Mon panier
0
 article
 €
0,00
Total: 

Voir mon panier
Mon compte
  28/06/2010

Apeca BtoB transaction news


APECA BtoB Transaction News mai-juin 2010


 

Sphère publique

 

Marchés publics: Le guide pratique de la dématérialisation vient de paraître !
Ce guide a pour but d’accompagner les acheteurs publics dans toutes les étapes de la dématérialisation de leurs marchés, des échanges de courriels à la réception dématérialisée des candidatures et des offres, en passant par la mise en place d’un profil d’acheteurs. Il fait le point sur les évolutions récentes de la réglementation, et aborde des sujets tels que la signature électronique, la construction de la chaîne de dématérialisation complète ou l’archivage des données.
La version aujourd’hui mise en ligne tient compte de l’ensemble des contributions adressées à la direction des Affaires juridiques (DAJ) du ministère de l’Economie lors de la consultation publique ouverte sur Internet en mars dernier. La DAJ remercie tous les participants aux travaux de rédaction du guide et les invite à contribuer à son évolution future. Le document sera, en effet, régulièrement tenu à jour grâce aux retours d’expérience dont témoigneront les utilisateurs.Pour accéder au guide: http://www.minefe.gouv.fr/directions_services/daj/dematerialisation/guide-pratique-dematerialisation-mp.pdf

 

 

e-mégalis Bretagne impose la signature électronique
Les salles de marchés publics bretonnes, bourguignonnes et franciliennes devaient converger, mais e-mégalis Bretagne prend les devants en imposant la réponse électronique.
Depuis le 12 mai dernier, la réponse électronique obligatoire est pour toutes les consultations que publie le syndicat mixte e-mégalis Bretagne pour ses propres besoins sur la plate-forme d’administration électronique de la région Bretagne. Une première en France ! Elle se fonde sur l’article 56 du Code des marchés publics, qui permet au pouvoir adjudicateur d’imposer, à compter du 1er janvier 2010, la transmission par voie électronique des documents. Au 4 mai dernier, 393 entités publiques et près de 12.000 entreprises étaient inscrites sur la salle de marchés. Depuis le 1er janvier 2007, celle-ci a reçu plus de 1 600 réponses électroniques pour 12.200 consultations publiées. Un score certes modeste, mais c’est le meilleur jamais enregistré en France par une place de marchés publics. Il représente 16,2 % de l’ensemble des réponses reçues.
Dans la foulée, e-mégalis Bretagne prévoit également d’imposer la signature électronique. "Parce que ça va avec, souligne Céline Faivre, directrice générale, pour éviter toute rematérialisation, notamment au stade de l’archivage."

http://www.demateriel.com/?p=981

 

 

L’administration chamboulée par Ulysse Travel & Expense
Tous les retours d’expérience le prouvent : la plate-forme internet de gestion des frais de mission de Concur Etap-On-Line déclenche dans les administrations centrales et les grandes collectivités territoriales l’envie d’une dématérialisation toujours plus poussée.
Les administrations centrales et les grandes collectivités territoriales sont toujours plus nombreuses à adopter la solution intégrée et modulaire Ulysse Travel & Expense du français Etap-On-Line (à présent intégré au prestataire américain Concur) pour centraliser, dématérialiser et automatiser leur gestion des ordres de mission, des frais de déplacement et des réservations.
Au début des années 2000, certaines d’entre elles avaient tenu à l’opérer en interne, en mode intranet. Mais cette approche s’est avérée une impasse. Elle ne permet pas vraiment d’intégrer la réservation en ligne de billets de train-avion et de chambres d’hôtels. Intégration qui s’est imposée depuis la suppression en 2005 des commissions que les agences de voyages reversaient à leurs bons clients.
La bonne solution est donc d’utiliser Ulysse Travel & Expense en mode internet, avec la réservation en ligne. "Ce mode est aussi est aussi de 20 à 30 % plus rapide à paramétrer et de 30 à 50 % plus économique", souligne Pierre-Emmanuel Tetaz, fondateur d’Etap-On-Line, à présent directeur de Concur France. Du coup, pratiquement tous les nouveaux clients du secteur public adoptent désormais le mode Internet : les ministères de l’Education nationale, de la Justice et de l’Intérieur, la Halde, l’Insee, l’Institut national de veille sanitaire, le Conseil régional de Bretagne, les Conseils généraux du Nord-Pas-de-Calais et de la Meurthe-et-Moselle… Mode internet, que la Direction générale de l’aviation civile prévoit également d’adopter à la place du mode intranet.

http://www.demateriel.com/?p=991

 

 

La place de marchés publics de demain

Régis Courroy, responsable des achats de l’Opac Vosges, a dressé le 15 juin dernier à Paris, à l’occasion de la journée de la carte d’achat de l’Apeca, le portrait robot de la place de marchés publics de demain. Elle doit, bien sûr, aller bien au-delà des simples mise en ligne des DCE (Documents de consultation des entreprises) et dépôt sécurisé des réponses électroniques. Elle doit aussi permettre le dépôt des bons de commandes de ces marchés afin de leur donner une date certaine. Et côté fournisseurs : elle doit permettre le dépôt des factures pour donner une date certaine de fin d’exécution. Pour les marchés de travaux, elle doit aussi permettre à l’adjudicateur de notifier à l’adjudicataire l’état d’acompte avec date certaine. Elle doit enfin permettre la dématérialisation du contrôle de l’exécution des marchés pour sortir définitivement et le plus vite possible des procédures papier. Plus de 150 documents doivent en effet être échangés pour l’établissement du CCAG (Cahier des charges administratives générales) applicable à chaque marché. Enfin, la place de marchés publics de demain devrait permettre le règlement par carte d’achat des marchés à bons de commande, avec sa notification au fournisseur. « Toutes ces fonctionnalités, nous assure Pierre-Alain Perny, membre du directoire d’achatpublic.com, sont déjà implémentées ou en voie d’implémentation sur notre plate-forme. » Achatpublic.com est justement la place de marchés utilisée par l’Opac Vosges.

http://www.demateriel.com/2010/06/21/la-place-de-marches-publics-de-demain

 

 

Petits marchés publics et accès des PME : les réponses du Gouvernement

Le Gouvernement a été interpellé par deux sénateurs lors de la séance parlementaire du 1er juin sur les sujets brûlants du moment en marchés publics : les conséquences de la suppression du seuil de 20 000 euros et l'accès des PME aux marchés de l'Etat.
Le sénateur Claude Biwer s'est fait le porte-parole des élus hexagonaux, en particulier les maires des petites communes, pour regretter l'abaissement du seuil en deçà duquel les marchés publics peuvent être passés sans publicité ni mise en concurrence. De 20.000 €, ce seuil est retombé à 4.000 euros suite à la décision du Conseil d'Etat du 10 février 2010. Aussi le parlementaire demande au Gouvernement quelle initiative il entend prendre pour relever ce seuil à « 20.000 euros ou au-delà ». Réponse de Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé, qui représentait ce jour-là la ministre de l'Economie : « ...Définir un nouveau seuil de dispense de procédure supérieur à 4 000 euros hors taxes n'est pas possible...le Gouvernement réfléchit également aux précisions rédactionnelles qui, tout en respectant la décision du Conseil d'Etat, pourront utilement être insérées dans le Code des marchés publics. Un projet de décret en ce sens fait actuellement l'objet d'une consultation interministérielle, en vue de sa publication dans les prochains mois."
Autre difficulté soulevée, celle rencontrée par les PME face aux appels d'offres passés de plus en plus souvent à l'échelon national. Le sénateur Antoine Lefèvre explique que « les PME sont très préoccupées par l'action de l'UGAP, et par la création du SAE, le service des achats de l'État, qui, au nom d'un objectif de rationalisation de la commande publique, concourent bien souvent à l'éviction de ces entreprises de la majorité des marchés publics.  Là encore, la réponse du Gouvernement se veut rassurante. Valérie Létard, secrétaire d'État en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, explique : le nouveau dispositif d'achats de l'Etat « passe par la globalisation nationale des achats lorsque l'offre est elle-même déjà concentrée, mais il n'est pas mis en œuvre dans tous les domaines...De plus souligne la secrétaire d'Etat, « les PME peuvent soumissionner aux procédures de mise en concurrence, seules ou sous la forme de groupements, mais aussi par le mécanisme de la sous-traitance. ».

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/704779-petits-marches-publics-et-acces-des-pme-les-reponses-du-gouvernement

 

 

Allotissement : le TA de Paris déboute les fournituristes

 La fronde des fournituristes contre la massification des achats de l’Etat a tourné à leur désavantage. Neuf entreprises membres de la fédération des équipements de bureau (FEB) ont perdu leur référé précontractuel contre l'accord-cadre lancé par le service des achats de l’Etat (SAE) pour l’acquisition et la maintenance de solutions d’impression. Le TA a considéré que l’allotissement réalisé n'a pas réduit la concurrence.

http://www.achatpublic.info/index.php?option=com_content&view=article&id=18082:allotissement-le-ta-de-paris-deboute-les-fournituristes&catid=29:info-du-jour&Itemid=40

 

 

 

 

 

Marchés publics : toilettage du Code en perspective

Le ministère de l'Economie va toiletter le Code des marchés publics dans les prochains mois. "Il ne s'agit pas là d'une révolution mais du "nettoyage" de quelques articles du Code", souligne Catherine Delort, la sous directrice des affaires juridiques de Bercy.
Le décret permettra de faire des ajustements nécessaires et notamment à :
- l'article 56 du Code des marchés publics, consacré à la dématérialisation : "celui-ci pâtit d'une rédaction complexe et obscure.
Les ajustements apportés vont gommer les scories présentes, ainsi que les éléments liés aux différentes échéances passées : la partie expérimentation n'a plus lieu d'être par exemple", précise Bercy.
Le nouvel article va être réorganisé de la façon suivante : les grands principes de la dématérialisation, ce que le pouvoir adjudicateur va pouvoir imposer, ce qui est imposé aux pouvoirs adjudicateurs et aux entreprises.
- l'article 74 sur les marchés de maîtrise d'œuvre : le décret « concessions de travaux publics » a abrogé la notion de marchés de définition. Le dialogue compétitif deviendrait une procédure supplémentaire pour passer ce type de marché : cela pourrait être une solution pour remplacer les marchés de définition, souligne la DAJ de Bercy.
- l'article 18, consacré au prix du marché : le décret corrigera une incohérence de renvoi au sein de l'article.
"Ce texte ne remettra donc pas pour autant en cause la stabilité de la réglementation actuelle", souligne Catherine Delort.

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/704456-marches-publics-toilettage-du-code-en-perspective

 

 

 

 

Carte d'achat/carte de paiement

 

 

Orecax, plate-forme d’achats par cartes d’achat seulement
Depuis trois ans, la plate-forme Orecax (Lyon) simplifie et dématérialise toutes les tâches des acheteurs publics en restauration collective, depuis la mise en ligne des appels d’offres jusqu’au paiement, avec une particularité unique : ces paiements sont exécutés en ligne par carte d’achat exclusivement, donc par toute carte d’achat du marché. En 2009, quelque 300 clients ont ainsi passé 800 marchés auprès de 200 fournisseurs. Pour Davigel et Pomona, ces achats sont même effectués via leur propre catalogue électronique. Fort de ce succès, Orecax s’ouvre maintenant aux achats publics hors restauration (fournitures de bureau et produits d’entretien).

 http://www.demateriel.com/2010/06/21/orecax-plate-forme-dachats-par-cartes-dachat-seulement

 

 

Secteur public : les petits pas de la carte d’achat

Mi juin, à l’occasion de l’étape parisienne du Tour de France de la carte d’achat et de la dématérialisation organisé par l’Apeca, la Direction générale des finances publiques (DGFIP) a dressé un bilan plutôt encourageant des projets en cours.
« Avec 256 programmes, contre 158 en 2008, soit une progression de 62 % sur douze mois, nous avons assisté en 2009 à un vrai décollage de la carte d’achat dans la sphère publique », s’est d’emblée félicité Cyril Poignard, directeur départemental du Trésor à la DGFIP. La sphère de l’État est la plus concernée, avec notamment une multiplication des programmes dans les établissements publics nationaux (49 contre 11 en 2008) et les services centraux des ministères (38 contre 8). « Le déploiement du système de gestion financière Chorus et la mise en place du Service des achats de l’État (SAE) ont certainement été des moteurs », a analysé Cyril Poignard. Mais la sphère publique locale n’a pas été en reste, à tous les échelons. Seules les régions sont aujourd’hui à la traîne, puisque le programme de Poitou-Charentes fait figure d’exception.
En termes de volume d’achats, la hausse avoisine 58 %, à 68,7 millions d’euros. Un montant toutefois loin des plusieurs centaines de millions d’euros réalisés par carte d’achat dans le secteur privé. Le nombre de transactions annuel approche pour sa part la barre des 150 000 opérations (+27 %). Et le panier moyen s’établit à 457 euros (+25 %), tiré par « une utilisation de la carte d’achat pour des produits et des services à plus forte valeur ajoutée, et plus seulement pour ceux de faible montant ». Parmi les freins au déploiement, la réticence des fournisseurs arrivent toujours en tête. « Le plus souvent, au-delà des bénéfices (rapidité du paiement, réduction des coûts de gestion, simplification administrative et comptable...), ils restent bloqués sur le taux de commissionnement et le coût des adaptations techniques », regrette Solange Ligeret, secrétaire général de l’Apeca.

http://www.lettredesachats.fr/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/45/78/document_article_web.phtml

 

 

 

 

SEPA

 

Avec www.sageevolutionsepa.fr, Sage aide les entreprises à comprendre et à préparer la mise en œuvre du SEPA
Sage annonce le lancement du site dédié www.sageevolutionsepa.fr destiné à offrir aux entreprises tous les outils dont elles ont besoin pour comprendre et mettre en œuvre la réglementation SEPA. A moins de deux ans de l’échéance, ce site est destiné aux moyennes et grandes entreprises équipées d’une solution Sage de trésorerie ou de communication bancaire. Il s’inscrit en complément des nombreux évènements, rencontres et campagnes d’information déjà réalisés par la division Moyennes et Grandes Entreprises de Sage pour sensibiliser ses clients à la migration vers le SEPA et vers les nouveaux protocoles de communication bancaire (EBICS et Swiftnet).

http://www.daf.info/Avec-www-sageevolutionsepa-fr-Sage-aide-les-entreprises-a-comprendre-et-a-preparer-la-mise-en-oeuvre-du-SEPA_a1910.html

 

 

 

SEPALIA : Plateforme externalisée de traitement des flux SEPA en mode SAAS
Une offre évolutive et modulaire à destination des banques et des créanciers Le fruit d’un partenariat entre Extelia et Clear2Pay Mis en place par les pays membre du Conseil Européen des paiements (EPC), le projet SEPA* a pour ambition de créer un espace de paiement européen unifié, commun aux 32 pays de la zone SEPA. L’objectif est, quel que soit le pays d’origine et le pays destinataire, de traiter un paiement dans les mêmes conditions qu’un paiement domestique. Au‐delà de la mise en place d’une nouvelle norme de messages et d’échanges, la zone SEPA conduit à un nouveau cadre juridique : diffusion de nouveaux formats d’échanges et de nouveaux instruments de paiement, modification de la position des banques, création des Etablissements de Paiement.
http://www.globalsecuritymag.fr/SEPALIA-Plateforme-externalisee-de,20100625,18302.html



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dématérialisation

 

 

Factures en PDF signé : Auchan ouvre le choix

Seulement 730 des quelque 8400 fournisseurs du groupe Auchan se sont à ce jour convertis, via b-process, à la dématérialisation fiscale de leurs factures en mode EDI ou PDF signé. Aussi, pour faciliter et accélérer la migration, le distributeur vient-il d’agréer trois autres prestataires d’e-facturation, capables de convertir les factures des petits fournisseurs en un PDF signé et un fichier XML : le tandem Deskom-Jouve, @GP (26120 Montelier), qui est un spécialiste du webEDI, et Qweeby (St-Etienne). Ces prestataires ont chacun leurs caractéristiques. Le service Deskom-Jouve repose ainsi sur l’imprimante virtuelle FactureBox. @GP propose, lui, un tarif de 45 centimes par PDF signé, quel que soit le nombre de pages, alors que b-process facture à la page. Quant à la Boîte d’envoi du nouvel entrant Qweeby, elle inclut un coffre-fort électronique, de technologie Cecurity.com, chez ArchivesLegalSolutions. Seres devrait compléter ce panel à la rentrée. Tous ces prestataires de dématérialisation fiscale des factures en PDF signé, conformément à l’article 289V du code général des impôts, sont sur le point d’être qualifiés par l’organisation GS1 France

http://www.demateriel.com/2010/06/21/factures-en-pdf-signe-auchan-ouvre-le-choix

 

 

 

Etudes

 

 

Les PME/PMI encore timides sur la dématérialisation des règlements et des factures

Les PME/PMI adoptent pas à pas la dématérialisation dans leurs processus d’achats, de ventes et de facturation mais ne semblent pas encore totalement convaincues de son efficacité. Tel est le bilan dressé par l’étude de l’Apeca (Association des professionnels européens de la carte d’achat et de la transaction dématérialisée) auprès de 430 PME/PMI. Aujourd’hui, les mentalités évoluent au sein de ces petites entreprises, mais pas assez au goût de Georges Fischer, le président de l’Apeca. «Les PME doivent modifier leurs comportements», plaide-t-il. Si les PME/PMI utilisent régulièrement Internet, elles ne semblent pas encore totalement conquises pour la gestion de leurs actes d’achats et de ventes. Ainsi, pour passer des commandes de fournitures, la majorité de ces sociétés utilisent encore les moyens traditionnels (fax ou téléphone). Concernant le règlement de leurs achats, 70,2% d’entre elles favorisent le chèque comme moyen de paiement, loin devant le virement (40,2%). Concernant la dématérialisation des factures, là encore, les PME/PMI se montrent peu enclines à accélérer le mouvement. En 2009, 21% des PME interrogées déclarent dématérialiser leurs factures selon l’étude de l’Apeca. D’une part, 47,4% des PME/PMI disent ne pas disposer d’un équipement suffisant pour dématérialiser leurs factures. D’autre part, 50,2% des PME interrogées n’y voient pas d’intérêt pour leurs clients. En outre, le modèle économique de rationalisation des coûts qui leur est proposé est encore trop éloigné de leurs habitudes. Ainsi, pour 44% des PME, la dématérialisation des factures ne permet pas à l’entreprise de réduire les coûts de traitement. «L’équilibre économique est trop incertain si le volume des factures est inférieur à une dizaine de milliers par an», témoigne Olivier Arnaud, directeur général délégué de Deskom, spécialisé dans la facture électronique. Un autre frein à cette dématérialisation s’explique par l’obligation d’un mandat de facturation écrite pour la contractualisation. Tous reconnaissent néanmoins que ce choix conduit à davantage de simplicité. Forte de cette étude et de ces constats, l’Apeca souhaite adresser une lettre ouverte aux autorités afin qu’elles prennent davantage en compte les problèmes auxquels sont confrontés les PME/PMI dans cette démarche de dématérialisation de leurs processus d’achats et de ventes.

http://www.decision-achats.fr/Breves/Les-PME-PMI-encore-timides-sur-la-dematerialisation-des-reglements-et-des-factures-34004.htm?xtor=RSS-1

 

 

La dématérialisation des marchés publics en question 

Si les entreprises ne sont pas étrangères à l'intérêt que représente la dématérialisation des marchés publics, beaucoup d'entre elles ne se sentent pas suffisamment prêtes et formées pour répondre aux appels d'offres publics selon ce procédé.
Un accès simplifié à l'information. Tel est le principal intérêt de la dématérialisation des marchés publics - et notamment la possibilité de consulter en ligne les dossiers de consultations des entreprises (DCE) - pour 47% des sociétés interrogées par Vecteur Plus*, une entreprise spécialisée dans la veille commerciale et la détection des appels d'offres publics et privés.
*Étude réalisée entre avril et mai 2010 auprès de 239 entreprises 

http://www.decision-achats.fr/Article-A-La-Une/La-dematerialisation-des-marches-publics-en-question--1642.htm?XType=XTM&xtor=EPR-3

 

 

 

Pour info…

 

Événement : un membre du gouvernement aux Trophées des achats
Cette quatrième édition s’est déroulée, le 14 juin, au Casino de Paris, en présence d’Hervé Novelli, venu rappeler la responsabilité des grands donneurs d’ordres. Une responsabilité revendiquée par la Cdaf qui inaugure sa plate-forme d’achats solidaires Pas@Pas.
Le grand vainqueur de la soirée est le service achats de L’Oréal, désigné par le jury « direction et équipe achats de l’année ». Un prix coup de cœur du jury a été exceptionnellement attribué à la direction des achats de l’assureur Allianz. Cette édition des Trophées a été marquée par l’inauguration d’un prix « achats, handicap, insertion et diversité » attribué à Thales et Faceo.
La Cdaf a d’ailleurs affirmé l’engagement RSE de ses membres, en présentant la plate-forme d’e-achat solidaire Pas@Pas. Bénéficiant d’un partenariat avec Handeco et l’Avise (Agence de valorisation des initiatives socio-économiques), cette dernière revendique une base d’environ 7 500 fournisseurs des secteurs adaptés, protégés et de l’insertion. Ces deux associations doivent contribuer à qualifier cette base, tandis que deux autres partenaires, HEC et l’université Euromed, participeront à l’enrichissement documentaire. À l’heure actuelle, la base dispose d’informations complètes sur 25 % des fournisseurs référencés : définition de l’activité sur la base d’une segmentation achats, chiffre d’affaires, effectif, couverture géographique.
Le secrétaire d’État aux PME et à l’Artisanat n’a fait qu’un bref passage pour rappeler « la nécessité de l’industrie française de trouver des systèmes de partenariats ». Il a rappelé les initiatives allant dans ce sens : pacte PME, médiation interindustrielle et charte de bonnes pratiques entre donneurs d’ordres et PME. Au passage, Hervé Novelli a annoncé que 21 grands groupes allaient rejoindre les 20 premiers signataires. Areva figurerait parmi eux.
http://www.lettredesachats.fr/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/45/76/document_article_web.phtml

 


Le Pacte PME a son association
Lancée le 22 juin, l'association Pacte PME regroupe 31 grands comptes, fleurons de l'économie française. Son objectif: favoriser la collaboration entre donneurs d'ordres et PME à travers la mise en place d'initiatives concrètes.

Un “small business act” volontaire et participatif. C'est ainsi que Henri Lachmann a caractérisé le lancement de l’association Pacte PME, dont il est le président, en faisant référence à une loi américaine éponyme dont l'objectif est de favoriser les PME dans le tissu économique. «C’est la taille des entreprises qui fait aujourd’hui défaut aux PME françaises, non leur compétitivité. En effet, l’Hexagone possède six fois moins d’entreprises de taille intermédiaire que l’Allemagne, a déploré Henri Lachmann. C'est pourquoi notre association va œuvrer pour le renforcement de nos petites entreprises afin qu’elles puissent davantage s’imposer auprès des grands groupes et établir un dialogue d’égal à égal avec eux».

http://www.decision-achats.fr/Article-A-La-Une/Le-pacte-PME-a-son-association--1741.htm?XType=XTM&xtor=EPR-3

 

 

Les risques de défaut de paiement restent une préoccupation majeure pour les entreprises en Europe
Les défauts de paiement sont restés, au cours de l'hiver 2010, à un niveau supérieur à celui de 2008, ce qui se traduit partout en Europe par une priorité accrue donnée à la gestion des risques clients dans les entreprises.Le grand vainqueur de la soirée est le service achats de L’Oréal, désigné par le jury « direction et équipe achats de l’année ». Un prix coup de cœur du jury a été exceptionnellement.
Certes les entreprises interrogées à l’occasion de l’étude d’Atradius* sur les pratiques de paiement, ont observé une légère amélioration des comportements de paiement à la fois des acheteurs domestiques et à l’exportation sur plusieurs marchés. Mais dans la plupart des cas, ces améliorations sont le reflet d’une gestion des risques clients plus stricte, plus vigilante et, dans certains cas, sont contrebalancées par des faiblesses persistantes dans certaines zones géographiques. Autrement dit, les risques de défaut de paiement restent aujourd'hui une préoccupation majeure pour les entreprises en Europe.

http://www.decision-achats.fr/Article-A-La-Une/Les-risques-de-defaut-de-paiement-restent-une-preoccupation-majeure-pour-les-entreprises-en-Europe-1628.htm?xtor=EPR-3

 

 

 

Partenariat entre Orange Business Services et Swift Hub Finance pour remplacer ETEBAC/X25
Swift et Orange Business Services s’associent pour proposer le service Hub Finance destiné à remplacer deux protocoles en fin de vue : X25 côté télécommunications (France Télécom débranche X25) et Etebac qui régit les échanges entre les entreprises et leur banque. OBS assurera la commercialisation de ce service et vise une cible qu’elle évalue à 90 000 entreprises en France. Lancement de l’offre Hub Finance pour faciliter la communication entreprise/banque en passant très facilement le cap de la double migration X25 et ETEBAC. Hub Finance est présentée comme une solution sécurisée destinée aux entreprises qui ont des besoins de gestion de trésorerie multi bancaire sur le marché domestique ou international. Elle sera disponible au quatrième trimestre 2010.
Le partenariat entre les deux entreprises et le lancement de la solution Hub Finance intervient comme une conséquence logique de l’interruption du service X25 et la décision du Comité Français d’Organisation et Normalisation Bancaires (CFONB) de remplacer le protocole Etebac par lestandard allemand EBICS et la famille SWIFTNet comme protocoles d’échange clients-banques.

http://www.itrmanager.com/articles/105801/partenariat-entre-orange-business-services-swift-hub-finance-remplacer-etebac-x25.html?key=28eb251458c55ce1


 

 

 

 

A VOS AGENDAS

 

  • Paris, 31 août  2010

Université d'été AirPlus

L'APECA est partenaire de cet événement

Infos et inscriptions :

http://www.vertical-mail.com/soloair1006invit/10.php4

 

 

  • Paris, 22 & 23 septembre 2010

UGAP Expo Grande Halle de la Villette

 L'APECA est partenaire de cet événement

Infos, programme et inscriptions en ligne sur:  http://www.ugap.fr/actualite/actualites/agenda/ugap-expo-2_3641

 


 

  • Paris, 23 & 24 septembre 2010

5ème édition: Performance et Stratégies d'Achat

Organisé parMarcus Evans

L'APECA est partenaire de cet événement

../r/default.asp?num=5473&id=408&archive=0&page=1

 

 

  • Toulouse, 21 septembre; Nantes le 30 septembre

 Les prochaines étapes du Tour de France de la Carte d'Achat et de la Dmatérialisation

Pogramme et inscription :

http://tourdefrancecarteachat.com/mat/r/default.asp?id=408

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

APECA NEWS

APECA News, une lettre d'information sur la carte d'achat, le marché et ses acteurs,les services associés, en France et en Europe.

 

 

 

 

Association des Professionnels Européens de la Carte d'Achat 79000 NIORT, adresse de correspondance 5 rue Ste Marthe 79000 Niort

Mentions légales

Politique RGPD

L'APECA  est créée le 4 avril 2003. Nous sommes une association d’acteurs économiques et entités publiques engagés autour d’un même objectif, la Performance des Achats Publics.


achatpublic.info

Décision Achats

Digimind

La Lettre des Achats