2B papier chaque année, l’équivalent des investissements en R&D des secteurs publics et privés. On sait aujourd’hui que la quasi-totalité des entreprises du CAC 40 s’est déjà lancée dans la facturation électronique. Il reste encore cependant à connecter l’ensemble du tissu économique français et à faciliter la communication entre fournisseurs et acheteurs pour accélérer ce déploiement est critique. Le déploiement de la facture électronique est un mécanisme de réseau, dans lequel aucun acteur n’a de visibilité globale sur ce que font les autres acteurs. Il est difficile de savoir qui est connecté à qui, qui est prêt à le faire, dans quelles conditions et quels volumes de factures sont réellement échangés. 

http://www.daf.info/EBG-et-Deskom-creent-un-forum-interentreprises-d-echange-et-de-retour-d-experiences-sur-les-enjeux-de-la_a1435.html

 

 

 

 

ETUDE

 

e-administration : forte adoption des entreprises françaises
D’après une étude de l’Insee, le haut débit favorise le développement des démarches administratives sur Internet. Le télétravail progresse aussi, à hauteur de 22% des entreprises, tout comme les OS libres (14%). Avec la généralisation de l´accès haut débit dans les entreprises, les usages de l´Internet tendent naturellement à se développer, avec des différences significatives cependant selon les secteurs d´activité et la taille de la structure. Dans son étude 2008 consacrée aux technologies de l´information (publiée en mars 2009), l´Insee constate ainsi une montée en puissance de l´e-administration et du télétravail au sein des entreprises. L´institut note toutefois que la marge de progression reste importante dans le domaine de la dématérialisation des relations avec l´administration. Ainsi en 2007, 72% des entreprises comptant au moins 10 salariés ont recouru à l´e-administration, soit 77% de celles disposant d´un accès Internet. En 2005, elles étaient 69%. La France se situe malgré tout au-dessus de la moyenne européenne qui est de 68%.

L´e-achat public ne décolle pas: entre 2005 et 2007, la progression de l´e-administration est plus forte chez les petites entreprises, avec notamment une augmentation de plus de 10 points pour celles de 10 à 19 salariés (70%). Le taux d´utilisation est resté stable sur la période (aux alentours de 87%) pour les entreprises d´au moins de 250 salariés.

http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39392236,00.htm#storytalkback

 

 

Enquête du Gartner
Quel impact de la crise sur le Green IT ?
La crise dans laquelle le monde est plongé depuis le mois de septembre a-t-elle eu impact sur le comportement des entreprises et de leur DSI ? Selon le Gartner qui vient de publier une étude intitulée « The impact of Recession on Green IT », le Green IT reste une priorité de long terme et majorité des projets dits green sont maintenus dans la mesure où ils ont impacts significatifs sur la réduction des coûts.
Il n'existe pas vraiment de définition très précise de Green IT, mais le Gartner anticipe que les entreprises continuent à mettre l'accent sur les projets qui améliorent l'efficacité énergétique et implicitement entraînent une réduction des coûts et de la facture électrique.
La réalité des projets Green IT de ces 18 derniers mois ont été largement centrés sur l'optimisation de l'infrastructure IT avec en plus une dimension portant sur la réduction des coûts ou sur la suppression des coûts cachés inutiles. Les bénéfices liés au concept du Green IT sont en général une conséquence de projet ou au mieux un facteur qui renforce ce que l'on appelle Outre-Atlantique un "business case "

Mais en raison des conclusions désormais et partagées par la grande majorité, l'engagement pour améliorer les performances environnementales des entreprises implique un réel changement. La radiographie connue de la dépense énergétique montre les progrès qui peuvent être accomplis dans ce domaine. Car si les constructeurs ont depuis deux ans intégré cette dimension dans leurs discours marketing, il faut bien reconnaître peu d'entre eux et peu de DSI ne se préoccupaient réellement de ce problème.
De telle sorte que les matériels qui étaient proposés étaient synonymes de gaspillage d'énergie. De telle sorte que l'efficacité énergétique d'un centre informatique a été évaluée en 2007 à 3%. Au niveau du data center, 55% de l'énergie est consommé par l'infrastructure et 45% par les matériels informatiques. Au niveau de l'infrastructure matérielle (les serveurs), 70% sont utilisées par les alimentations, les mémoires, les ventilateurs et les disques contre 30% par les processeurs. Enfin, au troisième niveau, celui des processeurs, 80% est consommé par ceux qui sont passifs et 20% par ceux qui sont actifs. C'est la combinaison de ces différentes proportions qui aboutit à ce taux d'efficacité de 3%.
L'Europe est en avance
Bien que certaines entreprises leaders sont impliqués dans de réelles ruptures comportement et de leur stratégie face à cette nouvelle problématique, la grande majorité n'a pas encore atteint ce niveau de conscience. En dehors de l'Europe et de quelques entreprises qui ont voulu prendre position sur le sujet indique Simon Mingay, analyste du Gartner et auteur de cette étude, la pensée qui est encore dominante est que le Green IT constitue un coût supplémentaire. D'où le fait que les préoccupations liées au Green IT ont tendance à diminuer face à la crise. Toutefois, cette enquête réalisée par le Gartner auprès de 62 entreprises montre que la récession a un impact limité sur la priorité accordée aux projets Green. C'est aux Etats-Unis que l'effet négatif sur ces projets est le plus important. A l'inverse, seulement 2% et 3% des entreprises du Royaume-Uni et allemandes ont réduit la priorité accordée aux projets Green IT.
Sur cette question, le secteur économique une grande importance. Ainsi le secteur public, les « utilities » (eau, gaz, électricité...) ont tendance à accentuer leurs priorités à leurs projets Green IT ; celles des télécoms, de l'industrie manufacturière, des secteurs financiers, du transport et de la santé les mettent au second plan.
De plus, la crise a un effet multiplicateur. Les entreprises déjà en pointe renforcent leur stratégie Green It alors que ceux qui sont à la traîne semblent « profiter » de la crise pour ajourner ou repousser des projets.
Logiquement, les projets Green IT ayant une dimension réduction des coûts ou la suppression de coûts inutiles sont ceux qui sont le moins touchés par la crise. Et d'ailleurs, parmi les raisons invoquées par les entreprises pour ne pas améliorer leur efficacité énergétique, celle qui est citée assez largement en premier est liée aux contraintes budgétaires.
Le Green IT ne doit pas être un prétexte
Et l'avenir ? A l'exception de la zone Asie/Pacifique la majorité des entreprises qui n'ont pas encore de projets green IT déclarent qu'elles vont s'attaquer à ce problème.
Le Gartner conseille aux fournisseurs de maintenir un engagement à long terme sur la performance énergétique de leur activité, produits et services. En 2009, pour les entreprises dont la conscience des bénéfices financiers des projets Green II est faible et qui n'ont pas d'objectifs environnementaux ; nous sommes passés selon le Gartner d'une situation où le Green correspond à la cerise sur le gâteau à une autre où la non considération de la dimension Green pourrait réduire l'acception de projets. Le cabinet américain considère que les bénéfices spécifiques liés à la dimension Green ne doivent pas être poussés via des projets de réduction de coûts. Si les bénéfices du Green ne correspondent pas directement à un objectif métier, le Gartner conseille aux pays de ne pas les mettre en avant.

http://www.itrmanager.com/articles/90143/enquete-gartner-br-impact-crise-green-it.html?key=28eb251458c55ce1

 

 

Pour info…


Siemens : 20 % de fournisseurs en moins

 Le groupe allemand se fixe d’ambitieux objectifs achats à moyen terme, combinant réduction du panel, montée en puissance des achats centralisés et des achats dans les pays émergents.

La réduction du panel fournisseurs à l’échelle du monde, dans des proportions de 20 %, doit s’accompagner d’un accroissement de la coopération avec les fournisseurs clefs. La directrice des achats du groupe, Barbara Kux, veut aussi accroître la globalisation des achats entre les trois branches du groupe (énergie, industrie et santé).Le montant d’achats renégociés et globalisés à court ou moyen terme est de 19 milliards d’euros. Cette démarche implique un travail en réseau des acheteurs, qu´ils soient acheteurs leaders sur des famille d´achats mondiales, acheteurs projets ou acheteurs locaux au sein des 20 clusters géographiques du Groupe. En 2008, le montant global des achats des trois branches de Siemens s’est élevé à 40 milliards d’euros (dont 810 millions en France), pour un chiffre d’affaires de 77,3 milliards d’euros. Ces achats comprennent 12 milliards d’achats hors production (fournitures de bureaux, énergies, voyages, informatiques, investissements…). Les achats de production sont répartis entre 6,8 milliards d’euros d’achats globalisés (notamment l’acier et les composants métalliques) et 21,2 milliards d’euros d’achats gérés séparément par les trois branches. Le troisième objectif annoncé par Siemens est une augmentation de la part de ses achats dans les pays émergents, qui doit passer de 20 à 25.

http://www.lettredesachats.fr/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/3F/26/document_article_web.phtml

 

 

 

Manpower France : Migration vers un outil d’eprocurement en ligne

La filiale française de l’entreprise de travail temporaire a entrepris le remplacement de son système d’e-procurement, basé sur le module dédié de l’ERP Peoplesoft, par la solution Perfect Procure de Perfect Commerce, en mode hébergé. En lançant ce chantier, Manpower France (151 millions d’euros d’achats, 4 acheteurs et un directeur) visait un double objectif : disposer d’une solution capable de s’adapter facilement à son organisation pour apporter un meilleur service aux clients internes d’une part, profiter des avantages du mode SaaS (application accessible en ligne) d’autre part. « Le mode SaaS proposé par Perfect Commerce est une opportunité de bénéficier de plus d’innovation, à un prix beaucoup plus compétitif que dans le mode licence traditionnel », détaille Fabienne Lampel, la directrice desachats de la filiale. En outre, en plus des cinq catégories gérées dans l’outil d’e-procurement actuel (1 600 références, 35 000commandes par an). Manpower France prévoit de traiter dans Perfect Procure les achats d’informatique ainsi que ceux concernant les prestations et les travaux. La mise en place du nouvel outil, en cours, doit durer trois mois, pour un démarrage opérationnel « au début de l’été 2009 ». Pour le reste du processus d’achats, aucun autre outil n’est en place. « Un pilote est néanmoins en cours pour nous doter d’un portail d’e-sourcing », conclut Fabienne Lampel.

http://www.lettredesachats.fr/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/3F/28/document_article_web.phtml

 

 

Dièse Finance annonce la sortie de WebIF, première solution « full web » d’intégration fiscale
Sterling Commerce, une société de AT&T Inc. (NYSE:T), annonce aujourd’hui que Gates Europe, fabricant mondial de produits haute gamme pour les secteurs de l’automobile et de l’industrie, a déployé Sterling Catalog and Offer Management, module de l’offre Sterling Multi-Channel Selling Suite. La solution a simplifié et optimisé l’expérience d’achat des clients de Gates Europe, en réduisant les coûts de gestion des commandes, tout en venant soutenir la stratégie d’expansion géographique de la société. Grâce à Sterling Catalog and Offer Management, les plus de 1 000 distributeurs de Gates Europe ont désormais accès au eCatalogue et au site de eCommerce de la société, via une connexion personnalisée à un portail en ligne qui relie le catalogue de produits externe aux systèmes internes de gestion des commandes. Ce portail a significativement augmenté le volume des transactions réalisées en ligne, soit 22% de produits supplémentaires vendus chaque année via le site de eCommerce.

http://www.cfo-news.com/Diese-Finance-annonce-la-sortie-de-WebIF,-premiere-solution-full-web-d-integration-fiscale_a9961.html

 

 

 

.DIMO Gestion et ReadSoft s'associent pour aider les entreprises à dématérialiser et automatiser le traitement de leurs documents
Principal bénéfice de cette double compétence : l’élaboration d’une chaîne continue de traitement, sans aucune rupture de la capture automatique du document dans les solutions ReadSoft jusqu’à l’intégration dans le processus métier de l’entreprise grâce aux applications proposées par DIMO Gestion, qu’il s’agisse de la facture fournisseurs, du contrat, de la commande client ou des moyens de paiement. Nos clients recherchent des solutions concrètes pour améliorer leur productivité et réduire le coût de traitement de leurs documents. Grâce à ce partenariat stratégique, nous sommes désormais en mesure de répondre à leurs attentes en leur proposant une réponse complète à forte valeur ajoutée » se réjouit Jean-Paul GENOUX, Directeur général de DIMO Gestion. « Dans le cadre d’une dématérialisation du traitement des factures fournisseurs, la technologie développée par ReadSoft nous permet de garantir un haut niveau d’automatisation et de traçabilité des processus comptables, enjeux majeurs des directions financières et comptables aujourd’hui » selon les dires de Christophe RIVAYRAN, responsable du pôle d’activité « Dématérialisation » au sein de DIMO Gestion.

http://www.cfo-news.com/DIMO-Gestion-et-ReadSoft-s-associent-pour-aider-les-entreprises-a-dematerialiser-et-automatiser-le-traitement-de-leurs_a9977.html

 

 


 

 

A VOS AGENDAS

 

 

Les Etats généraux de la commande publique et de la carte d'achat

Cinq ans après la publication du décret la généralisant, cette 2ème édition des “Etats Généraux” de la carte d’achat publique est l’occasion de présenter un état des lieux de son utilisation et des attentes utilisateurs. Cette conférence est  l’opportunité de faire également le point sur la dématérialisation de la commande publique et de permettre d’appréhender plus globalement les avantages et les contraintes de nouveaux outils qui transforment la relation entre les différents intervenants

mardi 16 juin 2009 , salle Baltard, CCIP

accès gratuit , plus d'infos et inscription

 

 

Formation à la dématérialisation des factures

Comment réussir la mise en place de la dématérialisation fiscale au sein de mon entreprise ? Quels sont les enjeux? Quelles sont les formes de dématérialisation? Comment choisir la plus adaptée? Quel est le cadre légal? Quelle conduite du changement mener? Quels sont les facteurs clefs de réussite et les pièges à éviter? Quel sera le ROI? … sont quelques unes des questions abordées lors de la formation.

Prochaine session: jeudi 18 juin 2009

(quelques places encore disponibles, en savoir plus)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

APECA NEWS

APECA News, une lettre d'information sur la carte d'achat, le marché et ses acteurs,les services associés, en France et en Europe.

 

 

 

 

Association des Professionnels Européens de la Carte d'Achat 79000 NIORT, adresse de correspondance 5 rue Ste Marthe 79000 Niort

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