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  25/10/2012

Apeca BtoB transaction news


APECA BtoB Transaction News octobre 2012


Sphère publique

 

Trophées 2012 : le passeport des entreprises d'Hyères récompensé
La ville d’Hyères-les-Palmiers (83) a remporté le premier prix des Trophées de la commande publique 2012 pour son travail en direction des entreprises. Le passeport multi-pass destiné à faciliter l’accès des opérateurs économiques aux marchés publics de la ville est l’aboutissement de cette démarche qui a débuté il y a trois ans.Afin de tordre le cou aux idées reçues et attirer les opérateurs économiques, la ville de Hyères s’est donc lancée dans un grand plan d’actions pour faciliter leur accès à la commande publique. Décliné en plusieurs initiatives, ce programme a pour point d’orgue le passeport multi-pass pour les entreprises qui est opérationnel depuis le mois de juin dernieR. Dès lors qu’un passeport a été ouvert, l’entreprise détentrice reçoit systématiquement toutes les publicités des marchés de la ville dans son secteur d’activité sans la moindre démarche de sa part. Les annonces sont également transmises aux différentes fédérations professionnelles concernées et identifiées dans les fichiers fournisseurs de la commune. Si, de surcroît, au moment de l’ouverture du passeport, l’entreprise a actualisé ses attestations, les documents sont enregistrés et n’ont pas à être fournis de nouveau lorsque la société candidate à un nouveau marché de la commune. La collectivité a également mis en place un système de triple appel lors de l’envoi du courrier de demande des documents à l’attributaire. Concomitamment, la ville s’est efforcée de renforcer les liens et les contacts avec les grandes fédérations professionnelles et les représentants institutionnels. « Nous avons organisé plusieurs tables rondes et plusieurs rencontres, ce qui a abouti à l’élaboration d’une charte de simplification pour les entreprises, en collaboration avec les services fiscaux et sociaux hyérois. Nous avons également mis sur pied un petit guide de la dématérialisation qui est systématiquement diffusé avec le DCE auquel s’ajoute un guide « pas à pas » de l’opérateur économique pour utiliser la plateforme électronique de la collectivité », mentionne Laurence Aziz Rousset, responsable du service de la commande publique.Enfin, un guide des élus de la CAO a été élaboré afin de les associer à cette démarche dès le début du mandat, puis en fonction des réformes. Le service de la commande publique entend même se déplacer grâcieusement dans les fédérations pour expliquer à ses adhérents comment répondre à un marché public.

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Les achats de l'État ont réalisé 304 millions d'euros d'économies en 2011
Un programme achat destiné aux opérateurs de l'État, une cartographie précise des besoins et des dépenses, une dématérialisation poussée ont permis à l'État de réaliser 304 millions d'euros de gains achat. C'est ce que révèle le rapport d'activité du Service des achats de l'État pour l'année 2011. Les bons élèves sont le ministère de la Défense qui arrive en tête avec des gains achat de 119,7 millions d'euros, suivi par le ministère de l'Économie et du Budget (57,9 millions d'euros) et l'Intérieur (48,9 millions d'euros). En 2011, le rapport met en évidence la poursuite de la modernisation de l'achat public et la professionnalisation des acheteurs publics. Pour réaliser des gains achats supplémentaires, le SAE a réalisé une nouvelle cartographie interministérielle des achats de l’État sur la base des dépenses réalisées en 2010. Le SAE a mis en place de nouveaux outils pour optimiser les achats. Ainsi, en profitant de la révision du code des marchés, le SAE a proposé et obtenu l’extension du système d’acquisition dynamique, jusqu’alors réservé aux seules fournitures, aux prestations de services. Cette extension ouvre de nouvelles possibilités de contractualiser sur des secteurs marqués par le dynamisme du tissu fournisseur et notamment des PME, comme le segment des prestations informatiques. Le SAE a également mis l'accent sur la dématérialisation, avec notamment le recours à la carte achat (14 000 cartes achat actives en 2011). Autre exemple, la politique voyage. Le SAE a préconisé l'utilisation systématique de l'outil de réservation en ligne ou self booking tool (SBT) pour les billets et réservations des déplacements professionnels. Autre axe de travail fort, les achats responsables. Le SAE a collaboré avec de nombreux partenaires (Observatoire des achats responsables, Inspection générale des Finances, Commissariat général au développement durable) sur ces thématiques. Il a également organisé de nombreuses rencontres et formations pour les acheteurs sur le sujet des achats responsables. Pour faciliter l'accès des PME à la commande publique, une chargée de mission PME a été nommée en 2011. Opér'achat, un programme achat pour les opérateurs de l'État L'année 2011 a été marquée par le lancement d'Opér’achat, un programme spécialement destiné aux opérateurs de l'État. Si l’État compte environ 600 opérateurs, le SAE a décidé de s’adresser aux 75 plus gros établissements de l’État, représentant à eux seuls 90 % des achats. Ce qui représente un périmètre d’environ 6 milliards d’euros d’achats. Le SAE travaille au plus près avec 25 des plus gros opérateurs de l'État. Des objectifs ont ainsi été fixés : dès 2012, au moins 10 % des achats des opérateurs devront contenir une clause environnementale et 5 % une clause sociale. Avec un objectif chiffré de 600 millions d’euros de gains d'achat sur trois ans. Sur le modèle de "Calypso" pour les ministères, le SAE a lancé, avec la participation active des opérateurs, "Aida", un programme structurant d’optimisation des achats. De septembre à décembre 2011, une centaine de personnes, parties prenantes dans les achats (acheteurs, prescripteurs, juristes, etc.), ont travaillé à l’identification de bonnes pratiques et de gains sur dix segments d’achats (abonnements, affranchissement, assurances, etc.). Parallèlement, la 4e vague du programme "Calypso" a été lancée le 4 mars 2011 sur des segments d'achats complexes comme la publicité et communication ; les abonnements et la documentation ; la représentation et réception, etc. Au total, 741 millions d’euros de dépenses ont été passées au crible et 54 opportunités de gains ont été identifiées, pour un total de 122 millions d’euros de gains potentiels. En 2011, le SAE a également poursuivi sa politique de formation des acheteurs publics. Pour 2012, l’objectif partagé est de plus de 300 millions d’euros de gains, dont un tiers issus des actions du SAE en 2011.

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Marc Bouche, pilote du projet Ar Men

 Arrivé il y a quelques mois au sein de la direction générale de l’offre de soins au ministère de la Santé pour compléter l’équipe en charge de la performance des achats hospitaliers, Marc Bouche, adjoint d’Hervé de Trogoff, pilote le projet Ar Men, chargé d’identifier les gains et les pratiques les plus vertueuses. Arrivé en mai, Marc Bouche a pris en route l’opération Armen 1 (première vague identification des opportunités de gains sur dix segments d’achats hospitaliers : assurances, mobilier, logiciels, blanchisserie, véhicules, etc.) dont les résultats ont été présentés fin juin. Mais prépare activement la seconde vague dont le lancement est prévu le 13 novembre. Il suit aussi la création d’un dispositif d’appui à la mise en œuvre des recommandations prioritaires de la première vague. Le tout s’effectue avec les acteurs de terrain : directeurs achats, équipes pluri-professionnelles (prescripteurs, acheteurs, techniciens) chargés de produire des outils opérationnels à destination des acheteurs afin de les aider à appliquer les recommandations. Mais ces démarches nécessitent également toute une communication autour pour que la sauce prenne : restitutions nationales et régionales, documents, diffusion auprès des agences régionales de santé et des hôpitaux des bonnes pratiques mises en exergue sur les différents segments, appui et accompagnement des établissements (à travers des fiches actions opérationnelles et facilement utilisables)… La première vague du projet Armen a été un succès : une centaine de personnes y ont participé. La seconde vague s’annonce aussi encourageante. Si bien qu’une troisième est déjà envisagée.

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Marchés publics: un projet de loi pour lutter contre les retards de paiement

Les autorités françaises souhaitent une transposition de la directive concernant la lutte contre les retards de paiement la plus stricte, afin de garantir aux entreprises, notamment aux PME, les conditions de paiement les plus satisfaisantes. » Telle est la ligne de conduite fixée dans l’exposé des motifs du projet de loi déposé devant le Sénat par le ministre de l’Economie, Pierre Moscovici. Ce projet, qui vise à introduire dans le droit français diverses dispositions d’ordre économique ou financier issues de directives européennes, fait partie des textes que le Parlement, convoqué en session extraordinaire le 11 septembre, votera en priorité.

Indemnisation des frais de recouvrement: Les nouvelles règles européennes de lutte contre les retards de paiement (directive 2011/7/UE du 16 février 2011) ont déjà été intégrées en droit français s’agissant des contrats privés. Que reste-t-il à faire s’agissant des marchés publics ? La réglementation hexagonale est déjà largement conforme au dispositif européen, notamment en ce qu’elle enferme dans un délai maximal de trente jours (cinquante pour les établissements de santé) le paiement des marchés passés selon le Code des marchés publics. Toutefois quelques adaptations restent à réaliser. - Le projet de loi renvoie à un décret (comme c’est déjà le cas) la fixation du taux des intérêts moratoires. Aujourd’hui établi au taux BCE majoré de sept points, il sera, conformément à la directive européenne, fixé au taux BCE + huit points. - Le texte vise à introduire une indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement (d’un montant d’au moins 40 euros, à définir par décret), qui sera automatiquement due en cas de retard de paiement. Si les frais réellement exposés excèdent ce forfait, l’entreprise créancière pourra demander, sur justification, une indemnisation complémentaire. Les collectivités publiques pourront obtenir de l’Etat un remboursement de l’indemnité versée, lorsque le retard de paiement sera survenu du fait du comptable public.

Extension aux contrats hors Code des marchés publics: Ces deux évolutions sont les seules nécessaires pour rendre le droit des contrats soumis au Code des marchés publics conforme aux règles européennes. Mais au-delà, le législateur français doit étendre l’application des règles aux contrats « hors Code ». Ainsi les pouvoirs adjudicateurs soumis à l’ordonnance du 6 juin 2005, qui appliquaient jusqu’à présent les règles de droit privé en la matière, seront désormais assujettis aux mêmes règles de délais de paiement que les acheteurs soumis au Code. Toutefois le projet de loi ménage une souplesse, autorisée par la directive européenne : le décret d’application pourra fixer un délai différent selon les catégories de pouvoirs adjudicateurs. L’étude d’impact du projet vise le cas des entreprises publiques, « exposées à la concurrence d’entreprises bénéficiant de règles plus souples », et qui devraient bénéficier d’un délai maximal de paiement de 60 jours. Par ailleurs, le projet de loi aligne le régime applicable au paiement des sommes dues en exécution d’un contrat de partenariat, d’une concession de travaux ou d’une délégation de service public sur les règles applicables aux marchés publics. Objectif, donc : une législation harmonisée en matière de paiement des contrats de la commande publique… Sauf évolution du projet de loi, ces mesures devraient s’appliquer aux contrats conclus à compter du 16 mars 2013, date limite de transposition de la directive.

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Signature électronique : comment se préparer pour le 1er octobre ?

Afin d’être prêts pour les changements prévus au 1eroctobre 2012 en matière de signature électronique, les acheteurs publics peuvent anticiper certains points. La direction des affaires juridiques de Bercy vient de mettre en ligne une fiche de recommandations afin d’accompagner au mieux les acheteurs publics avant l’échéance du 1eroctobre 2012. A cette date, les candidats pourront utiliser le certificat de signature de leur choix conformément aux dispositions de l’arrêté du 15 juin 2012. La DAJ a listé les points suivants : 1. Recenser les marchés pour lesquels la consultation se termine avant ou après le 1er octobre, et modifier en conséquence le règlement de la consultation pour ceux qui se terminent après le 1er octobre. 2. Préparer un avertissement sur la page d’accueil du profil d’acheteur, rappelant le changement de la réglementation :3. S’assurer, dès maintenant, que les certificats conformes au référentiel général de sécurité (RGS – info bulle) pourront bien être acceptés par le profil d’acheteur le 1er octobre. 4. Indiquer clairement le niveau de sécurité requis pour les produits de sécurité conformément au RGS sur le profil d’acheteur et dans le règlement de la consultation.

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Carte d'achat / carte de paiement

 

Citi : un nouveau service d’alertes SMS pour les clients titulaires d’une Carte Corporate

Citi Commercial Cards lance les alertes internationales sur téléphone portable pour les titulaires de cartes dans 66 pays, en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie. Le développement du service international de messagerie de Citi propose désormais aux titulaires d’une Carte Corporate Citi du monde entier la possibilité de recevoir des alertes sous forme de SMS [Short Message Service] ou de courriel les informant d’événements clés tels que la disponibilité de leur relevé, l’arrivée à échéance de leurs paiements ou leurs retards de paiement et l’envoi par courrier, à leur attention, d’une carte de remplacement. Le développement des fonctionnalités d’alertes de Citi consistant à inclure la possibilité de recevoir des SMS permettra aux titulaires de cartes de profiter de ce moyen de communication pratique et de plus en plus répandu. Grâce à une simple connexion à CitiManager, l’outil de gestion de carte en ligne de Citi, disponible dans le monde entier, les titulaires de Carte Corporate Citi peuvent enregistrer et sélectionner les alertes qu’ils souhaitent recevoir sous forme de SMS et/ou de courriel.

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Monéo dématérialise le ticket restaurant et le remplace par une carte de crédit

Bientôt les bons vieux tickets restaurants seront remplacés par une carte de paiement. France info révèle ce matin que l'opérateur privé Monéo, déjà connu pour son porte-monnaie éléctronique, se lance sur le marché des titres déjeuners qui ne représente pas moins de 5,5 milliards d'euros. Un évènement attendu pour la rentrée 2013. Cela fait plus de cinquante ans que Sodexo, Natixis, Chèque déjeuners et Edenred se partagent le marché de ce chèque en papier. "Monéo bouscule 50 ans d'habitude", déclare l'opérateur. Le fonctionnement des titres restaurants est effectivement régi par une loi qui date de 1962. Avec la carte de crédit, les entreprises vont économiser 20% de leurs coûts habituels. Mais cette nouvelle carte ne profite pas qu'aux entreprises. Le restaurateur qui devait attendre le début de chaque mois pour se faire rembourser aura son paiement au bout de 48h. Il va gagner un mois de trésorerie. Monéo a doublé ainsi le leader mondial des services prépayés aux entreprises Edenred, qui travaillait déjà sur la disparition de ces titres de paiement. Le marché des titres déjeuners est en hausse de 3% par an et représente 5 milliards d'euros et demi. La carte bancaire déjeuner existe déjà dans d'autres pays comme la Turquie, la Slovaquie, l'Espagne ou encore le Brésil.

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Visa to launch Visa Merchant Data Secure cardholder data encryption service

Visa has launched a new service dubbed Visa Merchant Data Secure in a bid to assist acquirers and their merchants protect payment card data. Visa is set to make the service available to acquirers and their merchants by early 2013 and is currently working with acquirers, processors and payment technology vendors to provide specifications for integrating Visa's solution into payment terminals as well as into all systems across the payment processing industry. Point-to-point encryption (P2PE) technology allows merchants and acquirers to protect payment card data within their systems by encrypting sensitive cardholder information. Because the card data can only be accessed, or unscrambled, with decryption keys held securely by the acquirer, gateway or Visa, cardholder information is protected within the payment processing environment. Over the coming months, Visa will provide specifications and implementation guides through technical review agreements

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Dématérialisation

 

État : la solution Chorus Déplacements Temporaires de Concur déployée dans deux ministères
Dans un contexte de maîtrise des dépenses voyages de ses agents, l’État, qui s’équipe de la solution Chorus Déplacements Temporaires (mise au point par Concur), vient de déployer ladite solution dans deux de ses ministères. Celui de la Culture et de la Communication depuis juillet, et celui de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt depuis septembre. Rappelons que Concur avait remporté, en 2011, l’appel d’offres public portant sur la fourniture et la mise en œuvre d’une solution de gestion des déplacements temporaires interfacée avec CHORUS. L'objectif d'une telle démarche : automatiser les processus de gestion et optimiser les coûts liés aux déplacements des agents. Et ce, en déployant la solution Chorus Déplacements Temporaires auprès des ministères incluant leurs services déconcentrés, représentant environ 2 millions d’états de frais par an. Un projet d'autant plus stratégique que les coûts liés aux déplacements et indemnités représentaient, en 2008, 13 % des dépenses liées aux achats de fonctionnement de l’État. En outre, ce projet a permis d’élaborer un cadre pour la dématérialisation des opérations effectuées par les agences de voyages et en particulier avec le ROP (relevé d’opérations). La définition de ce flux est une véritable avancée dans les efforts de modernisation de l’état et le fruit du travail d’équipe réalisé entre l’AIFE et Concur dans le cadre du projet. Sa mise en œuvre reste à finaliser sur les aspects de contrôle des factures afin d’en permettre la généralisation.

 

Un (timide) pas vers le marché numérique unique
Un règlement de la Commission européenne sur le numérique entend faciliter les transactions électroniques en Europe et l’accès aux services publics en ligne. Ce texte ambitieux, porté par la commissaire à la Stratégie numérique Neelie Kroes (photo), fait attention à ne comporter aucune obligation pour les États membres. L’objectif est très général : développer le marché unique du numérique en Europe. Ni plus ni moins. La méthode est annoncée : connecter les systèmes informatiques des pays qui disposent de cartes d’identité électroniques. La Commission espère que chaque particulier et chaque entreprise pourra utiliser le système d’identification électronique de son pays afin d’accéder aux services publics en ligne dans d’autres pays de l’Union européenne où l’identification électronique est possible. Ainsi, à titre d’exemples, les étudiants pourront s’inscrire en ligne dans une université étrangère, les patients ayant besoin d’une assistance médicale dans un autre pays pourront consulter leur dossier médical en ligne, les entreprises pourront soumissionner en ligne pour des marchés publics partout dans l’Union européenne.

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Rapprochement important entre Basware et Certipost
Basware est sur le point de devenir un acteur incontournable du marché de la facturation électronique au Benelux suite à l’accord portant sur l'acquisition du réseau et des activités de facturation électronique de Certipost, filiale de bpost. Basware ambitionne de devenir le plus grand réseau commercial pour les acheteurs et les fournisseurs et de franchir le cap des 150 millions de transactions d'ici fin 2015. Avec l'acquisition de Certipost, quelque 12 millions de transactions viendront d'emblée s'ajouter à l'Open Network de Basware. Basware est déjà le leader du marché de la facturation électronique en Allemagne et dans les pays scandinaves ; il le deviendra aussi au Benelux, une fois l'opération de rachat finalisée. Après l'acquisition, les activités d'échange de documents de Certipost seront intégrées dans l'organisation globale de Basware. Les autres activités de Certipost, liées aux certificats digitaux et à la carte d'identité électronique belge, resteront dans le giron de la filiale de bpost.

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Etudes

 

La Scandinavie, championne européenne du m-commerce
Une étude réalisée par Zanox sur le premier semestre 2012 démontre le fort dynamisme du m-commerce en Europe, et notamment en Scandinavie, ou la croissance de ce canal de vente atteint 267%. L'essor du commerce mobile ne fait plus aucun doute. En Europe, il existe néanmoins des disparités entre les différents pays, notamment en termes de croissance. Une étude réalisée par Zanox et intitulée "Zanox Mobile Performance Barometer" révèle que le chiffre d'affaires généré par le m-commerce en Europe, et en 2012, est en progression de 152 % (+89 % en France). C'est la Scandinavie qui apparaît comme le champion européen en la matière, puisque la part des mobiles dans le chiffre d'affaires global de l'e-commerce représenterait 7,88 %, tandis qu'en France, ce chiffre n'atteindrait que 3,2 %. Le commerce mobile tire ses bons résultats en grande partie grâce aux tablettes, et notamment l'iPad, avec près de 52 % des revenus mobiles au premier semestre 2012. Android, pour sa part, se classe au deuxième rang des systèmes d'exploitation. Par ailleurs, en chiffre d'affaires absolu, le secteur de la distribution reste le plus important pour le m-commerce. Cependant, en termes de progression du chiffre d'affaires d'une année sur l'autre (janvier-juillet 2011/2012), c'est le secteur de la finance qui prend la tête du classement en Europe.

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Le marché européen du financement adossé aux factures dépasse désormais le billion d'euros
La nouvelle enquête de Demica révèle que le marché européen global du financement de factures était estimé à 1090 milliards d'euros en 2011, contre 991 milliards d'euros en 2010 et 844 milliards d'euros en 2009 Avec un taux de croissance annuel cumulé de plus de 10%, le marché du financement de factures (également appelé financement adossé aux factures) est donc devenu une source importante de financement pour les entreprises. En 2011, il était équivalent à environ 8% du PIB total des 27 États de l'UE, représentait plus de 8% du volume total des crédits aux entreprises de ces mêmes États et faisait environ cinq fois la taille du marché européen du crédit-bail.Selon Demica, c'est la première fois que le marché du financement de factures (qui englobe la titrisation des créances, l'affacturage, le financement de la chaîne d'approvisionnement et d'autres techniques de financement adossé aux factures) a été analysé dans sa globalité. L’enquête a regroupé de nombreuses données fournies par des tiers, des représentants des cinquante plus grandes banques européennes ainsi que par des spécialistes du financement de factures et des associations professionnelles de financement de factures. Dans une période où les régulateurs nationaux et internationaux augmentent les exigences de fonds propres des banques, les répondants s'attendent tous à une croissance soutenue de l'ensemble du marché du financement de factures. Au vu de la réglementation les soumettant de façon permanente à des exigences de fonds propres accrues, les banques se sont activement lancées à la recherche de modes de financement plus efficaces pour leurs clients. Du point de vue des clients, le financement de factures offre aux entreprises non cotées PME/TPE un mode de financement abordable car les conditions de crédit sont basées sur le risque du pool de créances. Tous les acteurs interrogés s'accordent à dire que le financement de factures est de plus en plus employé par les banques et les entreprises comme alternative au crédit classique.

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Le suivi des coûts, priorité numéro un des travel managers
25,3 milliards d’euros. C'est le montant total de dépenses prévues par les entreprises en matière de déplacements pros en 2012 selon une étude focus réalisée par Airplus en partenariat avec Epsa. Des dépenses qui se divisent en trois postes : les frais de missions (10,3 milliards d'euros), le transport (8,5 milliards d'euros) et le Mice (6,5 milliards d'euros).Il ressort de cette étude permettant une vision prospective moyen terme de la filière que les principaux défis à relever sont : - Consolider et intégrer des données exhaustives accessibles dans un même outil de reporting ; - Optimiser les budgets (chasse aux coûts) ; - Anticiper une autonomie croissante des voyageurs et de leurs nouvelles habitudes de consommation.

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Pour info...

 

Les PME continuent de subir les retards de paiement des grands groupes
Plus de 70 % des dirigeants rencontrent des difficultés de règlement, parfois étendues jusqu’à 72 jours. Une situation qui impacte directement les petites et moyennes entreprises. « Ces situations sont souvent le fait de grands groupes, qui imposent aux PME de multiples retards de paiement, fragilisant ainsi leur trésorerie », s’insurge Brice Pineau, coprésident de la commission PME-grands groupes de CroissancePlus. La loi de modernisation de l'économie (LME) de 2008, qui fixe le délai de paiement maximum à 45 jours fin de mois ou 60 jours après émission de la facture, ne parvient visiblement pas à éliminer ces abus.Pour soutenir les entreprises, CroissancePlus a, par ailleurs, adressé plusieurs propositions aux pouvoirs publics. L'association recommande de réduire les délais de paiement à 30 jours comme en Allemagne et de reconduire un médiateur des délais de paiement, qui aurait la possibilité de dénoncer et de sanctionner les mauvais payeurs.

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L'AFTM sort un Livre Blanc sur le travel management et le MICE
L'Association française des travel managers vient de publier son quatrième Livre Blanc consacré au métier de travel manager, en partenariat avec AirPlus International. Ce dernier ouvrage aborde plus particulièrement la question de l'ouverture du métier d'acheteur voyages vers l'univers du MICE.

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E-Achat : SAP finalise l’acquisition d’Ariba

 Quatre mois après avoir surpris le marché en dévoilant son offre, pour un montant de 4,3 milliards de dollars (3,4 milliards d’euros), SAP n’aura donc pas été freiné dans sa stratégie. Non seulement les actionnaires et les autorités réglementaires ont aisément donné leur feu vert durant l’été, mais aucun concurrent n’est venu s’interposer, à commencer par Oracle dont une réaction reste attendue. Le succès de l’opération permet ainsi à SAP de rattraper son retard dans le « cloud computing » et de se repositionner dans l’écosystème des logiciels à destination des donneurs d’ordres, mais aussi des fournisseurs. Au-delà de la suite d’Ariba couvrant l’ensemble de la chaîne achats, il met en effet la main sur son « business network » associé à une base référençant quelque 850 000 fournisseurs. SAP souhaite rapidement dépasser la barre du million, notamment en facilitant le raccordement de ses 195 000 clients à travers le monde, au travers de points d’interfaçage pré configurés. Mais également en ouvrant l’Ariba Network au plus grand nombre d’entreprises, quelles que soient leur origine et la nature de leurs systèmes d’information. Toutes les offres de SAP orientées achats-ventes en mode cloud seront consolidées sous la marque Ariba, qui restera une entité autonome. Bob Calderoni, son PDG au moment du rachat, devrait être prochainement nommé au directoire de SAP.

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Ogone finalise l’acquisition de Tunz.com
Ogone, spécialiste des solutions de paiement en ligne, annonce la finalisation de l’acquisition de Tunz.com. Avec le rachat de cet établissement de monnaie électronique, Ogone est en mesure de simplifier considérablement les ventes des e-commerçants français en dehors de l’Hexagone, en leur permettant d'activer des moyens de paiement locaux sans démarches administratives complexes. En outre, ses 35.000 clients vont désormais pouvoir bénéficier de l’expertise de Tunz.com dans le domaine du paiement par mobile.

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Nomination : Bercy confirme deux nouveaux médiateurs

 

Jean-Claude Volot, nommé par l’ancien pouvoir, sera resté 30 mois au poste de médiateur. Ayant décidé de « se démettre de ses fonctions », selon ses propos, pour « rejoindre ses usines », dixit le ministre Arnaud Montebourg, son poste ne sera ni supprimé ni resté vacant longtemps, mieux, il sera même dédoublé. Côté marchés privés, c’est Pierre Pelouzet qui reprend ses attributions. Une promotion « normale » pour celui qui œuvrait déjà au sein de la médiation afin de représenter le point de vue des achats. A ce titre, Pierre Pelouzet se présente aussi comme le coauteur de la Charte des bonnes pratiques, promue par son prédécesseur. Pierre Pelouzet quittera ses fonctions de directeur des achats de la SNCF (depuis 6 ans) ainsi que la présidence de la CDAF (depuis 7 ans), la Compagnie des acheteurs de France, principale association de la profession. Le deuxième médiateur proposé, Jean-Lou Blachier, a un parcours d’entrepreneur. Il est d’autre part vice-président de la CGPME dont il dirige aussi l’antenne de la Seine-Saint-Denis. A noter que, comme Pierre Pelouzet, il fait partie de Pacte PME, l’association qui travaille à la promotion des entreprises idoines auprès des grands donneurs d’ordres. Arnaud Montebourg, en rappelant, selon ses mots, le « travail extraordinaire » de Jean-Claude Volot (36 mauvaises pratiques achats identifiés,300 signataires de la Charte totalisant 400 milliards d’euros d’achat, 689 dossiers reçus, 583 éligibles, 80 % résolus, etc.), a fixé une feuille de route quasi identique à la médiation, comparée aussi à une« bonne agence de notation » : pérenniser et consolider l’action précédemment engagée, offrir un recours gratuit à toute entreprise s’estimant victime de pratiques abusives et contribuer à créer un « écosystème » vertueux. Autrement dit, continuer de diffuser les bonnes pratiques en matière d’achats, faire en sorte que les relations donneurs d’ordres-fournisseurs soient plus équitables, plus solidaires, consolider les échanges entre petites et grandes entreprises, permettre le développement des PME en ETI (Entreprises de taille intermédiaire). Côté marchés publics, le médiateur (sur lequel les ministres ont insisté plus particulièrement) aura pour mission de résoudre les principales difficultés identifiées (délais de paiement notamment) mais aussi de promouvoir auprès des entreprises l’attractivité de la commande publique. Et, là aussi, favoriser l’accès des PME à ces marchés (27 % seulement des marchés attribués à ces entreprises alors qu’elles représenteraient 46 % de la valeur ajoutée marchande). Elles renonceraient souvent par crainte de la complexité. Un spécialiste des appels d’offres devrait d’ailleurs venir compléter l’équipe de la médiation. La passation de pouvoirs et l’entrée en fonction devraient se faire très vite, dès les décrets de nomination signés.

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A vos agendas

 

 

Les Trophées 2012 de la Carte d'Achat

Acheteurs, fournisseurs, vous avez jusqu'au 16 novembre pour déposer vos dossiers

Réglement et dossier de participation

 

 

4ème édition des Etats généraux de la Carte d'Achat

Le rendez-vous annuel des acteurs du marché de la carte d'achat et de la dématérialisation.

10 décembre 2012, Centre de conférence Pierre Mendès-France à Bercy

Accès gratuit -  inscription préalable obligatoire

APECA NEWS

APECA News, une lettre d'information sur la carte d'achat, le marché et ses acteurs,les services associés, en France et en Europe.

 

 

 

 

Association des Professionnels Européens de la Carte d'Achat 79000 NIORT, adresse de correspondance 5 rue Ste Marthe 79000 Niort

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