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  17/11/2009

Apeca BtoB transaction news


APECA BtoB Transaction News - octobre-novembre 2009


 

Sphère publique

 

Marchés publics : de nouveaux seuils au 1er janvier 2010
La Commission européenne va prochainement adopter un règlement qui fixera les nouveaux seuils communautaires de la période allant du 1er janvier 2010 au 31 décembre 2011. Quels sont ces projets de seuils ? Un règlement de la Commission européenne sera publié prochainement afin de fixer les nouveaux seuils communautaires. Bercy publiera alors un décret modifiant les seuils applicables aux marchés passés en application du Code des marchés publics et de l'ordonnance relative aux marchés passés par certaines personnes publiques ou privées non soumises au Code des marchés publics, ainsi qu'aux contrats de partenariat. Tous les deux ans, les seuils des directives européennes sur les marchés publics sont révisés par la Commission européenne de manière à respecter les engagements internationaux de l'Union pris en vertu de l'Accord plurilatéral sur les marchés publics de l'Organisation mondiale du commerce.

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/689739-marches-publics-de-nouveaux-seuils-au-1er-janvier-2010

 

 

Délais de paiement : l'accord dérogatoire "acier" enfin homologué
Dix mois après l'entrée en vigueur du dispositif de réduction des délais de paiement issu de la loi de modernisation de l'économie, l'accord dérogatoire signé dans la filière des produits aciers pour la construction vient d'être étendu par la ministre de l'Economie.La LME (article 21), qui prévoit la réduction des délais de paiement à 45 jours fin de mois au 1er janvier 2009, permet de conclure des accords dérogatoires interprofessionnels, dès lors que des raisons propres au fonctionnement du secteur concerné le justifient. Treize organisations professionnelles de la filière des produits aciers pour la construction (armement du béton) - producteurs et distributeurs, fabricants, négociants, et entreprises du BTP - ont signé un tel accord. Après avis favorable de l'Autorité de la concurrence, cet accord vient d'être homologué par décret du 2 octobre 2009: Objectif 45 jours en deux ans.La ministre de l'Economie valide le calendrier prévu par les signataires. Il est plus serré que celui adopté dans les accords BTP et sanitaire - chauffage / matériel électrique puisqu'il ne court que sur deux ans (lire notre article). Les délais maximaux de paiement pour les produits acier de la construction sont ainsi portés à soixante-dix jours fin de mois au 1er janvier 2009, soixante jours au 1er janvier 2010, et quarante-cinq jours au 1er janvier 2011. Autre point important, le décret étend ce délai dérogatoire maximum "à tous les opérateurs dont l'activité relève des organisations professionnelles signataires de l'accord" - c'est-à-dire même aux opérateurs non adhérents de ces organisations, du moment que le critère de l'activité est rempli. Conformément à la recommandation émise par l'Autorité de la concurrence qui craignait la mise en place d'une "forme de police de la profession", l'article 6 de l'accord, qui organisait la surveillance du bon respect de ses dispositions par les organisations signataires, a été supprimé.

http://www.lemoniteur.fr/161-droit-de-la-construction/article/actualite/687987-delais-de-paiement-l-accord-derogatoire-acier-enfin-homologue

 

 

 

Bercy conseille aux acheteurs publics de ne pas recourir à la procédure des marchés de définition dans l'attente d'une décision de la Cour de justice des communautés européennes
La Direction des affaires juridiques (DAJ) du ministère de l’Economie conseille aux acheteurs publics de ne pas recourir à la procédure des marchés de définition en attendant la décision de la Cour de justice des communautés européennes (CJCE). Dans une communication du 28 février 2008, la Commission européenne avait décidé de saisir la CJCE d'un recours contre la France concernant les dispositions du Code des marchés publics relatives à la procédure dite des marchés de définition (1). Cette procédure, définie par l'article 73 du Code des marchés publics (2), prévoit que lorsque le pouvoir adjudicateur n’est pas en mesure de préciser les buts et performances à atteindre, les techniques à utiliser, les moyens en personnel et en matériel à mettre en oeuvre, il peut recourir aux marchés de définition. Ces marchés ont pour objet d’explorer les possibilités et les conditions d’établissement d’un marché ultérieur, le cas échéant au moyen de la réalisation d’une maquette ou d’un démonstrateur. Ils permettent également d’estimer le niveau du prix des prestations, les modalités de sa détermination et de prévoir les différentes phases de l’exécution des prestations

http://www.maire-info.com/article.asp?param=11816&PARAM2=PLUS

 

 

 

Marchés publics : les marchés de définition sur la sellette
La Commission européenne n'a jamais apprécié les marchés de définition. Cette procédure typiquement française permet de choisir plusieurs opérateurs et de leur confier simultanément la même étude de définition. A l'issue de cette première étape, une remise en concurrence a lieu sur la base des études, et celui qui a réalisé la meilleure étude de définition est retenu pour en assurer l'exécution. A priori, il n'y aurait rien à redire à un tel dispositif. Seulement voilà, cette procédure n'existe pas dans les directives européennes, et la Commission européenne y voit un moyen de contourner les règles de concurrence et de transparence qui permettent un accès libre et égal à tous les opérateurs. C'est pourquoi, après l'entrée en vigueur du Code des marchés publics issu du décret du 1er août 2006, elle a adressé un avis motivé à la France le 27 juin 2007, puis elle a saisi la Cour de justice des Communautés européennes d'un recours en manquement contre l'existence de ces marchés. Dans ses conclusions du 22 septembre 2009, l'avocat général J. Mazák invite la Cour à donner raison à la Commission européenne. Le gouvernement français soutenait que les marchés de définition étaient analogues à deux procédures prévues par la directive, à savoir l'accord-cadre et le dialogue compétitif. Pour le premier, la France a fait observer que son ouverture à la concurrence pouvait être divisée en deux étapes, la dernière étape étant ouverte à une concurrence limitée aux titulaires retenus pour le premier marché, et permettant de préciser les termes du second marché. Pour le second, la procédure d'attribution de marchés de définition permet à un pouvoir adjudicateur, dit la France, de fixer les conditions d'un marché dont les critères de sélection auraient été établis auparavant. Ainsi, selon le gouvernement français, le législateur communautaire aurait institué des procédures complexes qui ouvriraient les marchés à la concurrence en deux étapes mais qui ne seraient pas "exhaustives".

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/688127-marches-publics-les-marches-de-definition-sur-la-sellette

 

 

 

Marchés publics : Bercy décrypte les trois derniers CCAG
Les cahiers des clauses administratives générales (CCAG) applicables aux marchés de prestations intellectuelles, aux marchés industriels, et aux marchés des techniques de l'information et de la communication sont parus au Journal Officiel du 16 octobre 2009. La direction des affaires juridiques de Bercy rappelle que ces textes ont donné lieu à de nombreuses consultations avec les acheteurs publics et les professionnels concernés. Ils respectent l'architecture globale des cinq CCAG. Celle-ci reprend notamment l'ensemble des clauses communes aux différents CCAG, principalement les obligations générales des parties, les dispositions relatives au développement durable, l'obligation d'assurance, les dispositions en matière de livraison, de transport, de stockage et les clauses de résiliation. Ces CCAG entreront en vigueur un mois après leur publication au Journal officiel, "à savoir le 16 novembre", précise Catherine Bergeal, directrice des affaires juridiques de Bercy. Ce délai permettra de faciliter l'adaptation, par les acheteurs publics, des clauses particulières de leurs marchés et la prise de connaissance du texte par les fournisseurs. Ces documents ne sont pas obligatoires et l'acheteur public devra y faire expressément référence dans les documents de son marché s'il souhaite les rendre applicables. A préciser : un marché ne peut se référer qu'à un seul CCAG.

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/689199-marches-publics-bercy-decrypte-les-trois-derniers-ccag

 

 

 

Arrêté du 16 septembre 2009 portant approbation du cahier des clauses administratives générales applicables aux marchés publics de techniques de l´information et de la communication
Il appartient au pouvoir adjudicateur, qui souhaite faire référence à un cahier des clauses administratives générales (CCAG), de choisir celui qui est le mieux adapté aux prestations objet de son marché, et de faire expressément référence à ce CCAG dans les documents particuliers de son marché. Le présent CCAG s´applique aux marchés qui ont un objet entrant dans le champ des techniques de l´information et de la communication (TIC). Il peut concerner notamment des marchés : ― de fourniture de matériel informatique ou de télécommunication ; ― de fourniture de logiciels commerciaux ; ― d´études et de mise au point de logiciels spécifiquement conçus et produits pour répondre aux besoins particuliers d´un acheteur public ; ― d´élaboration de systèmes d´information ; ― de prestations de maintenance, de tierce maintenance applicative ou d´infogérance. Un même marché ne peut se référer qu´à un seul CCAG. Dans le cas où certaines prestations secondaires doivent être régies par des stipulations figurant dans un autre CCAG que celui désigné dans le marché, ce dernier doit reproduire, dans le cahier des clauses administratives particulières, les stipulations retenues, sans référence au CCAG dont elles émanent. Un marché de techniques de l´information et de la communication peut comporter une part notable d´études et être susceptible de donner naissance à des droits de propriété intellectuelle. Le CCAG-TIC est doté, à cet effet, d´un chapitre 7 « Utilisation des résultats », spécifiquement dédié à la gestion des droits de propriété intellectuels relatifs aux techniques de l´information et de la communication. Ce chapitre comporte deux options : A « concession » ou B « cession ». Le pouvoir adjudicateur sélectionne l´option la mieux adaptée à l´objet de son marché (en l´absence d´un choix exprès, l´option A s´applique par défaut) et l´ajuste spécifiquement à son besoin dans les documents particuliers du marché. Il convient toutefois de préciser que les marchés de fourniture de matériels informatiques spécialement fabriqués sur spécifications de l´acheteur public relèvent davantage du champ d´application du CCAG - Marchés industriels (MI). Chapitre 1er Généralités Article 1er Champ d´application Les stipulations du présent cahier des clauses administratives générales (CCAG) s´appliquent aux marchés qui s´y réfèrent expressément. Ces marchés peuvent prévoir de déroger à certaines de ces stipulations. Ces dérogations doivent figurer dans le cahier des clauses administratives particulières (CCAP) et font l´objet d´une liste récapitulative des articles du CCAG auxquels il est dérogé.

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000021158580&dateTexte=&categorieLien=id

 

 

 

 

Carte d'achat/carte de paiement

 

Des fonctionnaires fraudent le fédéral pour des dizaines de millions $
La fraude, l´utilisation abusive de cartes d´achat et le vol de la part de ses employés ont coûté au fédéral près de 140 millions $ l´année dernière, selon des documents déposés mercredi à la Chambre des communes. Par exemple, un employé de la GRC a détourné 4500$ de revenus provenant de la prise d´empreintes digitales. Un fonctionnaire de Ressources humaines et Développement des compétences Canada a participé à trois opérations frauduleuses touchant le Programme de la sécurité de la vieillesse qui ont coûté 115 669$. Une douzaine d´employés au ministère des Pêches et des Océans ont volé 42 122$ en utilisant frauduleusement une carte d´achat du ministère. Toutefois, ce n´est rien en comparaison de certains des plus grands cas de fraude et de vol contre le gouvernement. Le gouvernement a rapporté des fraudes totalisant 116,1 millions $ à l´assurance-emploi, 724 860$ au Régime de pensions du Canada et 134 360$ au Programme de la sécurité de la vieillesse. Le ministère des Anciens Combattants a signalé cinq cas de fraude d’une valeur de 378 004$ par des personnes qui ont encaissé des chèques de pension d´invalidité après le décès du bénéficiaire, et huit cas de fraude d´une valeur total de 83 556$ pour le vol de chèques de pension d´invalidité après le décès d’un bénéficiaire.

http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/11/20091104-232335.html

 

 

Walmart taps MasterCard and First Data for electronic pay programme
Walmart, MasterCard Worldwide and First Data today announced a new, more sustainable payroll program designed to reduce the number of paper paychecks and pay stubs distributed each year to Walmart and Sam´s Club associates in the U.S. In order to benefit both associates and the environment, the electronic pay program will include the deployment of the Money NetworkTM MasterCard Paycard® and electronic pay stubs, which will cut down on paper consumption and provide associates easier access to their wages. 'Electronic payroll is the right choice for our associates, our company and the environment,' said Tom Schoewe, executive vice-president and CFO, Wal-Mart Stores, Inc. 'It provides our associates with fast, convenient and safe access to their pay. The program´s ability to reduce paper usage is right in line with Walmart´s commitment to eliminate waste wherever we can.'.

http://www.finextra.com/fullpr.asp?id=29389

 

 

 

 

SEPA

 

 

 

Établissements de santé - Projet Sepa
Un circulaire précise le projet Sepa (single euro payments area - espace unique de paiement en euros) et ses impacts sur les établissements de santé. Le but de ce projet est de créer des moyens de paiements en euros communs à l’ensemble des pays européens et d’améliorer la facilité et la sécurité des paiements que sont les virements, prélèvements et cartes. L’engagement des administrations est déterminant car elles sont les principaux utilisateurs de ces moyens de paiements. Les établissements de santé doivent vérifier la compatibilité de leurs logiciels avec ce projet. La migration se fera de matière progressive pour être achevée en 2011 pour les virements et 2012 pour les prélèvements. Circulaire n° DHOS/F4/E3/2009/320 du 19 octobre 2009 relative au projet Sepa (single euro payments area - espace unique de paiement en euros) du ministre de la Santé et des sports

http://www.lagazettedescommunes.com/actualite/36207/sante/etablissements_sante_projet_sepa.htm

 

 

Paiements européens : les banques françaises sont «prêtes» - Le Figaro
Jusqu´ici le prélèvement automatique était uniquement au niveau national. A partir du 1er novembre, les factures et abonnements pourront être gérés en toute simplicité depuis un même compte. Un dispositif qui va faciliter les paiements transfrontaliers. La directive européenne sur les services de paiement (Sepa), transposée dans le droit français en juillet dernier, entrera en vigueur, le 1er novembre dans tout l´Espace économique européen (composé des vingt-sept membres de l´Union européenne de l´Islande, la Norvège et le Liechtenstein). Selon la Fédération bancaire française (FBF), les banques françaises sont «prêtes» et «ont fait les modifications nécessaires» malgré «des délais très courts». Concrètement, la directive européenne impose dans tout l´Espace économique européen le même cadre juridique pour les paiements réalisés depuis un compte de paiement. Cependant, il ne traite pas des paiements en espèces ni du chèque. «Grâce à ce cadre juridique, les consommateurs européens seront mieux protégés. Ils n´auront plus de soucis majeurs en envoyant de l´argent dans un autre pays», explique Bernard Dutreuil, directeur système et moyens de paiements à la FBF. Et d´ajouter : «l´espace domestique, c´est désormais l´ensemble du territoire européen». .

http://www.lefigaro.fr/conso/2009/10/30/05007-20091030ARTFIG00401-paiements-europeens-les-banques-francaises-sont-pretes-.php

 

 

 

Premiers prélèvements SEPA traités - SIX Group lance le nouveau prélèvement européen avec succès en Suisse

Le 2 novembre 2009, l´entreprise d´infrastructure de la place financière suisse SIX Group et la SECB Swiss Euro Clearing Bank ont traité avec succès les premiers prélèvements en euro conformes au SEPA de clients bancaires suisses. Cet évènement s´inscrit dans le cadre du lancement en Europe d´une nouvelle procédure de prélèvement pour l´espace unique de paiement en euro (SEPA). L´infrastructure de trafic des paiements de SIX Group a traité les premiers prélèvements SEPA sans le moindre problème. Les prélèvements en euro des clients bancaires suisses ont été encaissés par des bénéficiaires situés en Suisse et dans les pays limitrophes. Six établissements financiers helvétiques participent à l´heure actuelle au prélèvement SEPA; quatre d´entre eux permettent à leurs clients d´encaisser des prélèvements SEPA normalisés dans toute l´Europe par le biais du paquet de prestations de SIX Group. Le SEPA en Europe Depuis des années, l´Union européenne et la Banque centrale européenne oeuvrent sans relâche à la mise en oeuvre de l´espace unique de paiement en euros (Single Euro Payments Area, SEPA). Elles procèdent notamment à l´harmonisation des conditions cadres juridiques et des normes techniques pour le règlement des transactions de paiement sans numéraire. Ces mesures visent à libéraliser et à ouvrir les marchés de la zone euro. Un premier jalon a été posé par les fédérations bancaires européennes avec le lancement, en janvier 2008, des virements SEPA dans plus de 30 pays européens, dont la Suisse et la Principauté du Liechtenstein. L´introduction des prélèvements SEPA a pour sa part eu lieu le 2 novembre 2009. Le SEPA en Suisse Sur mandat de la place financière suisse, SIX Interbank Clearing assume la fonction de National Adherence Support Organisation et assiste les établissements financiers helvétiques pour les questions administratives liées aux schémas SEPA (virement et prélèvement). L´année dernière, elle a réussi à inscrire plus de 140 participants suisses et liechtensteinois au virement SEPA. 110 d´entre eux, soit un tiers des banques suisses, sont en mesure d´exécuter les virements de leurs clients conformément aux directives SEPA par le biais du système euroSIC exploité par SIX Interbank Clearing. En 2008, celui-ci a traité presque un demi-million de transactions SEPA d´une valeur de plus de 4,6 milliards d´euro.

http://www.presseportal.ch/fr/pm/100008332/100592812/six_interbank_clearing_ag

 

 

 

Nouvelles règles pour les paiements bancaires le 1er novembre
La directive européenne sur les services de paiement (DSP) entre en vigueur ce dimanche, apportant son lot de nouveautés. L´espace unique des paiements en euros (SEPA) C´est un des grands projets actuels de la Commission européenne. le SEPA (pour Single Euro Payments Area) permettra à terme aux 315 millions d´habitants de l´Union Européenne (UE) de réaliser des paiements en euros dans des conditions identiques, quel que soit leur pays. Une structure rassemblant les banques de la zone euro, l´European Payments Council (EPC), travaille depuis 2002 à définir de nouveaux instruments de paiement identiques sur l´ensemble du territoire européen et à adapter les infrastructures d´échange. Coût estimé de la transition : de 5 à 8 milliards d´euros. L´enjeu est particulièrement important en France, les Français se situant largement au-dessus de la moyenne européenne en terme d´utilisation de moyens de paiement : 243 opérations par personne et par an, contre 149 pour la moyenne des Européens.. 

http://www.cbanque.com/actu/13015/nouvelles-regles-pour-les-paiements-bancaires-le-1er-novembre

 

 

 

Paiements européens : les banques françaises sont «prêtes» 
Factures d´électricité, d´eau, abonnements à des magazines, services de télécommunications pourront désormais être gérés en toute simplicité depuis un même compte. Un dispositif qui va faciliter les paiements transfrontaliers. La directive européenne sur les services de paiement (Sepa), transposée dans le droit français en juillet dernier, entrera en vigueur, le 1er novembre dans tout l´Espace économique européen (composé des vingt-sept membres de l´Union européenne de l´Islande, la Norvège et le Liechtenstein). Selon la Fédération bancaire française (FBF), les banques françaises sont «prêtes» et «ont fait les modifications nécessaires» malgré «des délais très courts». Concrètement, la directive européenne impose dans tout l´Espace économique européen le même cadre juridique pour les paiements réalisés depuis un compte de paiement. Cependant, il ne traite pas des paiements en espèces ni du chèque. «Grâce à ce cadre juridique, les consommateurs européens seront mieux protégés. Ils n´auront plus de soucis majeurs en envoyant de l´argent dans un autre pays», explique Bernard Dutreuil, directeur système et moyens de paiements à la FBF. Et d´ajouter : «l´espace domestique, c´est désormais l´ensemble du territoire européen». Lancement du prélèvement Sepa en novembre 2010 A la mi-septembre, seuls dix Etats avaient transposé la directive Sepa. Certains pays ont annoncé qu´ils ne seraient pas en mesure de respecter l´échéance du 1er novembre 2009. Pour anticiper les difficultés, la France a ainsi décalé le lancement du prélèvement Sepa à novembre 2010. «Pour le prélèvement, le dispositif est plus compliqué que celui du virement. Il a besoin d´un support juridique stable. Cette période de rodage va permettre d´accompagner la demande du marché», détaille Bernard Dutreuil. Avec le prélèvement automatique, un client autorise son opérateur de téléphonie, son fournisseur d´électricité ou encore sa mutuelle à se faire payer directement par sa banque. Le système est largement utilisé en Europe (26% des paiements dans l´Union européenne), mais jusqu´ici uniquement au niveau national: pas question de faire prélever automatiquement des factures de téléphones françaises sur un compte bancaire situé en Belgique ou en Allemagne. Le prélèvement Sepa, à condition qu´il soit libellé en euros, permettra d´effectuer ces paiements au-delà des frontières et de payer des factures en euros depuis n´importe quel compte bancaire européen, que leur pays d´émission soit ou non dans la zone euro.

http://www.lefigaro.fr/conso/2009/10/30/05007-20091030ARTFIG00401-paiements-europeens-les-banques-francaises-sont-pretes-.php

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dématérialisation

 

 

Un e-book du Medef sur les marchés publics dématérialisés
Les échéances approchent. A partir du 1.1.2010, les réponses aux achats publics de fournitures et de services informatiques de plus de 90 000 euros ht devront être transmises par voie électronique. Les pouvoirs adjudicateurs pourront également exiger des réponses électroniques pour tous autres achats. Aussi, le Medef a-t-il mis en ligne, au format e-book, un «Guide d’accompagnement des entreprises à la dématérialisation des marchés publics », en 22 fiches, dont il faut souligner la concision. Elaboré par un groupe de juristes, il liste les particularités propres aux secteurs du BTP et pharmaceutique ainsi que les documents à signer électroniquement et par qui. Mais les plates-formes du marché ne sont pas toutes à niveau. Il leur reste à standardiser les documents de la consultation, à nommer chacun des fichiers de manière standardisée, à décomposer les pièces de la consultation, à utiliser des formats XML de fichiers lisibles et réutilisables, notamment pour les fichiers de calcul. Les maîtres d’ouvrage envoient ainsi les BPU et DQE en PDF, que les entreprises doivent remplir manuellement, re-scanner et renvoyer en PDF. XML permettrait au contraire de faire les calculs directement sur les documents.

http://www.demateriel.com/?p=816

 

 

atReal, AFI et ARDENS lancent la 1ère plateforme d'applications ...
Trois PME spécialisées dans les applications openSources se sont lancées un défit : la gestion complète d´une collectivité pour toutes les mairies quelle que soit leur taille. C´est possible grâce à la solution SAAS ALGEBRICS, plateforme d´hébergement avec accès sécurisé permettant d´avoir l´ensemble des applications métiers pour les collectivités. Toutes les applications métiers proposées sont libres et openSources, donc pas de coût de licences. Toutes les applications sont hébergées sur un serveur distant, donc pas de coût matériel supplémentaire, un accès internet suffit. Un seul interlocuteur pour toutes les applications métiers, pas de surcoût de maintenance. De plus, à l´heure de la dématérialisation, la plateforme permettra l´accès aux échanges entre les administrations, d´où une réduction de consommation de papiers conséquente. Et pour finir, toutes les évolutions logiciels sont automatiquement mise en place, sans avoir besoin de racheter une licence supplémentaire.

http://www.progilibre.com/atReal,-AFI-et-ARDENS-lancent-la-1ere-plateforme-d-applications-libres-metiers-pour-les-collectivites-ALGEBRICS_a978.html

 

 

 

Solution d'e-facturation européenne : Egencia et Cegedim

 Ce projet de dématérialisation fiscale des factures répond à des objectifs ambitieux. Il concerne 3 000 clients d’Egencia dans 9 pays européens pour un volume d’1,4 million de factures annuelles (en 2009). Les 9 pays couverts par cette offre sont l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, la France, l’Irlande, l’Italie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Suisse. D’ici à fin 2010, 80% des clients d’Egencia dans ces pays bénéficieront de ce nouveau service. Un outil de satisfaction client N°5 mondial des agences de voyages d’affaires, Egencia a souhaité aller au-delà de la dématérialisation de factures classique, déjà initiée dans son secteur. La société a en effet opté pour une solution faisant de la dématérialisation fiscale électronique (disparition totale du papier) un véritable atout supplémentaire pour ses clients. Les factures électroniques, généralement destinées aux seuls services comptables, deviennent accessibles aux autres parties concernées dans l’entreprise cliente d’Egencia, en particulier les voyageurs et leurs assistant(e)s. Le projet d’e-facturation mis en œuvre par Cegedim et basé sur sa plateforme Global Invoice Services, attestée conforme à la législation européenne en vigueur, permet ainsi d’étendre les bénéfices de la dématérialisation

http://www.cfo-news.com/Solution-d-e-facturation-europeenne-Egencia-et-Cegedim_a12203.html 


 

 

Le laboratoire Alcon France externalise la gestion des factures émises 
Le spécialiste des produits ophtalmiques fait transiter toutes ses factures par la plate-forme Pasrel de Deskom. Spécialiste des produits pharmaceutiques ophtalmiques, le groupe Alcon réalise au niveau mondial un chiffre d´affaires de 6,3 milliards de dollars. Alcon France est la première filiale européenne du groupe avec 570 collaborateurs sur 3 sites. Les clients d´Alcon France ont des profils très différents les uns des autres : pharmacies, magasins d´optique, hôpitaux, cliniques, médecins... Certains apprécient des factures dématérialisées, d´autres exigent des factures papier. Pour disposer d´un traitement unique de sa facturation et supprimer la complexité du traitement de la facturation, Alcon France a décidé d´externaliser cette fonction et d´utiliser la plate-forme Pasrel de Deskom. Les clients souhaitant recevoir des factures papier bénéficient de la chaine éditique tandis que tous peuvent consulter leurs factures en mode web. La plate-forme gère bien sûr la dématérialisation fiscale pour les clients ayant opté pour la suppression du papier. Par ailleurs, Deskom se charge de l´archivage fiscal durant dix ans.

http://www.cio-online.com/actualites/lire-le-laboratoire-alcon-france-externalise-la-gestion-des-factures-emises-2518.html

 

 

 

ReadSoft et linkOffice proposent une solution de dématérialisation de factures en mode SaaS destinée aux cabinets d'expertise comptable 
ReadSoft, leader en Europe de l´automatisation du traitement des documents entrants et linkOffice, spécialiste de l´hébergement d´applications en mode locatif, se sont rapprochés pour offrir aux cabinets d´expertise comptable une solution dédiée de dématérialisation de factures, accessible en mode SaaS (Software as a Service).

Avec son offre linkOffice Expert, linkOffice propose aux experts comptables, via un accès Internet sécurisé, un portail collaboratif intégrant de nombreux services : applications comptables, fiscales, sociales et juridiques, un portail intranet, un accès à leur documentation électronique, une suite bureautique, une messagerie agenda, un espace de stockage, etc.

Ce partenariat technologique avec ReadSoft vient enrichir l´offre de services de linkOffice à destination des experts comptables. La solution repose sur les services d´hébergement locatif de linkOffice et sur la solution ReadSoft DOCUMENTS for Invoices de ReadSoft. Les experts comptables vont ainsi pouvoir externaliser la fonction de dématérialisation de factures et bénéficier d´une solution puissante et sécurisée, sans contraintes techniques.

http://www.cfo-news.com/ReadSoft-et-linkOffice-proposent-une-solution-de-dematerialisation-de-factures-en-mode-SaaS-destinee-aux-cabinets-d_a11366.html

 

 

 

ITESOFT a été retenu par Capgemini pour le déploiement mondial de la dématérialisation de ses factures fournisseurs
ITESOFT, leader en France et éditeur européen majeur de solutions de capture, traitement et gestion automatiques de documents annonce la signature d’un contrat avec Capgemini. Les solutions ITESOFT dématérialiseront et automatiseront le traitement, l’approbation et la comptabilisation de 300 000 factures fournisseurs par an à l’échelle mondiale. « +30% de productivité, des délais de traitement divisés par 2 permettant une comptabilisation en 72 heures, la traçabilité de chaque facture garantie de bout en bout, une consolidation des comptes accélérée et fiabilisée en période de clôture, l’adoption naturelle des outils par les utilisateurs : tels sont les gains constatés en France depuis 4 ans grâce à l’utilisation des solutions ITESOFT. C’est pourquoi nous avons décidé d’étendre cette solution à l’ensemble du Groupe, » commente Eric Jahn, Responsable de la Transformation de la Direction Finances chez Capgemini.

http://www.daf.info/ITESOFT-a-ete-retenu-par-Capgemini-pour-le-deploiement-mondial-de-la-dematerialisation-de-ses-factures-fournisseurs_a1601.html

 

 

4,6 milliards de mobiles fin 2009 dans le monde
Les technologies mobiles contribuent grandement à élargir l'accès aux TIC dans les pays en développement et plusieurs pays lancent et commercialisent à présent des réseaux et des services IMT2000/3G. Le dernier rapport de l'UIT (Union Internationale des Télécoms), publié à l'occasion de Télécom World qui se tient actuellement à Genève, indique que le nombre de mobiles devraient atteindre 4,6 milliards d'ici à la fin de l'année. Les statistiques de l'UIT font également ressortir des disparités importantes d'une région à l'autre, les taux de pénétration du mobile large bande demeurent peu élevés notamment dans de nombreux pays africains et dans d'autres pays en développement.
Plus d'un quart de la population mondiale est désormais connectée et utilise l'Internet. De plus en plus d'utilisateurs optent par ailleurs pour l'accès Internet à haut débit et le nombre d'abonnés au large bande fixe a plus que triplé, passant de 150 millions en 2004 à environ 500 millions fin 2009 d'après les estimations.
Le contraste entre la progression rapide de l'Internet à haut débit dans les pays développés et la situation dans les pays en développement est saisissant. En Afrique par exemple, on ne compte qu'un seul abonné au large bande fixe pour 1 000 habitants, contre 200 abonnés environ pour 1 000 habitants en Europe. C'est en Afrique, région où les niveaux de revenu sont les plus bas, que les prix relatifs des services TIC (notamment du large bande) sont les plus élevés. Il ressort du rapport que le premier marché du large bande fixe au monde est celui de la Chine, qui a devancé son plus proche rival, les Etats-Unis, à la fin de 2008.
Selon les estimations de l'UIT, trois quarts des ménages possèdent aujourd'hui un téléviseur et plus d'un quart de la population mondiale (soit près de 1,9 milliard d'habitants) a accès à un ordinateur personnel. Cela montre qu'il existe un immense marché potentiel des dispositifs issus de la convergence dans les pays en développement, où le taux de pénétration de la télévision est déjà élevé, à un moment où les marchés de la téléphonie mobile, de la télévision et de l'Internet tendent à s'interpénétrer.

http://www.itrmanager.com/articles/95867/4-6-milliards-mobiles-fin-2009-monde.html?key=28eb251458c55ce1


 

 

Etudes

 

 

Les échanges électroniques moteurs de la sécurisation et de la certification
Sept entreprises sur dix considèrent la dématérialisation comme facteur déclenchant pour conduire des projets de sécurisation des échanges électroniques. C'est ce qu'indique une étude réalisée par Markess International intitulée « Avantages de la Sécurisation des Echanges Electroniques ». L'essor de la dématérialisation est désormais une réalité. Le plan France Numérique 2012 devrait par ailleurs dynamiser cette tendance de fond. En parallèle, la croissance soutenue des revenus issus du commerce électronique démontre aussi l'essor des échanges électroniques dans notre économie. Fort de ce contexte, tant les entreprises que les administrations prennent conscience que la mise en place de solutions leur permettant de garantir la sécurité, la confidentialité, l'intégrité et l'authenticité des contenus échangés électroniquement avec leurs clients et partenaires devient désormais incontournable. La dématérialisation, catalyseur clé des projets de sécurisation des échanges Pour 69% des 160 organisations interrogées par Markess International dans le cadre de cette étude, le développement de la dématérialisation est le principal facteur déclencheur qui les pousse à conduire des projets de sécurisation de leurs échanges électroniques. Alors que les documents dématérialisés ne représentaient, il y a quelques années encore, qu'un faible volume de l'ensemble des documents échangés avec les clients (qu'ils soient particuliers ou professionnels), ceux-ci représentent désormais une proportion significative qui impose de mettre en oeuvre des actions adaptées pour s'assurer des mêmes garanties que dans le monde physique

http://www.itrmanager.com/articles/95809/echanges-electroniques-moteurs-securisation-certification.html?key=28eb251458c55ce1

 

 


 

 

 

Pour info…

 

L'ADEME soutient la journée de l'e-entreprise sur la démat organisée par la CCI de Paris et ChamberSign France

ChamberSign France, autorité de certification des Chambres de Commerce et d’Industrie (CCI), et la CCI de Paris bénéficient du soutien de l’ADEME lors de la journée de l’e-entreprise, zéro papier, organisée sur le thème de la dématérialisation le 17 novembre prochain. La journée de l’e-entreprise organisée le 17 novembre prochain de 9h00 à 18h00 à la Bourse de Commerce (2 rue de Viarmes - Paris 1er), a pour vocation de faire découvrir de façon pragmatique toutes les applications de la dématérialisation aux TPE, PME et grands comptes. Cet événement, placé sous le signe du ZERO PAPIER, est parrainé par L´ADEME (l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), dont la mission est de contribuer à la mise en œuvre des politiques publiques dans les domaines de l´environnement, de l´énergie et du développement durable. L´agence met ses capacités d´expertise et de conseil à la disposition des entreprises, des collectivités locales, des pouvoirs publics et du grand public, pour les aider à progresser dans leur démarche environnementale.

http://www.cfo-news.com/L-ADEME-soutient-la-journee-de-l-e-entreprise-sur-la-demat-organisee-par-la-CCI-de-Paris-et-ChamberSign-France_a12185.html

 

 

 

EBAday 2010 to take place in Luxembourg
EBAday 2010 - the fifth annual European payments conference and exhibition organised by Finextra and the Euro Banking Association - will open for business in Luxembourg on the 26th and 27th May. The two-day conference programme and agenda will reflect on the changing landscape for payments in the euro area six months on from the introduction of the Payments Services Directive and the Sepa Direct Debit scheme in November 2009. An influential panel of senior executives, practitioners and key stakeholders from across the payments industry will lead the discussions on the conference floor via a dynamic series of parallel streams, interactive workshops and open panel sessions..

http://www.finextra.com/fullstory.asp?id=20443

 

 

 

OGC to establish first pan-government e-auction Centre of Excellence

The Office of Government Commerce (OGC) has today announced that it is to set up the first pan-government e-auction Centre of Excellence to increase the impact of e-auctions in the public sector. The centre will have a remit to provide co-ordination and support for e-auctions across the wider public sector, particularly where there is scope for increased collaboration. A number of e-auction programmes exist across Whitehall and the wider public sector, and the centre will look to harness greater efficiencies from these through supporting the co-ordination of resource, establishing a consistency of approach, and providing a platform for coalitions. It will aim to influence public sector spend of £820m and help achieve savings of over £250m by the end of 2010/11. Speaking about the announcement, Nigel Smith, Chief Executive of the OGC said: 'The new Centre of Excellence will systematically enhance the great work currently being achieved by existing public sector e-auction programmes through providing greater focus for consistency and best practice. It will also look to foster opportunities for better collaboration, marking a significant positive step forward in achieving the maximum potential outcomes from public sector e-auction activities.'

http://www.ogc.gov.uk/About_OGC_news_9696.asp

 

 

 

Les Mardis de la Facture Electronique: Invitation au petit déjeuner le 24 novembre 2009 
Les Mardis de la Facture Electronique sont des petits déjeuners d'information organisés par Deskom, ouverts à tous et gratuits. Leur objectif est de faire partager les « best practices » d'un projet de facturation électronique. Chaque session, appuyée par le retour d'expérience d'un client ou d'un partenaire de Deskom , est dédiée à une étape clef d'un projet de dématérialisation des factures.

Inscription obligatoire: contact@deskom.com

 

 

 

 

 

A VOS AGENDAS

 

 

 

  • L'APECA, partenaire Démat'expo 2009, Grande Arche de la Défense Paris, 1er & 2 décembre 2009

Dématérialisation des flux financiers et des relations bancaires

 

16h-16h45 - Carte d'achat et dématérialisation du process achat : enjeux et perspectives 2009 - 2010

Intervenant: Olivier Viallon, Administrateur ministériel Cartes achat - Cartes affaires, Ministère de la Défense
La réussite d’un projet carte d’achat passe par une volonté conjointe de tous les acteurs d’évoluer vers un nouveau mode d’achat et doit se manifester par une communication adaptée et permanente : application pratique au Ministère de la Défense.

 

16h45-17h30 - La dématérialisation, réelle opportunité pour les PME-PMI ? Etude 2008 et résultats préliminaires 2009

Intervenant:s Caroline Fage-Besnard, Chef de marché Entreprise et Administration, Groupement des Cartes Bancaires 'CB'; Solange Ligeret, Secrétaire général , APECA
La dématérialisation contribue à la rationalisation des procédures et à la réduction des coûts. Si ce sujet est au cœur des préoccupations de l’Administration et des grandes entreprises, peu d’études ou témoignages permettent de qualifier la position des PME-PMI.
Enquête réalisée par l'APECA en partenariat avec le GIE 'CB' et la CCIP

 

Programme complet et inscriptions: http://dematexpo.com/2009/index.php?option=com_ebsession&id=468&Itemid=93

 

 

 

  • L'APECA, partenaire Buy&Care, Parc des Expositions Paris Nord Villepinte,  1er au 4 décembre 2009

Développement durable: quel impact sur les processus achats dématérialisés?

 

15h45-16h30

Intervenant: Caroline Fage-Besnard, Chef de marché Entreprise et Administration, Groupement des Cartes Bancaires 'CB'
Le développement durable est une préoccupation de plus en plus prégnante pour les acheteurs publics et privés. Il s'intègre progressivement dans les modalités contractuelles.
Il apparaît aussi que la réengénérie des processus , s'orientant de plus en plus vers les systèmes intégrés et la dématérialisation, nécessite une réflexion collective :
- Comment valoriser ces choix organisationnels dans le rapport de développement durable de l'entreprise ?
- Qu'est-ce qu'un système d'information durable ?
- Comment établir des indicateurs pertinents ?

L'ensemble de ces réflexions est actuellement traité dans un groupe de travail de l'APECA, association dédiée à la dématérialisation des processus achats, en associant les différents acteurs de la chaîne de traitement automatisée.
Cette intervention sera l'occasion de faire un point d'étape sur les travaux engagés et d'échanger plus largement sur ces initatives 

 

Programme complet et inscriptions:

http://www.buy-and-care.com/?.kt=&.kw=&IdC=&IdNode=4312

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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APECA News, une lettre d'information sur la carte d'achat, le marché et ses acteurs,les services associés, en France et en Europe.

 

 

 

 

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