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  02/04/2012

Apeca BtoB transaction news


APECA BtoB Transaction News mars 2012


Sphère publique

Un nouveau modèle de fiche pour le recensement des marchés publics
La direction des Affaires juridiques et la direction générale des Finances publiques du ministère de l'Economie viennent d'actualiser le guide du recensement des achats publics afin de le mettre en conformité avec l'arrêté du 21 juillet 2011. Dans le cadre du recensement obligatoire des marchés dont le montant est supérieur à 90.000 euros HT, l'article 84 du Code des marchés publics (CMP) répond à la collecte des données statistiques opérée par la Commission européenne. Les marchés d'un montant inférieur font quant à eux l'objet d'un recensement spécifique par sondages récoltés auprès d'une fraction représentative d'acheteurs publics. Ce guide a pour objet de faciliter l'obligation de recensement incombant à l'acheteur public en détaillant pas à pas les rubriques à remplir. Le nouveau modèle de fiche, à en-tête de l'Observatoire économique de l'achat public (OEAP), doit obligatoirement être utilisé pour les marchés notifiés depuis le 1er janvier 2012. Pour la période antérieure, l'ancienne fiche-modèle datant de 2006 demeure valable.

http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250263429836&cid=1250263424017

 

 

Achats publics : les achats de l'Etat vers une deuxième étape
Jean-Baptiste Hy a succédé à Jacques Barrailler à la tête du service des achats de l'Etat (SAE), le 2 mars. Après une première étape destinée à mettre en route la dynamique d'économies, de nouveaux défis se profilent : insertion sociale, PME, professionnalisation… C'est une succession sous le signe de la continuité qui intervient à la tête du SAE, puisque Jean-Baptiste Hy en était déjà directeur adjoint et qu'il a assumé de 2006 à 2009 la responsabilité de l'Agence centrale des achats de Bercy. Sur un total de 17 milliards d'euros de dépenses de l'Etat, il doit œuvrer sur un périmètre de 10 milliards d'euros d'achats correspondant aux dépenses des administrations centrales et des services déconcentrés, auxquels s'ajoutent environ 6 milliards d'euros pour les opérateurs publics (hors universités). Il dispose pour cela d'un service de 62 personnes et du relais des missions régionales achats placées auprès des préfets de région, regroupant une quarantaine de personnes.

http://www.lettredesachats.com/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/4E/AC/document_article_web.phtml

 

 

La démat' des marchés publics en question
La dématérialisation des marchés publics a été l'objet d'une matinée organisée le 13 mars dernier à Paris par Vecteur Plus, spécialisé dans la veille commerciale de marchés publics et marchés privés. 'Il faut en moyenne 1 h 30 pour répondre à un appel d'offres dématérialisé contre 12 h en procédant de manière plus traditionnelle'.En 2010, près de 22 % des dossiers de consultation des entreprises (DCE) taient publiés sur une plateforme et donc dématérialisés. Un chiffre qui n'a cessé d'augmenter puisqu'au 4ème trimestre 2011. Bien que ces chiffres soient encourageants, des disparités persistent en fonction des métiers et des donneurs d'ordre. Ainsi, 41 % des appels d'offres de l'Etat font l'objet d'un DCE. Suivent les communes avec 36 %, le secteur de la santé et du social (hôpitaux, etc) avec 35 % et les départements avec 31 %. Soulignons que proportionnellement aux appels d'offres passés, avec le nombre d'appels d'offres le plus réduit du panel étudié, les donneurs d'ordre consulaires ont un taux de 53 %. Enfin, sans grande surprise, le secteur du service est celui qui dématérialise le plus avec 58 % des appels d'offres qui font l'objet d'un DCE. Juste derrière, le secteur des fournitures affiche un taux de 46 % et le BTP, 33 %. Une autre différence s'observe au niveau des régions. A titre d'exemple, en Bourgogne jusqu'à 54 % des DCE sont publiés contre 14 % en Mayenne. Au niveau européen, la France se classe parmi les 5 premiers pays. Avec un objectif européen fixé à 5 % de réponses dématérialisées, le chemin à parcourir semble encore loin. Mais des pays comme le Portugal sont très avancés sur le sujet. 'On estime à 28 millions d'euros les gains annuels de l'administration portugaise grâce à la dématérialisation', avance Olivier Demilly, dirigeant d'Odialis, cabinet conseil en dématérialisation.

http://www.decision-achats.fr/Breves/La-demat-des-marches-publics-en-question-45044.htm?xtor=RSS-1

 

 

 

 

 

 

Carte d'achat/carte de paiement

 

 

Les articles sur la carte d'achat sont disponibles dans leur intégralité dans notre rubrique 'presse'

 

Les hôpitaux, eldorado inexploité pour la carte achat

Alors que les hôpitaux achètent énormément de fournitures de manière récurrente, ils sont une poignée à utiliser la carte d'achat. Bien décidés à sensibiliser les établissements de santé, l'APECA et la DGFIP organisent le 12 mars une conférence sur le sujet, au cours de laquelle sera présentée une enquête sur l'optimisation du processus achats dans le secteur. Acteurs majeurs de la commande publique, les hôpitaux français pèsent 9 milliards d'euros de dépenses récurrentes, concentrées dans six segments : les produits pharmaceutiques (4 milliards), le matériel médical (2,9 milliards), l'alimentation (750 millions), les fournitures hôtelières (324 millions), les fournitures administratives (139 millions) et les produits d'entretien (138 millions). Bref, du grain à moudre pour la carte d'achat, censée représenter la solution idéale pour fluidifier les commandes régulières. Cependant, et c'est un petit paradoxe, les établissements de santé ne représentent que 8% des 226 programmes de carte d'achat recensés en 2010. Comment expliquer ce décalage ? Cyril Poignard, le monsieur carte d'achat de la direction générale des finances publiques (DGFIP), insiste sur la carence de communication en direction du public hospitalier, que la conférence du 12 mars, qui se tiendra à la Bourse de commerce de Paris, veut corriger. « Les priorités étaient ailleurs, à la massification, à la mutualisation, aux groupements de commande, estime, pour sa part, Christian Rouvière, directeur des marchés publics chez Rexel, fournisseur de matériel électrique, mais désormais le temps de l'optimisation des processus est venu. » Constat est confirmé par l'enquête qualitative menée conjointement par l'Association des professionnels européens de la carte d'achat (APECA) et la DGFIP et à laquelle une cinquantaine d'établissements ont accepté de répondre : 97% d'entre eux ont travaillé ou travaillent sur l'amélioration et la massification des achats.

http://www.achatpublic.info/index.php?option=com_content&view=article&id=20155&Itemid=40

 

 

La Ville d'Autun adopte la carte d'achat

Afin de réduire les coûts de traitement des dépenses engagées par la Ville d'Autun, et surtout le délai de règlement au fournisseur (de 30 jours à 48 heures), la collectivité a décidé de se doter de cartes d'achat. Lundi, une remise officielle de ce nouveau moyen de paiement a eu lieu à l'hôtel de ville en présence des élus, responsables de services et représentants de la Caisse d'Épargne de Bourgogne/Franche-Comté. Un nouveau système adopté suite à un constat. « Nous sommes partis d'une étude diligentée par la Direction générale des finances publiques qui estime qu'en moyenne, à l'échelon d'une collectivité, le coût de traitement d'une facture s'élève à 70 €*, détaille Olivier Dekeirle, directeur des services financiers. Raison pour laquelle agir sur le coût de traitement de ces commandes permet de recentrer la politique d'achat vers des dépenses plus stratégiques. » Cette carte, délivrée par un opérateur bancaire, ici la Caisse d'Épargne, facilite les commandes et autorise les achats en ligne ou à l'étranger. « Les fournisseurs locaux ne seront pas délaissés pour autant, souligne le directeur financier. On ne va à la recherche systématique du moins cher ou plus pratique. Il faut aussi préserver l'économie locale. ».

http://www.lejsl.com/edition-d-autun/2012/03/01/la-ville-d-autun-adopte-la-carte-d-achat

 

 

 

Marchés publics : la carte d'achat pour la petite maintenance

En complément d’autres procédures comme les accords-cadres ou les marchés à bons de commande, le service départemental d’incendie et de secours des Alpes-Maritimes a mis en place un système de carte d’achat pour la petite maintenance bâtimentaire. Cet outil lui permet d’être plus réactif, plus rapide et procure un certain nombre d’économies. Rien de pire pour les équipes techniques, comme pour les usagers, que de devoir attendre plusieurs semaines avant de pouvoir changer une ampoule, une chasse d’eau, une vitre brisée, alors qu’il est plus simple et plus rapide d’aller acheter la pièce au magasin du coin. Pour cette petite maintenance qui empoisonne les techniciens, le service départemental d’incendie et de secours des Alpes-Maritimes (Sdis 06) a trouvé une solution : la carte d’achat. Une douzaine de porteurs possède aujourd’hui ce sésame (à raison d’une ou deux cartes par groupement territorial qui sont au nombre de cinq pour tout le périmètre du Sdis).Grâce à une multi-attribution croisée du marché carte d’achat qui permet de couvrir l’ensemble du territoire (en tout 46 magasins composent le réseau), le Sdis a réussi à diminuer les déplacements de ses équipes de deux tiers. 90% des interventions de maintenance bâtimentaire s’effectuent entre J et J+2 (contre un délai de 5 à 30 jours auparavant).

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/17267455-marches-publics-la-carte-d-achat-pour-la-petite-maintenance-batimentaire

 

 

 

Carte d'achat : la PFAF Ouest championne de France

La plate-forme achats-finances Ouest du ministère de la Défense a réglé 14 millions d'euros de commande avec la carte d'achat en 2011. Plus de cinquante marchés sont concernés, de l'alimentaire aux consommables informatiques, en passant par l'outillage ou les pièces détachées. Et 14 000 bons de commande ont été regroupés en 120 demandes de paiement. Quatorze millions d'euros exécutés en carte d'achat en 2011. La plate-forme achats-finances Ouest du ministère de la Défense, chargée de superviser les achats des bases de la zone Brest-Lorient (400 procédures annuelles et des dépenses oscillant entre 150 et 200 millions d'euros), pourrait entrer au « Guinness Book » des records. Surtout lorsqu'on sait que l'ensemble des dépenses effectuées en 2010 grâce à cet outil n'a pas dépassé les 100 millions.Cinquante.deux marchés sont concernés pour un total de quatorze millions : en grande partie de l'alimentaire (10 millions, 22 marchés, 4 fournisseurs), le papier, les fournitures de bureau, les consommables informatiques via l'UGAP (1 million), et le reste réparti entre l'outillage, la visserie, la quincaillerie, les pièces détachées, l'accastillage, ou bien des planchers en bois pour les navires et du matériel de photographie. La PFAF compte 700 porteurs, pour moitié niveau 3, pour moitié niveau 1, s'agissant d'achats de proximité non couverts par un marché ou opérés à l'étranger, notamment lorsque des navires ont besoin de pièces pour une réparation urgente.

http://www.achatpublic.info/index.php?option=com_content&view=article&id=20194:carte-dachat-la-pfaf-ouest-championne-de-france&catid=29:info-du-jour&Itemid=40

 

 

 

Tarifs cartes pour les commerçants : les banques mettent en œuvre les propositions pour les paiements de petits montants

L'offre tarifaire des banques pour les encaissements par carte s'adapte afin d'inciter les commerçants à accepter les encaissements par carte en-dessous d'un certain montant. En réponse aux propositions du rapport des parlementaires Mallié, Branget et Debré remis le 7 juillet 2011 au Ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, les banques françaises se sont engagées à réduire les frais payés par les commerçants pour les encaissements effectués par carte, notamment pour les achats de petits montants. Pour les encaissements par carte d'un montant inférieur à 15 euros, et conformément aux propositions du rapport, les banques proposent au cours du 1er semestre 2012 une offre tarifaire adaptée. Cette offre devrait inciter les commerçants à accepter les encaissements par carte en-dessous d'un certain montant. Les établissements ont déjà informé la Direction générale du trésor des modalités adoptées, cette dernière assurant le suivi de la mise en oeuvre des propositions du rapport, comme cela a été souhaité par les parlementaires. Un rapport sera présenté au CCSF. Rappelons par ailleurs que les frais d'encaissement par carte appliqués aux commerçants (ou 'commission commerçants') relèvent de la liberté tarifaire. A ce titre, ils sont définis par chaque établissement.

http://www.fbf.fr/Web/Internet2010/Content.nsf/DocumentsByIDWeb/802409E5CE4BC607C125799E0036EF24?OpenDocument

 

 

US Bank launches EMV corporate card for commercial travelers - SecureIDNews

U.S. Bank has officially launched its global EMV commercial card, designed to offer U.S.-based corporate travelers greater convenience when traveling abroad. The U.S. Bank global EMV card contains the magnetic stripe technology used in the United States, in addition to the EMV chip technology - with full chip-and-PIN capability - widely used in Canada, Europe and other geographies. In July of last year, the bank started issuing a dual EMV chip and contactless payment card for retail customers with its FlexPerks Travel Rewards Visa Signature Credit Card. A few months later, the U.S. Bank said it would be launching a similar card for commercial travelers in 2012. The global EMV card is available on both Visa and MasterCard platforms. It is offered as an optional component on most U.S. Bank commercial card lines and as a standard offering for the U.S. Bank Executive and Executive Platinum card. Combining both technologies on one card ensures that purchases can be conveniently processed around the world - train stations, parking lots and other places where agents are not always available to process transactions. It also gives employers a way to introduce EMV technology to their cardholders.

http://www.secureidnews.com/2012/03/28/u-s-bank-launches-emv-corporate-card-for-commercial-travelers

 

 

 

 

 

 

SEPA

 

 

SEPA, l'échéance 2014 approche : êtes-vous prêts ?
Cela se traduisant notamment par la déréglementation du marché, la suppression de certains réseaux et protocoles existants ; tels que FTAM en Allemagne et ETEBAC en France, l'émergence de nouveaux protocoles de communication tels qu'EBICS et la mise en place d'un espace unique de paiement en euros, le SEPA (Single Euro Payment Area). Pour permettre aux entreprises de réduire considérablement leurs coûts de mise en œuvre et aux banques et institutions financières de maintenir, voire d'accroître leurs parts de marché, les infrastructures de paiement doivent évoluer en réponse à ces nouveaux défis/enjeux. Une des principales conséquences de ces changements pour tous ces acteurs réside dans la nécessité de mettre en place une plate-forme de flux de paiement centralisée. Ces plates-formes ne sont pas destinées à remplacer les moteurs de paiement ou les applications de trésorerie existantes, mais doivent davantage les compléter en offrant la souplesse nécessaire pour répondre aux besoins du marché en constante évolution. Le défi sur le marché du paiement français La date d'échéance de SEPA vient d'être votée et fixe au 1er février 2014 l'arrêt des virements et prélèvements nationaux. Toutes les entreprises et institutions financières doivent donc s'adapter afin de respecter avant cette échéance, l'exigence de mise en conformité SEPA. Nombre d'entre elles devront apporter des ajustements techniques au virement SEPA afin d'assurer : • La conformité ISO 20022 – Les entreprises doivent se conformer au nouveau format ISO 20022, qui garantit une interopérabilité mondiale. • La conformité BIC/IBAN – Le SEPA impose l'utilisation BIC/IBAN pour identifier les comptes bancaires. Aujourd'hui, la plupart des entreprises et banques européennes n'utilisent que des identifiants bancaires nationaux.

http://lecercle.lesechos.fr/entrepreneur/compta-finances/221144803/sepa-echeance-2014-approche-etes-prets

 

 

 

SEPA Legislation on Cross-Border Payments Passes European Parliament - Business Finance Magazine

Companies that send funds between several euro-zone countries should find the process a bit easier a few years from now. That's because the European Parliament recently passed legislation that requires banks to allow their clients to use a single bank account to make euro payments to and from all SEPA (single euro payments area) countries. As a result, companies and individuals will be able to make payments from one bank account to others across Europe in the same way that they currently do with domestic payments. The result? Bank transfers will become 'faster, cheaper and safer,' according to this release. The text of the legislation expands on this, saying, 'Only rapid and comprehensive migration to union-wide credit transfers and direct debits will generate the full benefits of an integrated payments market, so that the high costs of running both ‘legacy' and SEPA products in parallel can be eliminated.' The legislation is the latest step in the movement to a unified European payment area. The euro was introduced in 2002, allowing consumers and businesses to make payments using a single currency. This new legislation provides for a similar ability to make cashless payments across the Euro zone from a single account. 'Within SEPA, all euro payments will be treated as domestic payments,' according to this report from the European Central Bank.

http://businessfinancemag.com/article/sepa-legislation-cross-border-payments-passes-european-parliament-0224

 



Dématérialisation

E-achat : Certicorps lance e-Attestations
Certicorps annonce le lancement d'e-Attestations, une plate-forme d'archivage sécurisée de documents à valeur probante, permettant de simplifier les relations entre donneurs d'ordres et fournisseurs. Contrairement à e-Vigilance, à laquelle elle succède, e-Attestations s'adresse à la fois aux fournisseurs et aux donneurs d'ordres des marchés public et privé. Pour les premiers, elle permet l'enregistrement gratuit et la mise à jour de leurs documents administratifs (justificatif d'immatriculation, attestations sociales, documents d'assistance, autorisations métiers, etc.), signés électroniquement et conservés dans un coffre-fort électronique sécurisé. Moyennant un abonnement, les donneurs d'ordres peuvent, pour leur part, y vérifier que leurs fournisseurs sont en conformité avec la réglementation et s'assurer ainsi qu'ils remplissent leurs obligations tant sur le plan fiscal que social. L'authenticité et la valeur probante des documents déposés sont garanties au travers de partenariats avec des organismes « tiers de confiance » tels CDC (Fast et Arkhinéo), Infogreffe et Keynectis. En plus des documents fournisseurs, la plate-forme propose différents services (vérification de Siret, qualification des données, etc.), des « alertes procédures » permettant d'être avertis de toute nouvelle information affectant les fournisseurs, ainsi que des indicateurs.

http://www.lettredesachats.com/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/4E/C0/document_article_web.phtml

 


La ville de Paris dématérialise ses flux de pièces justificatives
La collectivité a choisi la solution de CDC Fast (groupe Caisse des Dépôts et Consignations). La Ville de Paris a engagé un vaste programme de dématérialisation depuis des années. Une nouvelle étape a été franchie récemment avec la première clôture comptable en cours où les pièces comptables justificatives sont dématérialisées. Les objectifs sont de plusieurs ordres. Il s'agit bien sûr de se diriger vers un zéro papier qui reste à ce jour utopique mais, d'ores et déjà, des réductions d'impressions de 50 à 65% ont été constatées. Par ailleurs, les agents travaillent plus aisément et plus efficacement puisqu'ils peuvent accéder aux pièces instantanément via le système d'information au lieu de devoir attendre plusieurs jours. Les délais moyens de traitement entre ordonnateur et comptable sont ainsi descendus à environ 7 jours, voire moins. La première étape a été lancée en 2009 avec la dématérialisation des 400 000 factures internes (aujourd'hui : 2,5 millions) et, en 2010, la mise en place de centres de services partagés (CSP) comptables. L a ville a ensuite migré sous Helios pour ses relations avec la Direction Régionale des Finances Publiques (DRFIP). La dématérialisation globale des justificatifs comptables a été lancée en mai 2011. Une extension du projet aux pièces de recette est envisagée.

http://www.cio-online.com/actualites/lire-la-ville-de-paris-dematerialise-ses-flux-de-pieces-justificatives-4233.html

 


Ugap : le cap du zéro papier fixé en 2014

Dès le 1er janvier 2014, la centrale d'achat public Ugap imposera la dématérialisation des réponses à ses appels d'offres. Un choix dicté par l'orientation européenne. Selon l'Ugap, cette obligation ne serait pas un problème pour les PME. A l'occasion de son grand salon annuel à Nantes, la centrale d'achat public Ugap a annoncé qu'à partir du 1er janvier 2014, les réponses des fournisseurs à ses appels d'offres se feraient uniquement par voieélectronique. Dernière étape du processus de dématérialisation, cette obligation sera précédée en 2012 et 2013 par la mise en place de certificats de signature électronique et par une gestionélectronique documentaire ; au 1er janvier 2013, l'Ugap commencera progressivement à rendre obligatoires les réponses électroniques sur certaines procédures choisies, « avant de monter progressivement en puissance », explique Sébastien Taupiac, directeur adjoint des achats. « Nous organiserons des sessions d'information régulières sur la dématérialisation et ses procédures, auxquelles nous inviterons les fournisseurs. » « La réponse électronique nous paraît accessible à toutes les entreprises : certaines PME nous répondent depuis des années de cette façon. Je rappelle qu'un certificat pour la réponse électronique coûte environ 100 euros pour 3 ans. » Les équipes de l'Ugap justifient ce passage au tout électronique d'abord par l'impossibilité de poursuivre la double gestion des réponses (papier-numérique), ensuite par l'orientation européenne. Selon Sébastien Taupiac, « la commission européenne souhaite qu'au 1er janvier 2014, les centrales d'achat des pays de l'Union soient totalement en dématérialisation. Et au 1er janvier 2016, 100 % des entités publiques seraient concernées.

http://www.lettredesachats.com/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/4E/C6/document_article_web.phtml  

 

 

 

 

 

 

Etudes

 

 

 

Délais de paiement des grandes collectivités : "une vraie proccupation
Selon l'Observatoire des délais de paiement, la situation des grandes collectivités est une 'vraie préoccupation'. Au regard des statistiques, les grandes collectivités prennent en effet de plus en plus de retard pour mettre en paiement leurs factures dont le règlement est vital pour les PME. Le rapport 2011 révèle même un certain relâchement par rapport à 2010 tout en constatant la conformité à la législation nationale. Le délai global de paiement (DGP) est passé de 25,2 jours à 26,1 jours en 2011, mais reste sous le seuil légal des trente jours. Cela étant, les communes de moins de 10.000 habitants, soit l'équivalent de 85% d'organismes publics locaux, restent stables. Les grandes collectivités, quant à elles, voient leurs délais de paiement augmenter significativement : les délais des régions ont augmenté de 3 jours par rapport à la moyenne nationale, les grands établissements publics de santé mettent 2 jours supplémentaires et les communes de plus de 10.000 habitants, une journée. Certes, la marge de manoeuvre des collectivités n'est pas grande pour tenir les échéances, conformément à l'article 98 du CMP issu du décret n°2008-1355 du 28 avril 2008. Depuis le 1er juillet 2010, les collectivités territoriales doivent payer les sommes dues dans un délai de trente jours (vingt jours pour l'ordonnateur et dix jours pour le comptable public). Pour améliorer le délai de paiement, le rapport estime que les collectivités territoriales ont néanmoins des outils à leur disposition comme le système informatique Hélios qui peut servir d'accélérateur à l'automatisation des chaînes de traitement des dépenses. Le progrès pourrait également venir du réaménagement du contrôle. Un gain de temps est aussi possible avec 'la dématérialisation des pièces comptables et justificatives de dépense'. Il suppose une collaboration plus étroite entre le comptable et l'ordonnateur. Le renforcement des procédures de contrôles des dépenses publiques avant paiement est aussi susceptible de réduire les délais. Enfin, de nouveaux instruments de paiement des dépenses locales faciliteraient les échanges avec les ordonnateurs. Il est d'ores et déjà possible pour certaines collectivités territoriales de régler les dépenses par prélèvement automatique si une convention tripartite a été signée.

http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250263296872&cid=1250263287893

 


 

 

 

 

Pour info…

 

 

 

PME: L'accès à la commande publique reste difficile
Fin mars, Jean-Claude Volot, médiateur des relations industrielles et de la sous-traitance, devrait remettre au ministre de l'économie « des propositions pour diffuser dans les administrations publiques les meilleures pratiques vis-à-vis des sous-traitants », selon les termes de sa mission. Sans préjuger du contenu de ce rapport, la création d'une médiation entre les donneurs d'ordres publics et leurs clients, bien souvent évoquée par Jean-Claude Volot, fera sans doute partie de ses recommandations. « Il n'y a pas plus de conflits dans les marchés publics que dans le privé, mais leur résolution y est beaucoup plus difficile », explique ainsi ce dernier, en désignant le recours au tribunal administratif comme une véritable plaie pour les PME. Quelle que soit l'issue de ces propositions, elles viennent après une série de mesures prises pour faciliter l'accès des PME à la commande publique. Dernière en date : le relèvement du seuil des marchés publics à 15 000 euros, effectué en décembre dernier. Le relèvement de ce seuil constituait l'une des priorités des dix propositions présentées par le Réseau commande publique début 2011. L'été dernier, le Code des marchés publics a également été révisé : les groupements conjoints sont désormais autorisés, pour les marchés à bons de commande comme pour les accords cadres. Jusque-là, l'obligation de recourir à des groupements solidaires – où chacun est responsable financièrement pour l'ensemble du marché – pouvait se révéler assez handicapant.

http://www.lettredesachats.com/e-docs/00/00/4E/80/document_article.phtml

 

 

 

Le B to B se convertit au e-commerce
Selon Eurostat, 92 % des entreprises françaises disposent aujourd'hui d'une connexion internet fixe à haut débit. Ce qui place la France dans le peloton de tête européen, juste derrière la Suède, la Finlande et l'Espagne. L'adoption du commerce électronique est un peu moins généralisée. Toujours selon Eurostat, seulement une entreprise hexagonale sur cinq achetait en ligne en 2010. Un peu mieux que la moyenne européenne. Mais peu à peu les mentalités évoluent. D'après le baromètre Fevad sur le comportement d'achat des entreprises sur Internet (février 2012), 73 % des entreprises interrogées commandent aujourd'hui sur Internet. Mais peu d'entre elles le font de façon exclusive. 57 % des professionnels utilisent le Web en complément d'autres canaux. Les TPE/PME en pointe en matière d'achat en ligne Pour 41 % des répondants, le poids d'Internet dans le budget achats global est inférieur à 10 %. En fait, plus l'entreprise est petite en nombre de salariés, plus elle a tendance à commander en ligne. À l'inverse, les grandes entreprises perçoivent Internet principalement comme un canal d'achat de dépannage. « Quand on achète pour des milliers d'euros, on préfère passer par un commercial », souligne Barbara Blény, directeur associé du cabinet de conseil BBDM. Le développement du e-commerce B to B est pour partie freiné par une forte inertie au changement. Ainsi, l'habitude est le premier critère expliquant le choix d'un autre canal qu'Internet pour passer commande (30 %) selon le baromètre de la Fevad. Les entreprises qui achètent sur la Toile le font pour plusieurs raisons: la rapidité (55 %) et le fait de pouvoir commander à n'importe quelle heure (42 %). « C'est un moyen de commande facile comparé au fax ou au bon de commande », observe Barbara Blény. Le prix est le troisième critère le plus cité. L'e-commerce apparaît à cet égard comme le canal des bonnes affaires.

http://www.ecommercemag.fr/Breves/Le-B-to-B-se-convertit-au-e-commerce-45122.htm?xtor=EPR-3&XType=XTM&isn=22/03/2012

 

 

 

Jean-Claude Volot œuvre pour un rééquilibrage de la relation entre donneurs d'ordres et SSII
Selon l'édition des Échos datée du 12 mars, le médiateur national de la sous-traitance et de la relation interentreprises s'est engagé à organiser le 7 juin prochain la signature d'une nouvelle charte entre l'État, les industriels et les sociétés d'ingénierie et de conseils en nouvelles technologies. Alstom, EADS, Thales, Alcatel-Lucent et Areva se seraient d'ailleurs déclarés favorables à cette action. Cette décision fait suite aux dernières observations du ministère de l'Économie et des Finances qui pointent une dégradation des relations interentreprises entre les donneurs d'ordres et leurs fournisseurs issus du secteur des nouvelles technologies. Cette nouvelle approche permettra ainsi de considérer les fournisseurs en ingénierie informatique comme des "actifs stratégiques" pour les grands comptes, notion déjà évoquée lors de la dernière édition du forum Desma.

http://www.decision-achats.fr/Breves/Jean-Claude-Volot-oeuvre-pour-un-reequilibrage-de-la-relation-entre-donneurs-d-ordres-et-SSII-44948.htm?xtor=EPR-3&XType=XTM&isn=15/03/2012

 

 

 

L'Ugap et l'Ucanss signent un partenariat
L'Ugap, la centrale d'achat public et l'Union des caisses nationales de sécurité sociale (Ucanss) pour le compte du régime général de sécurité sociale ont officialisé, le 2 février 2012, un accord de partenariat. L'Ugap est le partenaire des organismes de sécurité sociale depuis plusieurs années. Une première convention passée avec la Caisse nationale de l'Assurance maladie en 2007 a préfiguré ce nouvel accord dont le périmètre s'étend désormais aux quatre branches du régime général (allocations familiales, maladie, recouvrement et retraite). En complément des offres propres à l'Ucanss, le partenariat avec l'Ugap s'inscrit sur l'ensemble des produits et des services proposés par la centrale d'achat généraliste (mobilier, véhicules, équipement général, informatique et multimédia, matériel médical, etc.).

http://www.decision-achats.fr/Breves/L-Ugap-et-l-Ucanss-signent-un-partenariat-44456.htm?xtor=EPR-3&XType=XTM&isn=23/02/2012

 

 

Olivier Debargue, patron des achats hors programmes de France Télévisions, Décideur Achats 2012
Pour la quatrième édition de notre évènement consacré à la fonction, Olivier Debargue, directeur achats hors programmes de France Télévision s’est vu décerner le Trophée du décideur achats de l’année 2012 lors de la soirée du mercredi 14 mars au pavillon Gabriel.

http://www.relationclientmag.fr/Breves/Olivier-Debargue-directeur-achats-hors-programme-de-France-Televisions-Laureat-du-trophee-Decideur-Achats-2012-45096.htm?Commentaire#Commentaire

 

 

 

SNCF : Pierre Pelouzet, directeur des achats, décoré par René Ricol
Pierre Pelouzet, également président de la CDAF, a reçu le 27 mars dernier, à la Maison de l’Amérique latine, les insignes de chevalier de l’Ordre national du Mérite

http://www.lettredesachats.com/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/4F/08/document_article_web.phtml

 

 

 

Présidentielle, le 'Collectif des acteurs du numérique' se mobilise
Depuis son lancement, la campagne électorale pour l'élection présidentielle ne couvre pas l'un des sujets majeurs pour l'avenir de notre pays: le numérique et la création de richesse qu'il peut apporter. Le collectif a pour but d’interpeller les candidats sur la « vision Numérique » de la future présidence dans les domaines suivants : - la compréhension de l’enjeu de la transformation numérique de l’économie et de la société, - la vision stratégique de la compétitivité du numérique pour la création d'emplois, - les aspects réglementaires et fiscaux, - l’engagement pour l'accompagnement de l’innovation numérique, - l’effort de formation au numérique, - la modernisation numérique de l’Etat et l’exemplarité des services publics. Le collectif se tient à leur disposition pour partager avec eux le fruit des réflexions de ses membres, afin de faire émerger des solutions concrètes, pour relever les défis de l’emploi, de la croissance, de la réduction des déficits publics et afin de favoriser les usages numériques, au cœur de la vie des 60 millions de Français.

http://www.uniondesacteursdunumerique.fr/.

 

 

 

 

 

A VOS AGENDAS

 

 

  • L'APECA soutient cet événément et animera un atelier le 30 mai.

Le Salon des Achats va faire une fois de plus l’événement en abordant des thématiques très actuelles et en présentant les enjeux de demain pour les acheteurs publics et privés. L’événement soutenu par les médias et les institutions*, est l’unique occasion annuelle de procéder à une veille efficace sur les innovations et les prestations qui permettront d’optimiser le fonctionnement de l’entreprise et des collectivités

 

Informations et inscriptions: http://www.reseau-achats.fr/salon/visiteurs/

 

 

 

 

APECA NEWS

APECA News, une lettre d'information sur la carte d'achat, le marché et ses acteurs,les services associés, en France et en Europe.

 

 

 

 

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