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  04/01/2011

Apeca BtoB transaction news


APECA BtoB Transaction News novembre-décembre 2010


 

Sphère publique

 

Bonnes pratiques en marchés publics : le best of de l'Etat
Le Service des achats de l'Etat publie une fiche pratique répertoriant « sept leviers fondamentaux simples et très efficaces qui peuvent être utilisés pour des achats performants.Créé en mars 2009, le Service des achats de l'Etat (SAE) a pour mission d'optimiser la stratégie achats de l'Etat, via notamment la massification et mutualisation des achats et la conclusion de marchés et accords-cadres au niveau central. Considérant que la massification est aujourd'hui bien engagée sur de nombreux segments d'achats - ce qui a d'ailleurs suscité pas mal de critiques venant des petites entreprises, s'estimant désavantagées par ces pratiques (lire ici) - , le SAE met aujourd'hui en avant sept bonnes pratiques pour accroître la performance des achats. Les voici :
- n° 1 : Négocier les offres à chaque fois que c'est possible. Pour le SAE, il faut systématiser le recours à la négociation dès que le Code des marchés publics le permet. La négociation permet d'améliorer l'offre d'un point de vue économique mais aussi technique, logistique, environnemental et sociétal. Le processus doit être encadré pour éviter tout risque : pour chaque soumissionnaire retenu pour la phase de négociation, « des objectifs de négociation sont définis et formalisés. A l'issue des phases de négociation, il est demandé à chaque soumissionnaire de la liste restreinte une dernière meilleure offre qui clôture les négociations. »
- n° 2 : Choisir la bonne pondération dans ses critères d'attribution. « Trop souvent estime le SAE, le pouvoir adjudicateur baisse de manière exagérée le poids des critères financiers pour afficher ses exigences qualitatives alors que le degré de qualité attendue d'un prestataire doit se traduire dans le cahier des charges ». C'est pourquoi le service recommande, « autant que possible, de rendre prépondérant le critère financier »... et d'adopter une démarche en coût global.
- n° 3 : Exprimer son besoin au plus juste et ouvrir des variantes.
- n° 4 : Adapter la durée de ses marchés. Cette durée se répercute en effet directement sur le niveau de l'offre tarifaire, explique le SAE. Il conseille ainsi de partir sur une durée de quatre ans pour des achats nécessitant des investissements lourds de l'entreprise, et des durées de un ou deux ans pour des marchés où les tarifs sont volatiles.
- n° 5 : Stimuler la concurrence. Par exemple, au-delà de 4000 euros, l'acheteur veillera à obtenir un nombre suffisant de candidatures, évalué par le SAE à quatre ou cinq. La présence parmi eux de deux nouveaux acteurs à côté des fournisseurs historiques étant un plus...
- n° 6 : Evaluer l'exécution du marché. Une bonne habitude à prendre : « inscrire dans son cahier des charges des demandes d'indicateurs de performance et de relevés d'incidents adressés périodiquement à l'acheteur et aux utilisateurs concernés ».
- n° 7 : Privilégier les prix fermes (le SAE rappelle cependant l'obligation d'insérer une clause de révision de prix pour les marchés de travaux d'une durée supérieure à trois mois dont les fournitures sont soumises à de fortes fluctuations de prix).

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/775320-bonnes-pratiques-en-marches-publics-le-best-of-de-l-etat

 

 

Marchés Publics Electroniques
5 propositions pour encourager les Entreprises à répondre en ligne Dans un an, le 1er janvier 2012, les Acheteurs Publics seront dans l’obligation d’accepter l’offre d’un candidat transmise par Internet pour tous les marchés supérieurs à 90 000 euros HT (transmission par mail ou par le biais d’une plateforme Internet). Bien que différentes échéances aient été fixées depuis 2001 pour généraliser peu à peu la dématérialisation des marchés publics, celle-ci rencontre toujours certains freins, notamment de la part des entreprises. Obstacles techniques, culturels, sécuritaires qui permettent à ce jour de ne comptabiliser que 4,3% de réponses électroniques (chiffres 2009). Les 5 propositions de la CCIP (Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris), pour « dynamiser les candidatures dématérialisées aux marchés publics » :

http://www.achats-collectivites.fr/pages_dnn/bulletin_visu.asp?id=478

 


Dématérialisation des factures : le secteur public a son livre blanc 

B-process, spécialiste européen de la dématérialisation fiscale, le cabinet Taj, spécialisé en stratégies fiscales et juridiques internationales et CDC Arkhinéo, société française d’archivage des données électroniques viennent de publier le livre blanc Dématérialisation des factures : état de l’art et enjeux pour le secteur public en France et en Europe ». La loi de modernisation de l’économie (août 2008) fixe au 1er janvier 2012 l’obligation, pour les services de l’Etat, d’accepter toute facture dématérialisée fiscalement qui lui serait envoyée. Dans ce contexte, ce livre blanc de 62 pages dresse un état des lieux de la situation en Europe et en France. Où en sommes-nous ? Quelles solutions se dessinent ? Quels enseignements tirer des succès et échecs de nos voisins européens ? Dans une première partie, ce livre aborde la facturation électronique en France avant de détailler les situations en Europe dans un second chapitre.

Lien pour télécharger le livre blanc www.b-process.com/fr/formLivre

 

 

Ministère de l´Economie - Fiches de recensement dématérialisées : simplifiez-vous le recensement des marchés grâce à Internet
L’Observatoire économique de l’achat public s’est vu confier, parmi ses missions, la tâche de rassembler et analyser les données relatives aux aspects économiques de la commande publique et, notamment, les données issues du recensement économique des achats publics. Le recensement économique des achats publics est prévu par l’article 131 du code des marchés publics et son décret d’application n° 2006-1071 du 28 août 2006. L’arrêté du 11 décembre 2006 a mis en place le dispositif de recueil obligatoire des données pour les contrats supérieurs à 90 000 Euro HT. Le principe retenu est l'exhaustivité. L'arrêté du 22 octobre 2007 a complété ce dispositif pour le recueil des données des contrats compris entre 4 000 et 90 000 Euro HT. Le principe retenu est une enquête par sondage. L’arrêté du 27 juillet 2009 a relevé cette fourchette aux contrats compris entre 20 000 et 90 000 Euro HT. Périmètre du recensement L’Observatoire économique de l’achat public gère et effectue le recensement économique des marchés et autres contrats d’achat public. Son périmètre comprend donc : les marchés publics au sens du code des marchés publics 2006 et des textes transposant la directive 2004/17 du Parlement européen ; les contrats passés en vertu du décret relatif à certains marchés passés pour les besoins de la défense ; les contrats passés par certaines personnes publiques ou privées non soumises au code ; les contrats de partenariat au sens des divers textes dont l’ordonnance n° 2004-559 du 17 juin 2004 modifiée. Relèvent aussi du périmètre concerné et feront l’objet de dispositions spécifiques, certaines délégations de service public, les baux emphytéotiques et les contrats de concession.

http://www.economie.gouv.fr/directions_services/daj/marches_publics/oeap/recensement/presentation_du_recensement.html

 

 

Les opérateurs de l'État au régime sec
Les opérateurs de l'État doivent se serrer la ceinture. De nouveaux objectifs d'économies et de réductions des coûts ont été annoncés par le ministre du Budget François Baroin à l'occasion de la journée des opérateurs de l'État. Face à un parterre d’acteurs du service public, le ministre du Budget , François Baroin a renforcé lundi les règles de gestion de près de 497 opérateurs publics (Pôle Emploi, Office National des Forêts, ...). Depuis la circulaire du 26 mars 2010, les opérateurs de l’État exerçant une délégation de mission de service public, doivent désormais inscrire leur action dans le cadre de la stratégie globale de maîtrise des finances publiques. Ils bénéficient actuellement d’un financement public important (30 milliards d’euros) et emploient près de 240 000 personnes. Limitation du recours à l’endettement, baisse des dépenses de fonctionnement, réduction des effectifs, ou encore ventes immobilières, ont été énoncées. Ainsi, François Baroin a repris à son compte l'estimation de son prédécesseur Éric Woerth, espérant que cette politique permettra de dégager "un milliard d'économies" sur "les trois années qui viennent", selon la dépêche de l’AFP. La réduction du parc automobile a aussi été annoncée. Il s’élève actuellement à 17.000 véhicules dont environ 10.500 voitures particulières. Les opérateurs doivent réduire le parc de 2750 véhicules. Professionnaliser les achats Le ministre a également souligné sa volonté de professionnaliser les achats. Après une période de diagnostic mené par le service des achats de l’État (SAE) en 2010, une démarche achats sera lancée au premier trimestre 2011 avec les 65 opérateurs ayant le volume d’achats le plus important. Pour cela, un responsable achats disposant des compétences adéquates et placé à un niveau hiérarchique suffisant doit être désigné au sein de chaque opérateur. Les opérateurs ont pour obligation de réaliser leurs achats de véhicules auprès de l’Ugap et de recourir à l’externalisation de la gestion de leur flotte, dans les conditions prévues par le SAE. Enfin, 15 marchés interministériels leur seront mis à disposition aux conditions de l'État (consommables bureautiques, services au bâtiment, véhicules, mobilier, informatique).

http://www.decision-achats.fr/Article-A-La-Une/Les-operateurs-de-l-etat-au-regime-sec-2101.htm?xtor=EPR-3

 

 

 

Carte d'achat/carte de paiement

 

 

 

Les Trophées de la Carte d'Achat 2010

Le 7 décembre à Lyon, lors de la dernière étape 2010 du Tour de France de la Carte d'Achat et de la Dématérialisation,remise des Trophées de la Carte d'Achat. Ont été récompensés le Ministère de la Défense pour l'Etat et le Conseil général de la Mayenne pour le Secteur Public Local , Office DEPOT, le SAE et Lyreco.

Une APECA news spéciale reviendra en détail sur les dossiers de ces différents lauréats courant janvier.

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SlimPay : nouvel établissement de paiement agréé par la Banque de France
SlimPay devient le 1er établissement de paiement agréé par la Banque de France pour les services de paiement de masse tels que le virement et le prélèvement. Cet agrément permet à SlimPay de lancer des solutions de paiement en ligne innovantes, simples et très sécurisées, en exploitant les nouvelles fonctionnalités du virement et du prélèvement européens (SEPA). UNE ETAPE FONDAMENTALE DANS LE DEVELOPPEMENT DE SLIMPAY Créée en 2009 et composée d’ingénieurs en développements informatique et sécurité des réseaux, cette start-up bancaire, fondée par Jérôme Traisnel et Jean-Louis Hoenen qui ont fait leurs preuves dans les technologies de l’internet, est spécialisée dans les solutions de paiement sécurisé. L’agrément définitif délivré par l’Autorité de Contrôle Prudentiel auprès de la Banque de France le 23 novembre 2010, permet à l’entreprise de fournir de nouveaux services et moyens de paiement au même titre que les banques, notamment pour les services 3a) et 3b) mentionnés par l’article L. 314-1 II du Code monétaire et financier. « L’obtention de cet agrément nous permet d’être officiellement considérés comme un établissement de paiement à même de porter nos idées, nos concepts sur la création de produits et services bancaires innovants telle que notre solution de prélèvement par signature électronique de mandat SEPA, ce qui représente une avancée considérable dans le nouvel environnement Européen qui se dessine », se félicite Jérôme Traisnel, Président Directeur Général de SlimPay. La disparition du chèque : un marché estimé à plus de 10 milliards d’Euros en France en 2010 SlimPay entend profiter de la migration vers le virement et le prélèvement européens (SEPA) en cours en France, pour moderniser l’usage de ces moyens de paiement en exploitant leurs nouvelles fonctionnalités dans le cadre de paiements en ligne. En effet, selon la Banque de France, plus de 6 milliards de virements et prélèvements ont été exécutés en France en 2009, pour plus de 21.000 milliards d’euros.
 

http://www.cfo-news.com/SlimPay-nouvel-etablissement-de-paiement-agree-par-la-Banque-de-France_a16770.html

 

  

 

 

 

SEPA

 

 

Bruxelles veut accélérer sur le système de paiement unique SEPA
La généralisation du système de paiement unique en zone euro SEPA (Single EuroPayments Area) doit être accélérée, a estimé jeudi la Commission européenne, qui a transmis une proposition législative en ce sens aux Etats membres de l'UE et aux eurodéputés. Le texte prévoit d'introduire une date limite pour la disparition des actuels systèmes de virement et de prélèvement,fixée respectivement à 12 et 24 mois une fois la nouvelle régulation adoptée. Quelque 20 millions d'entreprises et 500 millions de citoyens sont concernés par cette évolution qui pourrait se traduire dès 2012 de manière concrète par un délai plafonné à un journée ouvrable pour les virements en Europe et une gratuité totale. 'Nous avons un marché unique, beaucoup de pays partagent une monnaie et bientôt nous aurons un système de paiements unique en Europe. Cela veut dire que les paiements transfrontaliers deviendront aussi faciles qu'à l'intérieur des frontières', a déclaré le commissaire au Marché intérieur, Michel Barnier. 'Les consommateurs auront besoin d'un seul compte en banque et leurs paiements seront plus rapides, moins chers et plus sûrs. Les entreprises bénéficieront de règles communes et de procédures plus simples', a-t-il ajouté.

 http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRLDE6BF1CF20101216



 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dématérialisation

 

La Commission européenne souhaite voir la facturation électronique se généraliser d’ici à 2020
La Commission européenne souhaite voir la facturation électronique ('e-facturation') devenir le principal mode de facturation en Europe. Dans sa communication 'Faire profiter pleinement l'Europe des avantages de la facturation électronique', présentée le 2 décembre par son vice-président, M. Tajani, et le commissaire Barnier, elle dévoile un ensemble de mesures concrètes visant à faciliter la généralisation des factures électroniques en Europe. Ce mode de facturation formatée pourrait permettre aux entreprises de raccourcir les délais de paiement, de réduire les risques d'erreur et de diminuer les frais d'impression et d'envoi. Plus important encore, l'e-facturation structurée facilite l'intégration des processus d'entreprise, de l'achat jusqu'au paiement, ce qui signifie que les factures pourraient être envoyées, reçues et traitées sans intervention manuelle. Actuellement, l'envoi et la réception de factures électroniques sont des opérations souvent complexes et coûteuses, surtout entre pays transfrontaliers et pour les PME. La communication de la Commission propose des solutions en vue de lever ces obstacles. Elle est complétée par une décision de la Commission créant un forum multilatéral européen sur la facturation électronique.

http://www.publi-news.fr/data/06122010/06122010-092737.html

 

 

La dématérialisation des procédures de passation des marchés publics 
La Commission européenne encourage depuis toujours l’utilisation des technologies de l’information et des communications dans la passation de marchés publics. Notre analyse montre que, dans les cas où ces technologies sont utilisées, elles accélèrent les achats publics et les rendent plus efficaces, tout en réduisant nettement les coûts inhérents à la participation aux procédures de passation de marché. Nous ne sommes toutefois qu’au début d’un long processus. Une impulsion est nécessaire à tous les niveaux, c’est pourquoi nous allons collaborer avec les gouvernements nationaux pour étendre l’utilisation des marchés publics électroniques. Je suis prêt à faire ma part de travail afin d’exploiter l’énorme potentiel qu’offrent les TIC pour moderniser et simplifier la passation de marchés publics dans l’UE.» Michel Barnier, membre de la Commission chargé du marché intérieur et des services Depuis le 1er janvier 2010, les premières obligations des acheteurs publics liées à la dématérialisation sont entrées en vigueur. La direction des affaires juridiques a publié récemment les résultats d’une enquête sur les premières impressions des entreprises concernant la mise en place de ce processus. La dématérialisation est désormais au cœur de l’actualité de la commande publique.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/14/970100-La-dematerialisation-des-procedures-de-passation-des-marches-publics.html

 

 

 

Dématérialisation : la France prête à traiter les factures électroniques en 2012?

Finalement, rien de tel que la contrainte pour faire avancer les choses. A contre-courant de la vogue de la soft law, c’est la morale de l’histoire de la dématérialisation des factures au royaume du Danemark, telle qu’elle est racontée par B Process, spécialiste de la dématérialisation fiscale, CDC Arkhinéo, filiale de la Caisse des Dépôt pour l’archivage électronique, et le cabinet juridique Taj. Tous trois ont présenté leur livre blanc sur l’état des lieux de la dématérialisation des factures pour le secteur public en Europe, auprès de la presse, ce 14 décembre, à Paris. Au Danemark, donc, « la dématérialisation des factures par le secteur public a eu un effet d’entrainement sur le reste de l’économie » commente Alexis Renard, Pdg de B process. Le projet, qui a démarré en 2003, a mis deux ans à être opérationnel. Depuis 2006, l’état reçoit 100 % de factures dématérialisées de ses fournisseurs. Un résultat obtenu grâce à un dispositif qui articule accompagnement des entreprises, plate forme informatique performante, et… obligation légale. La voie de l’incitation Ce n’est pas la voie qui a été choisie – pour l’instant – en France. Depuis 2009, le législateur ayant donné l’autorisation de « confier à des tiers agréés la conservation d’archives publiques », explique Charles Duboulay, directeur de CDC Arkhinéo, la voie de la facture électronique reste ouverte pour le secteur public. Et l’Etat est entrain d’adapter son système d’information pour être en mesure d’accepter celles de ses fournisseurs, sous la houlette de l’Agence informatique financière de l’Etat. « la LME [loi de modernisation de l'économie, NDLR] a fixé la date du 1er janvier 2012, à laquelle les administrations d’Etat devront être en mesure d’accueillir des factures électroniques » précise Alexis Renard. 2011 sera l’année de la mise en place de l’infrastructure nécessaire. Le système envisagé comprend trois niveaux : les gros fournisseurs enverront leurs factures électroniques dans un format prédéterminé, qui seront directement intégrées dans Chorus, le système comptable de l’Etat. Pour les plus petits fournisseurs, un « tiers concentrateur » servira d’interface entre les entreprises et l’état. Quant aux occasionnels, ils auront la possibilité de saisir leur facture ou de la déposer sur un portail Internet. Un système « assez proche du privé » commente Alexis Renard.L’exemple du secteur privé montre que c’est en passant par une « très forte contrainte » exercée sur ces fournisseurs, que Carrefour, le distributeur, est aujourd’hui très avancé dans la facture dématérialisée. « L’enjeu est majeur pour les donneurs d’ordre. Dans la distribution, une facture peut faire 700 lignes. Quelqu’un doit vérifier chaque ligne. La facture électronique, elle, est transférée dans le système comptable sans saisie supplémentaire, et elle est rapprochée automatiquement de la réception. Le gain en traitement est monumental, même s’il varie d’une entreprise à l’autre », détaille Alexis Renard. Coté PME, en revanche, elles vont vers la facture dématérialisée, « si leurs clients le leur demandent », explique B Process dans sa communication. Dans le privé, « les premiers projets datent de 2005. Aujourd’hui, on en compte une centaine, qui traite environ 130 millions de factures annuelles. Le taux de croissance est très fort, de 40 % », énonce Alexis Renard. Pour le public, conclut–il, « en 2012, l’état sera en mesure de recevoir des factures électroniques. Ce sera un point de départ, Mais pour que cela se diffuse, cela prendra du temps ».

http://www.silicon.fr/dematerialisation-la-france-prete-a-traiter-les-factures-electroniques-en-2012-43449.html

 

 

Dématérialisation des marchés publics : le pionnier e-mégalis récompensé pour sa salle des marchés
La plateforme d'administration électronique e-mégalis Bretagne a reçu le 1er prix des trophées institutions 2010 pour son offre "salle des marchés publics", remis par l'ADEN. L'ADEN (association pour le développement de l'économie numérique) a remis ses premiers trophées à l'occasion de son assemblée générale, le 15 décembre 2010. Ces prix visent à récompenser des entreprises et des institutions membres de l'association pour la qualité d'un produit ou d'un service numérique proposé aux TPE/PME en 2010.
E-mégalis Bretagne a reçu le 1er prix des trophées institutions 2010 pour son offre " salle des marchés publics " : dispositif d'information, de sensibilisation, et de formation des entreprises à l'utilisation de la salle régionale de dématérialisation des marchés publics.
Le syndicat mixte breton a en effet trois missions principales :
- accompagnement (information, sensibilisation, formation),
- achat de services mutualisés,
- soutien d'incubation de projets.
Pour ce faire : réunions thématiques, conférences, ateliers pratiques, formations à la dématérialisation et à l'utilisation de la salle des marchés e-mégalis Bretagne. Des partenariats ont également été conclus afin de disposer, sur le terrain, de relais efficaces auprès des entreprises.A l'horizon 2011, l'objectif d'e-mégalis consiste à poursuivre la dynamique engagée en faveur de la dématérialisation échanges Etat / collectivités et collectivités / Entreprises, conduire la réflexion sur l'urbanisation de la plateforme de services, lancer la procédure d'appel d'offres pour le service d'archivage électronique à valeur probatoire, proposer une offre de services collaboratifs, proposer une offre de service aux citoyens,
Le président du conseil régional de Bretagne, Jean-Yves Le Drian, a rappelé lors de la cérémonie organisée à l'occasion de l'anniversaire d'e-mégalis, l'importance du déploiement du très haut débit. "L'accessibilité numérique me paraît être une des priorités déterminantes pour notre avenir". Objectif : le très haut débit pour tous en 2025 et la fibre optique à l'horizon 2030.

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/775291-dematerialisation-des-marches-publics-le-pionnier-e-megalis-recompense-pour-sa-salle-des-marches



 

 

Etudes

 

 

Les collectivités locales continuent d'investir dans les TIC
Les collectivités locales poursuivent leurs efforts d’investissement dans les TIC, malgré la crise économique et les réformes institutionnelles qui les impactent. C’est ce que constate le cabinet Markess, qui s’est penché sur l’impact des technologies de l’information sur les organisations, et a présentée ses résultats le 3 décembre à Paris. L’étude est basée sur des questionnaires en ligne et des entretiens avec 165 décideurs dans les collectivités locales, ainsi qu’avec une trentaine de prestataires du secteur. Au niveau financier, les dépenses informatiques des collectivités locales qui représentaient 1,9 % de leurs dépenses en 2010. Elles devraient croître de 1 à 5 % d’ici 2012 en fonction du type de collectivité, estime Markess. Elles devraient ainsi passer de 2400 à 2600 millions d’euros. En tête, les villes de moins de 10.000 habitants et les intercommunalités devraient accroitre le plus fortement leurs budgets. A contrario, les départements pourraient voir leurs dépenses baisser. « Les chantiers prioritaires sont de quatre types : ceux de dématérialisation de documents, et les chantiers qui en découlent comme les projets de téléprocédures, d’archivage ou de stockage, ceux de collaboration, avec des intranet, de pilotage de projet, et des SIG », détaille Aurélie Courtaudon, consultante chez Markess, spécialisée dans le secteur public.

http://www.silicon.fr/les-collectivites-locales-continuent-d%E2%80%99investir-dans-les-tic-43284.html

 

 

 

L'observatoire privé des marchés publics une initiative toulousaine
Créée en 2007 et dirigée par Pascal DAVID, la jeune société toulousaine a construit, avec le soutien financier d’OSEO et la société nordiste d’investissement FIMANOR, la première base de données privée sur les achats publics en France et en Europe. Elle est destinée à tous les acteurs de la commande publique en France : acheteurs publics, entreprises, fédérations professionnelles, organismes financiers, chambres consulaires. Elle leur permet de disposer d’une information économique précise et objective. En effet, les données traitées proviennent des listes annuelles de marchés publics, documents administratifs prévus à l’article 133 du code des marchés publics. Ces derniers recensent les marchés passés l’année précédente par l’acheteur public. A ce jour, la base de données recense 800 000 marchés pour un chiffre d’affaires notifié supérieur à 200 milliards d’euros.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/17/972567-L-observatoire-prive-des-marches-publics-une-initiative-toulousaine.html

 

 

 

Étude : un panorama du conseil achats                             Pour la cinquième année consécutive, « La Lettre des Achats » propose un référencement des cabinets de conseil ayant une expertise en matière d’achats. La liste de ces experts est désormais disponible sur le www.lettredesachats.fr. Ce référencement regroupe 72 sociétés allant de 1 à 250 consultants achats, réparties en trois catégories : spécialistes achats, généralistes avec pratique achats et spécialistes de catégories d’achats. Pour chaque acteur, nous détaillons le contenu de son champ d’action : conseil en organisation, optimisation des processus, réduction des coûts,e-achat, achats durables, achats publics ou encore formation coaching. La grande diversité de taille et de positionnement commercial de ces sociétés nous a dissuadés de les classer par chiffre d’affaires. Une donnée que la grande majorité des cabinets de conseil a toutefois accepté de nous fournir, de même que la part de l’activité conseil achats dans ce chiffre d’affaires, l’effectif total et le nombre de consultants achats. Des données qui sont évidemment présentes dans nos tableaux.

http://www.lettredesachats.com/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/47/B6/document_article_web.phtml

 

 

 

 

Pour info…

 

Hôpital américain de Paris : le système d’information achats se refait une santé
Dans le cadre d’un projet plus vaste de modernisation de son système de gestion économique et financière, pour l’adapter aux nouvelles exigences réglementaires et techniques, l’établissement privé franco-américain a engagé une rationalisation de ses outils d’e-achat. « Notre système de gestion financière, basé sur le progiciel BPCS d’Infor, attendait depuis 2006 d’être modernisé en même temps que la mise en place d’une gestion administrative des patients », raconte Sandra Utrera, directeur administratif etfinancier de l’hôpital (98,8 millions d’euros de chiffre d’affaires, 800 salariés). Mais celle-ci s’éternisant, il a été décidé, en 2009, de lancer la refonte. Et de migrer vers une solution intégrée en incluant la gestion des achats dans le périmètre. Car le « système d’information achats avait lui aussi besoin d’une sérieuse remise à niveau du fait de son ancienneté et de son hétérogénéité », poursuit la responsable, qui chapeaute également la direction des achats et de la logistique (3 personnes), en charge des 3,5 millions d’euros annuels d’achats de moyens généraux. L’environnement se composait en effet de quatre logiciels de la suite Computer engineering, exploités par la pharmacie, le bloc opératoire et la direction des achats et de la logistique, et d’une application interne pour l’expression des demandes d’achats généraux.

http://www.lettredesachats.com/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/47/86/document_article_web.phtml

 

 

Atos Origin acquiert la division services informatiques de Siemens
s’être délesté de sa division serveurs en se retirant de la filiale Fujitsu-Siemens formée avec le constructeur nippon, Siemens continue à se départir de ses activités informatiques en se retirant du marché des services et en cédant son activité SIS (Siemens IT Solutions and Services) à Atos Origin. Ce dernier devient ainsi le numéro européen sur un marché qui reste encore relativement fragmenté mais dont la crise économique pourrait contribuer à accélérer la consolidation.
Cette transaction fait d’Atos Origin le champion européen des services et le numéro 7 mondial avec 78 500 salariés présents dans 42 pays et un chiffre d’affaires d’environ €8,7 milliards pour l’année 2010. Ainsi renforcée, Atos Origin gérera l’une des plus grands plates-formes de services managés. La SSII se retrouve ainsi en bonne position pour offrir ses services de cloud computing, l’une des tendances majeures actuelles sur le marché informatique, mais aussi des services d’intégration de systèmes, des activités de paiements et de transactions électroniques. La nouvelle entreprise ainsi formée devrait croître comme le marché en 2011 et générer une marge opérationnelle de 6 %. Le chiffre d’affaires devrait être compris entre €9 et €10 milliards en 2013 (une fourchette plutôt large) et une marge opérationnelle comprise entre 7 et 8%.

http://www.itrmanager.com/articles/113068/atos-origin-acquiert-division-services-informatiques-siemens.html?key=28eb251458c55ce1


 

 

Achats durables : un e-catalogue de fournisseurs gratuit
En ligne et gratuit, l’Ecoguide Greenflex propose de comparer près de 800 produits et services écoresponsables. Une plate-forme d’achats et une place de marché sont également associées. Dans cet écoguide, qui sera régulièrement remis à jour, les fournisseurs peuvent référencer gratuitement leurs offres selon deux niveaux : la recommandation, puis la certification. Pour être recommandée, l’entreprise doit répondre aux critères de respect de l’environnement (labels, certifications, analyse du cycle de vie simplifié, politique RSE) déterminés par les équipes de Greenflex, une société de services en développement durable comptant 30 personnes. Pour être certifiée, elle doit obtenir deux notes supérieures à la moyenne sur sa politique en matière de développement durable (évaluation réalisée par Ecovadis) et sur l’impact écologique de ses produits (apprécié parGreenflex).

http://www.lettredesachats.com/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/47/A2/document_article_web.phtml

 

 

 

Charte des bonnes pratiques grands donneurs d'ordres / PME : et de 128 signataires

Christine Lagarde, ministre de l'Economie, a présidé ce 14 décembre 2010 la troisième vague de signatures de la charte de bonnes pratiques régissant les relations entre grands donneurs d'ordres et PME. En moins d'un an, et trois séries de signatures successives, la charte mise en place par la Médiation du crédit et la Compagnie des dirigeants et acheteurs de France (CDAF) a réuni 128 signatures, émanant de grandes entreprises et de grands opérateurs publics. Ce qui représente un volume d'achats de 360 milliards d'euros ! Aujourd'hui gérée par la Médiation des relations interentreprises industrielles et de la sous-traitance, cette charte comporte dix engagements de bonnes pratiques des donneurs d'ordres envers leurs fournisseurs PME, par exemple : réduire les risques de dépendances réciproques, apprécier le coût total de l'achat, etc (cliquez ici). Aujourd'hui 14 décembre, pas moins de 67 nouveaux donneurs d'ordres ont rejoint le mouvement en souscrivant à la charte. Parmi eux, des acteurs des secteurs bancaire, ferroviaire ou encore informatique. Lors de la cérémonie de signature à Bercy, Christine Lagarde, entourée de Gérard Rameix, médiateur du crédit, de Jean-Claude Volot, médiateur de la sous-traitance, a salué les donneurs d'ordres présents, "pionniers de relations nouvelles entre les entreprises !" "Cette troisième vague est importante et marque une nouvelle étape, a souligné la ministre : la charte s'ouvre à de nouveaux secteurs d'activités, et s'étend au-delà du périphérique, vers Lyon, Marseille... Je souhaite que la démarche gagne tout le territoire."

http://www.lemoniteur.fr/161-marches-prives/article/actualite/774640-charte-des-bonnes-pratiques-grands-donneurs-d-ordres-pme-et-de-128-signataires

 

 

 

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  • Prolongation du Tour de France de la Carte d'Achat

3 villes supplémentaires prgrammées dans les prochaines semaines: Lille, Dijon, Montpellier

 

 Plus d'infos:

 http://tourdefrancecarteachat.com/mat/r/default.asp?id=1040

 

 

  • UGAP EXPO, le rendez-vous de l'achat

Après le succès d'UGAP EXPO à Paris en septembre dernier, l'UGAP, la centrale d'achat public, s'installe à Lyon. Elle donne rendez-vous aux élus et aux acheteurs publics de la région Sud-Est à UGAP EXPO LYON, les 1er et 2 Février 2011 au Centre de congrès.

L'APECA est partenaire de cet événement

Plus d'infos et inscriptions: http://www.ugap.fr/actualite/actualites/agenda/ugap-expo-lyon-2011_5860

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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