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  11/05/2010

Apeca BtoB transaction news


APECA BtoB Transaction News mars-avril 2010


 

Sphère publique

 

Les élus locaux, fracturés du numérique ?
C’était le thème d’une table ronde organisée par l’Artesi le 14 avril dernier au Parc Floral de Paris, à l’occasion des 14èmes assises de l’Association des maires de l’Île-de France. Mais suffit-il de reprocher aux élus locaux de bouder Facebook et le web 2.0 ? Nos élus locaux ne seraient donc pas assez tendance. Trop rares sont encore ceux qui acceptent de dialoguer avec leurs administrés à travers le mail, Facebook, les blogs, les mobiles et autres nouvelles commodités web 2.0. L’Artesi (Agence régionale des technologies de l’information, 'associée du Conseil régional francilien') en a fait son cheval de bataille du moment dans le cadre de ses missions de diffusion des TIC. Car la démocratie locale, explique-t-elle, tend à s’essouffler dans ses modalités traditionnelles et ne saurait être redynamisée qu’en s’inscrivant dans la nouvelle web-attitude. NKM, notre secrétaire d’Etat au développement de l’économie numérique, faute de pouvoirs plus larges, abonde dans le même sens. Elle a inauguré Proxima Mobile, le portail des services aux citoyen par téléphonie mobile, et organisé au Sénat les Ateliers de l’élu 2.0.

http://www.demateriel.com/?p=962

 

 

Un nouveau dispositif pour la politique d’achat de l’Etat

A l’occasion du conseil des ministres du 14 avril 2010, François Baroin, ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l’Etat a présenté un nouveau dispositif relatif à la politique des achats de l’Etat. Objectif : réaliser une économie substantielle d’un milliard d’euros d’ici fin 2012. Acheter mieux et renforcer la qualité de service… Le conseil de modernisation des politiques publiques a fixé comme objectif de réduire le coût des achats de l’Etat. Il ne s’agit pas tant d’acheter moins que d’acheter mieux, c’est-à-dire moins cher et en faisant bénéficier les administrations d’une meilleure qualité de service, notamment s’agissant des délais de livraison. Cette réforme est aujourd’hui opérationnelle. Depuis mars 2009, le service des achats de l’Etat la conduit, en lien avec les correspondants identifiés dans chaque ministère et un réseau territorial dans les préfectures de région.

http://www.modernisation.gouv.fr/piliers/optimiser/les-achats-de-letat/un-nouveau-dispositif-pour-la-politique-dachat-de-letat/index.html

 

 

 

Actes privés, marchés publics : ce que pense la Direction des affaires juridiques
La Direction des affaires juridiques de Bercy publie son rapport d'activité pour 2009, année de son dixième anniversaire. Un millésime dense, notamment en matière de marchés publics. Quelques chiffres, pour commencer : la DAJ a envoyé 2 300 courriels de conseil juridique aux acheteurs publics qui l'ont sollicitée en 2009. Le délai moyen de réponse s'établit à 5 jours calendaires, contre 9 en 2008. Par ailleurs, la DAJ a rédigé 843 consultations juridiques formalisées, dans tous les domaines du droit, en réponse aux demandes des administrations centrales de l'Etat. Une synthèse des plus importantes de ces consultations est présentée dans la dernière partie du rapport. En voici une sélection. Actes de droit privé - L'acte contresigné par un avocat : consultée sur la création de cette nouvelle catégorie d'acte juridique, qui s'intercalerait entre l'acte sous seing privé et l'acte authentique c'est-à-dire notarié, la DAJ a exprimé son scepticisme : "Alors que l'on constate que le contentieux de la contestation des signatures des actes sous seing privé est peu abondant, il ne semble pas opportun de créer une nouvelle catégorie légale d'actes qui, de surcroît, instaurerait une discrimination financière potentielle entre les parties. En effet, l'acte contresigné sera plus onéreux que l'acte sous seing privé." Un projet de loi de modernisation des professions judiciaires et juridiques réglementées, visant notamment à introduire l'acte contresigné par un avocat, a été néanmoins déposé le 17 mars 2010. - Signature scannée : pour la DAJ, un document portant l'image scannée d'une signature manuscrite, sans indication en clair du nom du signataire et de sa qualité, doit être considéré comme valablement signé. Elle s'appuie notamment sur la jurisprudence de la Cour de cassation qui estime que le scan ou l'impression d'une signature est sans incidence sur sa validité.

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/701764-actes-prives-marches-publics-ce-que-pense-la-direction-des-affaires-juridiques

 

 

 

Achats publics : La Place de marché interministérielle tisse sa toile

PMI, la Place de marché interministérielle utilisée depuis mi-2009 pour les achats de l’État (17 milliards d’euros), vient d’accueillir les chambres de commerce et d’industrie. Et plusieurs autres évolutions sont en cours. Lancée au printemps 2009 avec l’Association des chambres françaises de commerce et d’industrie (ACFCI), la démarche d’adhésion du réseau consulaire des CCI à la plate-forme s’est concrétisée au premier trimestre de cette année. 172 CCI sont concernées, drainant plus de 1 000 utilisateurs pour environ 4 500 consultations par an. Dans la foulée, les services de la présidence de la République ont franchi le pas, et l’extension de PMI ne devrait pas s’arrêter là. « Dans la configuration actuelle, nous fédérons environ 2 000 entités achats totalisant 9 500 acheteurs, explique Gérard Roulland, chef du projet au Service des achats de l’État (SAE). En termes de consultations, nous sommes sur une base d’environ 20 000 marchés par an, en incluant les CCI ».

http://www.lettredesachats.fr/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/44/53/document_article_web.phtml

 

 

Achats durables : l'administration montre la voie

La commande publique compte pour 10 % dans le PIB national, est un levier significatif pour stimuler le développement de l'offre écologiquement et socialement responsable et, en même temps, susciter également le développement de ce type d'achats chez les acteurs privés et les consommateurs.
Acheter durable : mode d'emploi
Pour « acheter mieux », il faut insérer l'achat dans une démarche de développement durable : c'est-à-dire redéfinir le besoin en profondeur pour consommer moins et consommer mieux. C'est également prendre en compte le coût global d'un service ou d'un produit (acquisition, utilisation, élimination) pour déterminer l'offre économiquement la plus avantageuse.
Chaque commande publique doit donc veiller à : intégrer des critères environnementaux ou sociaux lors de la préparation des marchés : réinsertion professionnelle de chômeurs, gestion propre des chantiers, lots de marchés réservés aux entreprises adaptées ou aux ESAT (établissements et structures d'aide par le travail), management environnemental, critère privilégiant la réduction de nuisances sonores d’appareils divers… privilégier les normes ou les labels garantissant le respect de l’environnement et le progrès social ; favoriser l’usage des produits les plus respectueux de l’environnement ; enclencher une démarche exemplaire pour créer un effet d’entraînement sur le marché ; développer des actions "pédagogiques" destinées à l’ensemble de la population.
Des objectifs chiffrés…
Acheter responsable, c'est aussi participer à la modernisation de l'Etat et à l'optimisation des achats. Des objectifs clairs ont été définis, dans la logique de culture des résultats développée par la Loi organique relative aux lois de finance (LOLF) et dans la lignée des Grenelle de l'environnement et de l'insertion. La circulaire du Premier Ministre du 3 décembre 2008 sur "l'Etat exemplaire au regard du développement durable dans son propre fonctionnement" les organise et les détaille en 20 fiches opérationnelles (JO du 19/02/09). Des plans "administration exemplaire" (PAE) ont été élaborés par chaque ministère pour le 31 mars 2009 et entrent en application, soutenus par un dispositif de "bonus / malus" budgétaire." Et des leviers efficaces…
Le Groupe d'étude des marchés (GEM) sur le développement durable aide les acheteurs à intégrer le développement durable dans les marchés publics. A leur disposition, une série d'outils pratiques : Des fiches sur les caractéristiques d’un produit éco-responsable, des fournitures de bureau aux produits de nettoyage en passant par les installations frigorifiques, rien n’est laissé au hasard. Des guides pratiques d’achat responsable sur des thèmes ciblés : l’efficacité énergétique, l’achat durable du bois, les produits responsables labellisés le nettoyage des locaux, les aspects sociaux de la commande publique... Des formations élaborées en collaboration avec l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) par l'IGPDE et l'IFORE Des sites internet ont été créés pour aider les acheteurs (ecoresponsabilite.gouv.fr, socialement-responsable.org,...)
Indicateurs de suivi, rapports d'activité ministériels et rapport national annuels mesurent les progrès des administrations quant aux objectifs de la SNDD et des PAE.
Par ailleurs, l'Institut de la gestion publique et du développement économique (IGPDE) s'est associé avec l'Institut de formation de l'environnement (IFORE), rattaché au ministère de l'écologie, afin d'aider à la prise en compte du développement durable dans les organismes publics, notamment au travers de l'achat public. Pour permettre l'intégration effective du développement durable, un ensemble de formations diverses (stages, événements, ateliers, cycles) sont proposées. Le détail de ces formations peut être consulté sur le portail de l'IGPDE.
Administrations, fournisseurs, société civile : tous concernés
L'Etat multiplie les actions de sensibilisation. Illustrations : le « guide de l'achat public éco-responsable » pour les acheteurs, la campagne annuelle en faveur des éco-labels du ministère de l'écologie et du développement durable à destination des distributeurs et des citoyens. Car des acheteurs aux fournisseurs en passant par les consommateurs : le développement durable est l'affaire de tous.
Gaz à effets de serre : le Bas-Rhin donne l’exemple
Pour sensibiliser le public et les communes du département à la problématique de l'effet de serre, le Conseil général du Bas-Rhin s'st engagé dans la réalisation d'un «bilan Carbone».
Première étape : un diagnostic complet, en partenariat avec l'ADEME, sur toutes les émissions de gaz à effet de serre générées par les activités de fonctionnement du Conseil général.
Deuxième étape : des actions concrètes. Parmi elles : un taux de véhicules propres (électrique, GPL, GNV) achetés lors du renouvellement du parc automobile fixé à 50%, soit bien au-delà de l'obligation légale (20%) ; un remboursement partiel des titres de transport en commun des agents du Conseil général et des vélos mis à leur disposition pour les petits trajets professionnels.

http://www.modernisation.gouv.fr/index.php?id=415

 

La CNAMTS remporte le 1er prix des e-Doc Awards 2010
Ce 1er prix récompense la dématérialisation de tout le courrier entrant papier résiduel de la Caisse nationale d’assurance-maladie des travailleurs salariés, la plus ambitieuse de l’administration française. Il distingue également les technologies de capture d’Itesoft.
Le programme Sésam-Vitale a permis de dématérialiser à la source le traitement de près de 80 % des feuilles de soins. Restait donc à dématérialiser le traitement des 20 % de feuilles de soins qui continuaient d’être reçues sous forme papier par les Caisses d’assurance maladie régionales. C’est l’objet du programme Synergie. Restait également à dématérialiser le traitement de tous les autres types de courriers entrants papier (prestations nature, prestations en espèce, dossiers réclamations, dossiers des professionnels de santé, dossiers CMU, dossiers accidents du travail-maladies professionnelles…), soit 500 000 documents/jour et 120 millions de pages/an. C’est l’objet du programme Diadème.
Depuis 2008, ces deux programmes sont mis en oeuvre par un consortium conduit par Capgemini et regroupant EMC pour la Ged et les workflows, Kodak pour la numérisation et Itesoft pour la reconnaissance des documents, leur indexation, la capture des informations pertinentes, les contrôles de cohérence et le vidéocodage correctif. Ils visent à réaliser les gains de productivité exigés par le non-remplacement de deux départs à la retraite sur trois.
Un premier consortium sélectionné en 2002 et conduit par Atos Origin, avait dû être écarté du fait d’une technologie de capture par trop approximative. Mais cette fois, la CNAMTS tient le bon bout. Le programme Synergie est aujourd’hui déployé et opérationnel. Reste à poursuivre, procédure après procédure, le programme Diadème. Les technologies de capture Itesoft FreeMind donnent de très bons taux de reconnaissance sur les différents types de formulaires Cerfa utilisés ainsi que sur les écritures manuscrites des professionnels de santé.
Selon Patrick Gendre, directeur de programme à la CNAMTS, les prochaines étapes consisteront à faire migrer tous les systèmes Itesoft FreeMind sur une seule et même version 2.4 et à déployer la nouvelle version de l’application Diadème générale. La CNAMTS est également dans l’attente d’un décret d’application du ministère de la Santé, précisant les conditions de conservation électronique qu’il lui faudrait respecter pour s’épargner l’archivage papier des courriers numérisés.
En décernant ce 1er prix, la Fédisa a tenu à récompenser une équipe, en charge d’un projet particulièrement complexe, réorganisant également en profondeur les salles courriers et le SI de l’organisme de santé. Dans le programme Synergie, en effet, les scans et les serveurs sont restés dans les caisses primaires. Mais dans Diadème, les serveurs ont été concentrés dans 9 centres informatiques.
Le 2e prix est allé à Primobox et Novapost et le 3e, à Sopra Group pour son système de création de passeports et de cartes d’identité électroniques, déjà exporté dans 11 pays à travers le monde.

http://www.demateriel.com/?p=929

 

 

Guide dématérialisation : une première version est en ligne

Avant de finaliser avant l'été, le très attendu Guide de la dématérialisation des marchés publics, la direction des affaires juridiques (DAJ) de Bercy a décidé de soumettre le projet de guide aux acteurs de la commande publique. Ce document peut donc être téléchargé sur le site de la DAJ et les praticiens ont jusqu’au 30 avril pour envoyer leurs suggestions à l’adresse suivante : concertation.daj@finances.gouv.fr
Si ce document n'est donc pas la version finale du guide, il est cependant d'une lecture très utile pour tous les praticiens d'achat public. Le but est de répondre aux questions que se posent les acheteurs publics et les entreprises sur la mise en œuvre des nouvelles obligations du Code des marchés publics en matière de dématérialisation. Ce guide devrait rendre plus accessibles les informations relatives à la signature électronique, à la publicité dématérialisée des marchés, au profil d’acheteur, à la transmission dématérialisée des dossiers de candidatures et des offres, etc.

http://www.localtis.info/cs/ContentServer?c=artVeille&pagename=Localtis%2FartVeille%2FartVeille&cid=1250259738296

 

 

Les marchés publics au menu d'un petit-déjeuner de travail

La Communauté de communes a invité les entreprises du Pays de la Roche-aux-fées à participer à un petit-déjeuner économique de printemps consacré à la dématérialisation des marchés publics et l'utilisation de la plateforme e-Mégalis Bretagne. Cette rencontre avait un aspect inédit, « puisque pour la première fois, nous avons étendu les invitations au petit-déjeuner économique et décider d'inviter toutes les entreprises susceptibles de répondre aux marchés publics et qu'à l'heure où l'investissement privé chute, les marchés publics souvent décriés par les PME car administrativement lourds à gérer, peuvent représenter une réelle opportunité d'acquérir des parts de marché pour les entreprises, » a expliqué Michelle Clouet présidente de la Communauté de communes (CCPRAF) 25 participants Cette rencontre économique a rassemblé 25 participants dont des entreprises oeuvrant dans les domaines du BTP, architectes, bureaux d'étude et services. Autour de cafés, thés et croissants, les chefs d'entreprises ont échangé avec Nicolas Viel, chargé de mission au syndicat mixte Mégalis Bretagne. « L'achat public en Bretagne représente au minimum 3,5 milliards d'€ par an, soit 4,5 % du PIB régional. Depuis le 1 erjanvier 2 010, une nouvelle étape a été franchie puisque l'acheteur peut imposer aux candidats de répondre de façon dématérialisée. Pour les marchés informatiques de plus de 90 000 € HT, la transmission dématérialisée des candidatures et des offres s'impose à l'acheteur et aux candidats. La dématérialisation consiste à remplacer tous les documents écrits d'une procédure par des échanges électroniques sécurisés qui ont la même valeur. En 2 015, tous les marchés devront être dématérialisés. »

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Les-marches-publics-au-menu-d-un-petit-dejeuner-de-travail-_35239-avd-20100429-58127202_actuLocale.Htm

 

 

Le CG93 repart de zéro

Pour réduire 'drastiquement' le volume de sa production de documents papier, le Conseil général de Seine-Saint-Denis vient de lancer un marché global sur quatre ans de 700 000 euros. Mais en 2004, il s’était déjà lancé avec IBM. Cet appel d’offres poursuit un quadruple objectif : dématérialiser la gestion financière et le contrôle de la comptabilité dans le cadre du programme Hélios de la DGFiP ; transmettre électroniquement les délibérations et les pièces soumises au contrôle de légalité Actes ; dématérialiser les procédures internes de validation au moyen d’une Ged incluant un parapheur électronique ; archiver électroniquement les courriers entrants et sortants et accroître ainsi la capacité de stockage et de sauvegarde interne ; et disposer d’un archivage électronique à vocation patrimoniale. Parallèlement, le conseil général a passé un marché spécifique avec un Esat (Etablissement et service d’aide par le travail) pour la numérisation, par des travailleurs handicapés, de plus de 55 000 dossiers de personnes âgées et handicapées stockés depuis dix ans. Ce programme est piloté par Valéry Molet, directeur général adjoint du Conseil général, en charge du pôle ressources. Mais fin 2005, sous l’ancienne présidence communiste, le conseil général s’était déjà engagé dans 'un vaste chantier de dématérialisation de ses flux documentaires', décidé dans le cadre de son Pesi (Plan d’évolution du système d’information), adopté en 2004. Ce chantier devait démarrer par la chaîne comptable, donc par la dématérialisation et la télé-transmission en PES v1 (Protocole d’échange standard) des mandats, des bordereaux journaux accompagnant ces mandats, des titres de recette et des pièces justificatives, dont en premier lieu les factures, et ce en liaison avec le Pôle national de dématérialisation, qui est la structure d’assistance aux collectivités territoriales mise en place par la DGFiP pour le déploiement de son programme Hélios.

http://www.demateriel.com/?p=953

 

 

 

 

Carte d'achat/carte de paiement

 

 

L'hôpital de Lorquin adopte la carte d'achat 
Fini les bons de commande. Depuis le 1er janvier dernier, l’hôpital psychiatrique de Lorquin utilise la carte d’achats pour régler les nombreuses et menues dépenses des activités thérapeutiques proposées aux patients. Le dispositif permet de gagner cinq jours sur le traitement des factures. Même si la carte d’achats ne suscite pas franchement l’engouement espéré depuis la publication du décret la généralisant, il y a cinq ans, le dispositif continue son bonhomme de chemin, glanant, chemin faisant, de nouveaux adhérents. C’est le cas de l’hôpital de Lorquin (Moselle) qui a récemment adopté la carte d’achats. Depuis le 1er janvier dernier, le centre psychiatrique utilise le sésame pour régler les petites factures des activités thérapeutiques de ses services (achat de peinture, de gouache, de pinceaux, de papier, etc.) qui ont la particularité d’être nombreuses et, de surcroît, effectuées par des directions géographiquement atomisées, certaines se trouvant à une centaine de kilomètres du bâtiment principal. « Il fallait faciliter le quotidien des cadres de santé qui font de nombreux achats pour les activités des patients car ils étaient obligés jusqu’à présent d’envoyer un bon de commande au service logistique et d’attendre sa validation, puis son retour, pour pouvoir effectuer la commande, explique Marie-Laurence Gautrin, chargée du service financier et du personnel médical. L’objectif est semble-t-il atteint : cette dernière considère, en effet, que la nouvelle organisation en place permet de gagner cinq jours, soit le délai habituel des bons de commande

http://www.achatpublic.info/index.php?option=com_content&view=article&id=17829:lhopital-de-lorquin-adopte-la-carte-dachats-&catid=29:info-du-jour&Itemid=40

 

 

 

Le Tour de France 2010 de la carte d'achat 

Depuis 2007, l’Apeca (Association des professionnels européens de la carte d’achat) ne tenait que des conférences annuelles ou des états généraux. Mais cette année, avec la DGFiP, elle met les bouchées doubles en organisant un tour de France en 9 étapes. Cinq de ces neuf étapes sont déjà officiellement programmées : Bordeaux le 15 avril, Marseille le 4 mai, Paris le 15 juin, Toulouse le 21 septembre et Nantes le 30 septembre. Ce sera un Tour de France non pas seulement de la carte d’achat, mais également de la dématérialisation au sens large. Dans chaque ville, les conférences traiteront donc aussi de la commande publique, de la dématérialisation des factures et des appels d’offres ainsi que la mise en place du SEPA (Single Euro Payments Aera). Comme les années précédentes, ce Tour de France sera enfin l’occasion à Paris de remettre les Trophées 2010 de la carte d’achat, dans leurs trois catégories (secteur public, entreprises et fournisseurs). Onze sponsors soutiennent l’opération : American Express, Caisse d’Epargne, Camif Collectivités, Crédit Mutuel-CIC, Fiducial, e-Megalis Bretagne, Groupement Carte Bancaire, HBCC, Office Dépôt, Orecax et Oxalys. De son côté, la DGFiP (Direction générale des finances publiques) va mobiliser tous ses correspondants locaux. Son implication signifie que Bercy a plus que jamais l’ambition de hisser l’usage de la carte d’achat en France au même niveau que la Grande-Bretagne. A l’instar de son homologue, l’Etat français a d’ailleurs lui aussi sélectionné en janvier 2009 une seule offre, celle de BNP Paribas (opérée par Atos Worldline), pour l’ensemble des ministères et des services de l’Etat. Au demeurant, c’est une offre spécialement calibrée pour le secteur public. Elle ne gère que deux niveaux de fonctionnalités : le niveau 1 pour les petits achats de proximité et le niveau 3 (avec un relevé mensuel détaillé des opérations, directement intégrable dans la gestion comptable pour le contrôle automatique des prix) pour les achats récurrents et non stratégiques (fournitures de bureau et informatiques). Cette offre écarte donc le niveau 2, dont le relevé mensuel détaille les montants ht, TVA et ttc. Elle est déjà largement utilisée par le Minefe et le CNRS. Parallèlement à la notification du marché BNP Paribas, l’AIFE (Agence pour l’informatique financière de l’Etat) a décidé d’intégrer la gestion des cartes d’achat dans la version 4 de l’ERP Chorus, qu’elle est chargée de déployer dans les ministères. Cet accent mis sur la sphère publique se comprend : la carte d’achat permet de court-circuiter les fastidieuses procédures de mandatement papier (autorisation d’achat) propres à l’administration, de concentrer enfin ces achats sur un petit nombre de fournisseurs référencés, de mieux contrôler les dépenses et de raccourcir les délais de paiement à cinq jours. L’Ugap, la grande centrale d’achats publics généraliste, l’intègre donc également à son offre de services, mais seulement pour les achats de fournitures bureautiques opérés par internet auprès de Fiducial notamment.

http://www.demateriel.com/?p=917 

 

 

Argent - Comprendre PayPal
En France, la Toile s'est convertie à PayPal : un cyberacheteur sur trois environ utilise ce moyen de paiement en ligne, et plus de 18 000 sites d'e-commerce l'acceptent, dont la plupart des grandes enseignes (Fnac, Darty, 3 Suisses, Cdiscount, etc.). Cette popularité (210 millions de comptes dans le monde) n'a pas échappé à eBay, qui a racheté la société de San José en 2002 pour 1,1 milliard d'euros. S'appuyant sur le protocole Web standard TSL, qui crypte les données bancaires et sécurise les transactions, PayPal introduit un niveau intermédiaire lors des achats. L'acheteur crée un compte virtuel gratuit en enregistrant ses données bancaires, et l'entreprise les stocke, après codage, sur des serveurs ultraprotégés. Il suffit ensuite d'utiliser son courriel et son mot de passe pour valider des transactions, ce qui évite de faire transiter en ligne son numéro de carte bancaire lors de chaque paiement, comme sur Amazon ou sur Voyages-sncf. Un remboursement intégral en cas de piratage Celui qui paie via PayPal n'acquitte pas de frais supplémentaires : c'est le vendeur qui verse une commission, dégressive, sur le montant mensuel des ventes réalisées (3,4 % plus 0,25 euro pour une facturation allant jusqu'à 2 500 euros, par exemple).

http://www.lexpansion.com/economie/actualite-economique/comprendre-paypal_231237.html?xtor=RSS-115

 

 

 

 

 

SEPA

 

 

Une date butoir pour l'abandon des instruments de paiement nationaux ?
SEPA paraissait relégué ces derniers temps hors de l’actualité : les projets techniques se multiplient dans les banques et les grands éditeurs dévoilent des solutions tant pour les banques que pour les entreprises, mais l’élan initial semblait un peu perdu. Un regain d’attention pour le SEPA La crise financière avait fait passer au second plan le projet de grand marché intérieur des paiements et chacun voulait bien comprendre que les banques avaient d’autres priorités à court terme… et puis la mise en place des nouvelles instances européennes favorisait l’attentisme. Les incertitudes liées aux changement dissipées, il ne faut pas s’étonner que les différents acteurs s’intéressent à nouveau au projet dans un contexte difficile de sortie de crise et c’est logiquement des politiques que viennent les nouvelles initiatives. La nouvelle doctrine commence à se préciser grâce à la fois à la Résolution du Parlement Européen en date du 10 mars 2010, et aux déclarations récentes de Michel BARNIER Commissaire européen au Marché intérieur et aux Services. Pour le Parlement Européen le SEPA facteur de compétitivité majeur impose de fixer un butoir Le Parlement européen, qui «déplore la quasi-absence de progrès » depuis sa résolution de mars 2009, « demande de nouveau à la Commission de fixer pour la migration vers les instruments SEPA une date butoir précise, appropriée et obligatoire, qui ne soit pas postérieure au 31 décembre 2012, date à compter de laquelle tous les paiements en euros devront être effectués selon les normes SEPA ». Ce point faisait aussi partie des souhaits exprimés par Michel BARNIER. Il est bien sûr essentiel mais on notera par ailleurs que dans ses considérants, le Parlement réaffirme son souhait que «l'espace unique de paiement en euros (SEPA) [devienne] un marché intégré des services de paiement, soumis à une concurrence effective et où il n'existe aucune différence entre les paiements transfrontaliers et les paiements nationaux en euros » et regrette que « le processus décisionnel pour le SEPA est actuellement à la discrétion du Conseil européen des paiements, et que seules les banques prennent des décisions sur les produits SEPA, sans tenir compte des demandes des utilisateurs finaux ». Le SEPA est donc clairement considéré par le Parlement comme un facteur de compétitivité de l’économie européenne et un levier essentiel de la reprise. Et les banques se doivent donc de tout faire pour assurer sa bonne mise en œuvre. Par ailleurs la question toujours pendante du « modèle économique » est relancé puisque le texte « invite la Commission à clarifier définitivement, au plus tard le 30 septembre 2010, en s'appuyant sur le résultat des différentes consultations, y compris celles de toutes les parties prenantes, la question d'un modèle économique harmonisé à long terme pour les prélèvements SEPA, qui doit être applicable dans toute l'Europe, avoir un bon rapport coût-efficacité et être adapté aux utilisateurs finaux »

http://www.cfo-news.com/Une-date-butoir-pour-l-abandon-des-instruments-de-paiement-nationaux_a14268.html

 

 

 

Visa agrees Sepa debit interchange cap
Visa Europe welcomes the European Commission's agreement today that, following public consultation, it will accept proposed commitments from Visa Europe on its multilateral interchange fees (MIFs) for intra-regional immediate debit transactions in the EEA. Visa Europe also welcomes the European Commission's proposal to end proceedings on its immediate debit interchange fees. Under the proposed commitments, Visa Europe will cap its weighted average intra-regional MIF for immediate debit transactions at 20 basis points (0.2%) for four years. The same cap will apply to domestic immediate debit rates that defaulted to the intra-regional MIF rate before 10 March 2009 and continue to do so, and to domestic immediate debit rates set directly by Visa Europe. Many of these countries have their own arrangements for setting domestic interchange or have few immediate debit card transactions, therefore the overall impact is limited. Visa Europe President and Chief Executive Officer, Peter Ayliffe, said: 'The proposed commitments on immediate debit interchange fees are an important step towards the achievement of Single Euro Payment Area (SEPA) and the continued displacement of inefficient cash transactions in Europe. It will provide much needed legal certainty to the industry and provides a mechanism for a revision to the average 0.2% rate if further data becomes available on the costs of different means of payment, including cash. I am satisfied that these commitments will lead to the establishment of a suitable cost of cash methodology which can be applied both on a cross-border and a domestic basis. 'In proposing these commitments Visa Europe has acted in the best interests of consumers, retailers and our member banks. Visa Europe has always ensured that its payment cards provide substantial benefits to both consumers and retailers'.

http://www.finextra.com/news/announcement.aspx?pressreleaseid=33484

 

 

 

Speech Gertrude Tumpel-Gugerell: SEPA for cards: more than a symbol of SEPA’s success 
Speech by Gertrude Tumpel-Gugerell, Member of the Executive Board of the ECB, at the Monnet Symposium organised by The Monnet Project, Madrid, 5 May 2010 5 May is a historic date for European integration. 61 years ago today, the Treaty of London on the establishment of the Council of Europe was signed. The Council of Europe in Strasbourg is one of the oldest international organisations dedicated to facilitating European integration, with the focus on democracy and the rule of law. The Council of Europe created two symbols which were adopted by the European Economic Community in 1985 and are today used by the European Union: the flag of Europe and the European anthem. The flag of Europe has become the principal symbol of the European Union. The circle and the number twelve – which is the number of stars positioned in a circle on the flag – has numerous associations with unity, such as the 12 hours on a clock, 12 months in a year, 12 signs of the zodiac and 12 semitones in an octave. Unity is also a crucial factor in the success of one of the biggest economic projects the European Union has ever seen: the establishment of one single euro payments area – SEPA. With the united efforts of the European banking community, the legislators and the central banking community, SEPA made a successful start with the introduction of the SEPA credit transfer more than two years ago and the SEPA direct debit last year. Of course, SEPA is far from complete. The migration to SEPA credit transfers and SEPA direct debits will take some time. I am confident, however, that with the setting of a realistic but ambitious end date, the pace of the migration will increase considerably. For this reason, I have no concerns regarding the success of a SEPA for credit transfers or direct debits. However, SEPA is built on a third column too: SEPA for cards. Cards are the most commonly used payment instrument in the European Union, accounting for almost four out of ten transactions in 2008. Without the success of SEPA for cards, the project will not be complete. Very often SEPA for cards is associated with the establishment of an additional European card scheme. But SEPA for cards is about much more than that: it is about business rules and technical standards too. SEPA for cards – business rules The business rules are set out in the SEPA Cards Framework (SCF) by the European Payments Council (EPC), as well as the ECB’s "SEPA for Cards" report of November 2006. Of course, every agreement is to some extent a compromise which tries to accommodate as many views as possible. That is not to say that there is anything wrong with a compromise per se. Without the ability to reach compromises we would, for example never have been able to agree on the design of the euro banknotes since, of course, every country believed its legacy banknotes to be the most beautiful. However, a compromise should not be too general leaving too much room for interpretation. I have already said on several occasions before that for me the SCF document is perhaps too general. I think the SCF requires further development, increased clarity and more detailed rules. Let me also recall that in the sixth SEPA progress report we proposed the creation of a card transaction processing framework.[1] This would set out the business rules for card schemes and processors with regard to the processing of SEPA card transactions.

http://www.ecb.europa.eu/press/key/date/2010/html/sp100505.en.html

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dématérialisation

 

 

Basware étend son propre réseau d’e-facturation

L’éditeur finlandais de solutions purchase-to-pay entièrement automatisées ne cesse d’étendre son propre réseau mondial d’e-facturation. Mais le retard du marché français l’oblige encore à y pousser, avec Logica et Kofax, la numérisation des factures entrantes. Le 29 mars dernier, Basware pouvait dévoiler 11 nouveaux partenaires affiliateurs pour son réseau international d’e-facturation, e-invoicing network : 2 en Allemagne, 4 aux Pays-Bas, 4 en Suède et 1 en Australie. Il en totalise donc désormais 80 dans 12 pays : 15 en Finlande, dont Logica et TeliaSonera ; 1 en Estonie ; 15 en Suède, dont Logica et GlobalEDI ; 8 au Danemark, dont Logica ; 7 en Norvège ; 1 en Islande ; 9 au Royaume-Uni, dont Certipost, Crossgate et Elemica ; 6 aux Etats-Unis, dont Elemica ; 9 en Allemagne, dont Crossgate et Elemica ; 1 en Suisse ; 9 aux Pays-Bas, dont Certipost et Crossgate ; et 6 en Belgique, dont Certipost et Crossgate. Le voilà donc déjà triplement aux frontières de la France. La grande originalité de son réseau e-invoicing est d’éviter au fournisseur de toute taille d’être raccordé par l’opérateur d’e-facturation de son donneur d’ordres, comme dans les services d’e-facturation conventionnels. Il peut donc être affilié par de simples sociétés de services partenaires. Même les fournisseurs de moins de 100 factures par mois sont acceptés. Pour les plus faibles volumes, le coût du service être pris en charge par l’acheteur. Il suffit au fournisseur d’envoyer ses factures au format PDF à Basware, qui se charge de convertir le fichier attaché dans un format directement exploitable par le client. Ces PDF peuvent être signés dans les pays où c’est exigé. Basware notifie en outre par mail les envois qui ont échoué et permet un réel contrôle sur les flux de trésorerie. Mais en France, la plupart des entreprises en sont encore à numériser leurs factures entrantes. Même celles qui ont déjà su tirer parti de cette numérisation hésitent à émettre elles-mêmes des factures nativement numériques. En conséquence, Basware continue de privilégier en France sa suite de traitement en workflow des factures scannées en salle courrier (Invoice Processing, Contract Matching, Order Matching et Key Performance Tool). Il a même monté un éco-système complet avec les outils de numérisation, de LAD-RAD et de vidéocodage du britannique Kofax et les services d’assistance à la maîtrise d’ouvrage et d’intégration de Logica.

http://www.demateriel.com/?p=942

 

 

 

Le marché de la dématérialisation des processus financiers en 2010 : un marché en pleine expansion 
La dématérialisation des processus financiers a pour objet de traiter de façon totalement électronique des flux de données ou des documents métier qui transitent au sein des entreprises et entre entreprises : factures fournisseur, rapprochement facture-commande, traitement des litiges, échanges e-factures, dématérialisation fiscale, archivage et e-procurement (flux d’achat de commandes fournisseur, catalogues achat, sourcing, spend analysis, appels d’offres…) et ce marché explose depuis 4 ans dans un contexte économique défavorable. Le marché de la dématérialisation des processus financiers en 2010 Le marché mondial de la dématérialisation est évalué à 1,66 milliard de dollars en 2009 (1), en croissance de 21,1% par rapport à 2008, ce marché étant défini comme l’ensemble des solutions qui permettent de réduire l’usage du papier au niveau des processus de gestion ou de communication des entreprises et d’automatiser son traitement. Selon le cabinet d’études Markess international, la dématérialisation des factures occuperait une place de choix sur ce marché avec une perspective de croissance de l'ordre de 35% pour 2010. En France, sur plus de 2 milliards de factures inter-entreprises échangées chaque année, 3% seulement sont totalement dématérialisées.

http://www.cfo-news.com/Le-marche-de-la-dematerialisation-des-processus-financiers-en-2010-un-marche-en-pleine-expansion_a14380.html

 

 

La signature électronique à l'orée de l'adolescence 
La signature électronique a dix ans en France. L'occasion de faire le point avec un prestataire d'infrastructure de signature électronique qui a lui aussi dix ans, CertEurope.
La signature électronique a été rendue possible par la loi du 13 mars 2000 mais, dix ans après, où en sommes nous ?
Nathalie Schlang, directrice marketing de CertEurope - Le lancement de la signature électronique a permis celui de la dématérialisation des échanges tout en conservant la sécurité du papier (quand on en n'a pas profité pour améliorer la sécurité, d'ailleurs). Il y a de multiples étapes et ce n'est d'ailleurs pas fini : après la dématérialisation des factures, la dernière grande phase a été celle du bulletin de paye.
La signature électronique repose sur des certificats de signature électronique. Or la délivrance de ces certificats nécessite des autorités qui soient reconnues par les destinataires. Où en est-on ?
La première grande autorité délivrant des certificats (avec notre solution) a été Certigreffe, du groupement des greffes de tribunaux de commerce Infogreffe, dès juin 2002. Ce qui a réellement lancé le marché, c'est la TéléTVA en juin 2006 mais, pour des raisons réglementaires, les certificats de Certigreffe n'ont pas pu être utilisés pour les formalités auprès des tribunaux de commerce avant 2007 ! Ceci dit, les certificats délivrés étaient autant valides pour la TéléTVA que pour la réponse aux appels d'offres.
Que signe-t-on ? Aujourd'hui, on signe peu les e-mails, préférant signer les pièces jointes (PDF en général) envoyées par e-mails. La signature garantit non seulement le consentement mais surtout l'intégrité du document et, le cas échéant, son horodatage.
Dans le domaine bancaire, les virements d'entreprises avec la nouvelle norme IBICS doivent être également signés.
Le gros développement en cours, ce sont les contrats en ligne y compris pour le grand public (conditions générales de vente, contrat de crédit...) car le passage par une étape papier (renvoi d'un contrat imprimé et signé) réduit considérablement le taux de transformation du prospect en client.
Enfin, il va bien falloir, avec le développement du Cloud et du SaaS, ainsi que la multiplication des comptes et donc des couples identifiants/mots de passe, mieux gérer la sécurité. Il est essentiel de recourir à la signature électronique pour cela : un seul certificat peut être utilisé sans risque pour un grand nombre de services différents et il est une meilleure garantie qu'un simple identifiant/mot de passe.
Quel est le principal obstacle à la mise en oeuvre d'une signature électronique dans une entreprise ? Est-ce encore un problème technique ?
Non, pas du tout. Le principal problème, c'est l'obligation de définir clairement les habilitations de chacun : qui a droit de signer quoi et donc de disposer d'un certificat de signature électronique pour signer telle ou telle chose ? Pour des documents papier, personne ne se posait vraiment la question et les signatures se font en général sur un coin de table sans vérifier les habilitations...
Un prestataire comme vous craint-il l'arrivée (un jour) de la carte d'identité électronique avec un certificat de signature électronique intégré ?
Non et même bien au contraire ! Cela développera le marché des services utilisant la signature électronique donc le besoin de certificats et surtout de services d'horodatage [également fournis par CertEurope, NDLR]. La carte d'identité restera personnelle et les entreprises auront besoin de certificats dédiés à des usages professionnels. De plus, il restera à construire les applications gérant, justement, les habilitations, ce qui peut aller jusqu'à des habilitations par seuil avec le besoin d'une contre-signature à partir d'un certain montant dans un contrat, par exemple. Toute cette réflexion est balbutiante : en général, l'habilitation est encore en mode « tout ou rien ».

http://www.cio-online.com/actualites/lire-la-signature-electronique-a-l-oree-de-l-adolescence-2824.html

 

 

 

 

Etudes

 

 

Payment Cards in France

 The Payment Cards in France to 2013 is a detailed information resource for those in the European payment card industry. It provides high quality competitor and market level data on the general purpose payment card industry, making it a hugely valuable tool in understanding current dynamics and future trends.
Scope
- Market data for the number of cards, transactions, and value across immediate debit, charge, and revolving credit cards for the period 2004-08
- Full forecasts of all market level metrics for the period 2009-13
- Card issuer market shares are presented across each product type
Highlights of this title
The total number of payment cards in France increased at an an AAGR of 4.4% between 2004 and 2008.
The number of transactions in France increased at an AAGR of 9.6% over 200408.
Key reasons to purchase this title
- Understand the current trends in this payment market and the outlook for the future
- See how the revolving credit card market in this country has developed and is expected to grow
- Understand the competitive dynamics of this market and which issuers dominate the space

http://www.researchandmarkets.com/reportinfo.asp?rfm=rss&report_id=1215015

 

 

Baromètre b-process de la facturation électronique - Artesi IDF

Le nombre de factures dématérialisées ne cesse d’augmenter, et cette tendance s’est accrue en 2009, notamment sous l’influence de la crise économique. C’est ce que constate b-process, opérateur européen de référence de la facturation électronique, qui prévoit une accélération du phénomène en 2010. Ainsi, le volume de factures dématérialisées traitées par la plateforme billManagertm de b-process a connu une croissance exponentielle, passant de 8 millions en 2004 à 110 millions en 2009. Bien que la crise ait eu un impact sur le nombre de factures traitées, la croissance constatée en 2009 est de 16% par rapport à 2008, pour un montant global des transactions effectuées par b-process supérieur à 59 milliards d’euros. De plus, cette croissance a des conséquences positives directes sur l’environnement et contribue aux objectifs que les entreprises ont instaurés afin de réduire leur impact environnemental, notamment celui du « zéro papier ». En 2009, le volume de factures traitées par b-process correspond ainsi à une économie de 2 750 tonnes de papier, soit 1 512,5 tonnes en équivalent CO².

http://www.artesi.artesi-idf.com/public/article/facturation-electronique-l%E2%80%99acceleration-du-nombre-de-projets-mis-en-place-se-confirme-en-2010.html?id=20843&crt=350

 

 

Quelle durée de vie pour les supports numériques ?

Nous générons des masses toujours plus grandes d'information, alors que la durée de vie des supports numériques disponibles pour la conserver n'a jamais été aussi courte. Si ce problème est correctement pris en compte dans quelques organismes spécialisés, il est très largement ignoré du grand public ainsi que de la majorité des institutions ou entreprises. Ainsi une grande quantité d’informations personnelles, médicales, scientifiques, techniques, administratives, artistiques, etc. est en réel danger de disparition.
Face à cette situation préoccupante, l'Académie des sciences et l'Académie des technologies tirent le signal d’alarme et publient ses recommandations dans un rapport intitulé Longévité de l’information numérique - Les données que nous voulons garder vont-elles s’effacer ?
Le papier porteur d’un message le plus ancien connu à ce jour date de l’an -8 et nous vient de Chine. Le processus de fabrication du papier n’a pas changé depuis cette époque (source : Wikipedia). Est-on réellement sûr que dans 2 000 ans, nos lointains successeurs seront à même de lire nos supports USB ? Question qui en pose plusieurs à elle-seule ? Le support sera-t-il encore reconnu ? Sera-t-il encore en état de fonctionnement (on sait que non) ? les formats de fichiers qui servent à encoder le message seront-ils encore reconnus ? N’aura-t-on pas perdu les données lors des indispensables étapes de sauvegarde qui seront nécessaires d’ici là ? Lorsqu’on voit la difficulté que l’on a aujourd’hui à lire une simple disquette 5,25 pouces alors que ce support existait couramment il y a une vingtaine d’années seulement, on peut craindre le pire....
Les auteurs soulignent la nécessité de financements publics en s’adressant à trois pays : France, Allemagne, et les Pays-Bas (premiers pays directement concernés par la localisation des compétences-clés)
Rapport d'un groupe de travail commun Académie des sciences et Académies des technologies

http://www.itrmanager.com/articles/102944/duree-vie-supports-numeriques.html?key=28eb251458c55ce1


 

Numérique : la confiance des Français mesurée

Afin de mesurer l'intérêt et la confiance des Français pour les services et les outils numériques, la Caisse des Dépôts et l'Association de l'économie numérique (Acsel) annoncent aujourd'hui les résultats du premier baromètre national. Réalisée par l'Idate, cette étude servira de référence aux secteurs public et privé pour développer les solutions innovantes attendues par le grand public. Pour la première fois en France, un baromètre donne la température de la confiance du grand public dans les services et les outils numériques, comme la gestion d'un compte bancaire en ligne ou la future carte d'identité électronique. L'enjeu est crucial au moment où l'économie numérique est devenue une priorité nationale avec 4,5 milliards d'euros alloués dans le cadre du grand emprunt. Jusqu'à ce jour, les acteurs du public et du privé ne disposent d'aucun repère précis pour savoir si l'ensemble des citoyens sont réceptifs à l'offre actuelle. Ni dans quelle proportion ils sont utilisateurs des nouveaux usages inventés par des opérateurs qui rivalisent d'innovation pour capter l'intérêt du grand public.

http://www.lesechos.fr/info/comm/020397488300.htm?xtor=RSS-2069

 

 

 

Une étude de Markess International sur l’archivage
L’importance croissante du contexte légal et réglementaire

Une entreprise sur deux (48 %) évoque régulièrement archiver régulièrement des contenus électroniques, 17% le faire de façon occasionnelle et 22% indiquent avoir un projet d’archivage électronique d’ici 2012. Une minorité des organisations interviewées, bien qu’intéressées par le sujet, n’affiche pas à ce jour de projet en la matière. C’est ce qu’indique une enquête réalisée par le cabinet Markess International intitulée « Archivage & Conservation de Contenus Electroniques ».
En 2007, Markess International notait que, malgré un engagement massif dans des projets de dématérialisation, les approches des organisations en termes d’archivage de contenus électroniques (1) n’en étaient qu’à leurs prémices. Trois années plus tard, la nouvelle étude de Markess International sur ce sujet montre une sensibilisation accrue des organisations, privées et publiques. L’archivage de contenus électroniques progresse en effet dans les organisations et semble revêtir un aspect plus stratégique, en raison notamment de la présence croissante de contenus électroniques à valeur probatoire....

http://www.itrmanager.com/articles/102213/etude-markess-international-archivage-br-importance-croissante-contexte-legal-reglementaire.html?key=28eb251458c55ce1

 

 

 

Pour info…

 

Crise économique : les PME sont encore dedans 
Près de deux entreprises sur trois ressentent une baisse de leur chiffre d'affaires en mars 2010. Parallèlement, 68 % d'entre elles déclarent avoir au moins un besoin de financement. C'est ce qu'indique le cinquième baromètre KPMG/CGPME.
La crise économique est derrière nous ? Pas pour les PME, en tout cas. De fait, 62 % des PME françaises ressentent une baisse de leur chiffre d’affaires en mars 2010, soit 4 points de plus qu’en janvier. C’est ce qu’il ressort de la cinquième édition du baromètre KPMG/CGPME* réalisé par l’Ifop et publié mardi 13 avril.
Des difficultés qui se reflètent au niveau du moral des dirigeants. Ils sont 80 % à se déclarer inquiets pour l’économie française, contre 72 % trois mois plus tôt. À titre de comparaison, en février 2009, en pleine crise économique, ils étaient 87 % à se dire pessimiste.
Les besoins de financement explosent
Dans ce contexte, 68 % (+8 points) des PME déclarent avoir au moins un besoin de financement. C’est le niveau le plus haut depuis la création du baromètre il y a un an. « Les besoins liés à des financements de trésorerie et d’exploitation ont particulièrement augmenté et concernent désormais 40 % des PME (contre 32 % il y a trois mois) », indique l’Ifop.
Parallèlement, 44% des dirigeants avouent se retreindre dans leurs investissements et leurs demandes auprès des banques. Cette autocensure est plus fortement ressentie dans les entreprises de 20 à 49 salariés (51%).
Les banques de plus en plus exigeantes sur l’accès au crédit…
Plus des trois-quarts des PME déclarent être confrontées à au moins une mesure de durcissement d’accès au crédit de la part de leur banque. Un niveau stable depuis six mois, mais en hausse de 17 points en un an.
Ainsi, une PME sur deux doit présenter des cofinancements ou des cautions ; 46 % (+ 4 points) des entreprises obtiennent des crédits à des taux ou des frais élevés, ou pour des montants plus faibles que souhaités ; 42 % (+ 4 points) doivent fournir des garanties supplémentaires. Enfin, les délais d’acceptation tendent à s’allonger pour 33 % des PME (contre 30 % en janvier).
…ce qui impacte leurs relations avec les PME
Conséquence de ce durcissement ? Les dirigeants sont de moins en moins satisfaits de leur relation avec leur banque (-5 points depuis janvier 2010). 85 % des chefs d’entreprise se déclarent toutefois encore satisfaits.
Logiquement, les PME sont désormais 59 % à envisager d’examiner les conditions des banques concurrentes (contre 49 % il y a un an). 58 % souhaitent demander plus d’informations à leur banque et près de la moitié (48 %, -2 points) pourraient réexaminer leurs placements, trésorerie ou lignes de crédit.
Enfin, plus d’un dirigeant sur deux (51 %, +2 points) se dit prêt à recourir au médiateur du crédit ou à un tiers de confiance en cas de litige ou de problème de financement.
* Pour la cinquième édition de ce baromètre, l’Ifop a interrogé en mars 2010, à la demande de KPMG et de la CGPME, plus de 400 dirigeants d’entreprises françaises de 10 à 500 salariés sur leur financement et leur accès au crédit.

http://www.decision-achats.fr/Article-A-La-Une/Crise-economique-les-PME-sont-encore-dedans-1495.htm?XType=XTM&xtor=EPR-3


 

 

 

 

A VOS AGENDAS

 

  • Paris, 28 mai 2010

Concur UlysseTravelDay’2010 -
le forum 100% dédié au Secteur Public – 3ème édition
Parrainé par l'APECA

Infos, programme et inscriptions en ligne sur:  http://www.concur.fr/ulyssetravelday


 

  • Paris, 15 juin 2010

3ème des 9 étapes du Tour de France de la Carte d'Achat et de la Dématérialisation

organisé par la Direction générale des Finances publiques et l'APECA

Pogramme détaillé de l'étape et inscription :

http://tourdefrancecarteachat.com/mat/r/default.asp?id=1120

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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