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  16/06/2011

Apeca BtoB transaction news


APECA BtoB Transaction News juin 2011


 

Sphère publique

 

 

Les collectivités territoriales paient plus vite que l'Etat
Le rapport annuel de l'Observatoire des délais de paiement a été remis à Frédéric Lefebvre, secrétaire d'Etat aux PME le 3 mai 2011. Cet observatoire, mis en place par la loi de modernisation de l'Economie de 2009, a pour vocation de suivre et d'identifier les difficultés de paiement rencontrées notamment par les petites et moyennes entreprises. Le rapport 2010 identifie 'une nette amélioration des délais de paiement depuis 2007', amélioration qui a eu un 'impact économique crucial sur la trésorerie des PME'. Si les services de l'Etat ont encore des marges de progrès importantes, les collectivités se voient décerner des lauriers par l'Observatoire pour avoir réduit considérablement leur délai global de paiement (DGP). En effet, au 31 décembre 2010, le DGP, toutes catégories confondues (régions, départements, communes, établissements publics de santé, offices publics de l'habitat) s'élevait seulement à 25,2 jours. Les collectivités territoriales utilisant le système informatique Helios, avaient quant à elles, un délai moyen de paiement de 6,2 jours soit bien au-delà de l'objectif national de 7,5 jours. Plusieurs facteurs expliquent cette réussite. Premièrement, le décret n° 2008-1355 de décembre 2008 prévoyait l'alignement du régime des délais de paiement des collectivités territoriales et de leurs établissements publics sur celui applicable à l'Etat. Le DGP est ainsi passé progressivement de 45 jours à 30 jours entre le 1er janvier 2009 et le 1er juillet 2010.

http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250261744312&cid=1250261742159

 

 

Nantes Metropole publie un guide sur l'achat public responsable
Les responsables achats de Nantes Métropole ont annoncé le 5 mai la publication d'un guide sur l'achat public responsable, rédigé avec le concours du centre des jeunes dirigeants (CJD) et intitulé 'Vers la performance globale de la commande publique'. Fruit d'une collaboration de deux ans entre les responsables de Nantes Métropole et la section CJD Nantes Atlantique aura durée deux ans, ce guide se veut un outil opérationnel pour la mise en oeuvre de la performance globale du côté des achats publics. Il dresse une liste de propositions pour mener à bien une politique achats sous l'angle responsable : établir un arbitrage entre différents comportement économiques possibles ou encore établir un lien cohérent entre une démarche RSE et les labels existants. Ce guide marque la volonté du pouvoir adjudicateur de faire avancer la dimension responsables dans l'univers des achats publics. Elle est issue du constat selon lequel les achats publics en France constituent 10 %du PIB national, résultats otbenus d'après une enquête réalisée par l'observatoire des achats responsables( ObsAR). Cette étude révèle également que 90 % des directions achats interrogées sont convaincues de l'intérêt stratégique des achats responsables pour les entreprises comme pour les organismes privés.

http://www.decision-achats.fr/Breves/Nantes-Metropole-publie-un-guide-sur-l-achat-public-responsable-39168.htm

 

 

Le ministère de l'Intérieur expérimente la dématérialisation des procédures
Le ministère de l'Intérieur a choisit CDC Fast, la filliale du groupe Caisse des dépôts et spécialiste de la dématérialisation des procédures administratives, pour le déploiement d'un programme expérimental relatif à la télétransmission des actes budgétaires baptisé Actes. En tout 18 collectivités et établissements publics pilotes ont été sélectionnés par le ministère, dont 11 sont déjà clients de CDC Fast. Se sont donc portées volontaires la communauté urbaine de Bordeaux, Mérignac, Épinay-sur-Seine, Chambéry, Puygros ainsi que plusieurs institutions de Nancy. Le nouveau module Actes budgétaires est un outil d'aide au contrôle budgétaire dématérialisé pour les préfectures et a été mis au point conjointement par la direction générale des Finances publiques. Procédures administratives soumises à un contrôle de légalité, les actes budgétaires des collectivités territoriales font également l'objet de vérification par la Chambre régionale des comptes

http://www.decision-achats.fr/Breves/Le-ministere-de-l-Interieur-experimente-la-dematerialisation-des-actes-budgetaires--39188.htm

 

 

Livre vert sur les marchés publics : la France répond à la consultation
En réponse à la consultation lancée en janvier par la Commission européenne, la France a publié en avril une contribution au 'Livre vert sur la modernisation des marchés publics'. Dans ce texte, elle invite en termes choisis l'exécutif européen à favoriser une relative stabilité de la législation en ce domaine : 'Les autorités françaises considèrent que toute modification de législation applicable aux marchés publics ne pourra être envisagée qu'au terme d'une évaluation juridique et économique précise.' Une position assez proche de celle de la FIEC (Fédération de l'industrie européenne de la construction / Bulletin Européen du Moniteur du 2 mai, p.2). La France appelle également de ses voeux une nécessaire 'cohérence des initiatives'. Elle estime notamment que la question de la passation des marchés publics est indissociable de leur dématérialisation, pour l'instant traitée selon un autre calendrier par l'exécutif européen (BEM du 25 octobre, p.2). De manière générale, elle soutient les propositions de simplification des procédures et d'amélioration d'accès des PME à ces marchés. Elle souhaite également faire de la 'procédure négociée avec publication d'un avis de marché une procédure de passation de droit commun'. En revanche, elle profite de cette consultation pour rappeler qu'elle s'oppose à toute initiative réglementaire de Bruxelles concernant les concessions de services, soucieuse de protéger le régime français.

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/852788-livre-vert-sur-les-marches-publics-la-france-repond-a-la-consultation

 

 

UK: Government offers free public procurement eCourse for businesses
The UK Government's Department for Business, Innovation and Skills (BIS) has launched a free public procurement eCourse for businesses. 'Winning the Contract' was launched in January 2010 and is designed to help businesses learn about public procurement and how to bid for public sector contracts. It introduces businesses to the key procurement processes, including: e-Procurement identifying the advantages and disadvantages of dealing with public bodies; understanding how different types of contracts are defined, advertised and dealt with; understanding approved supplier lists and framework agreements; searching for and finding public sector opportunities; identifying the key stages in the tendering process.

http://www.epractice.eu/en/news/5297223

 

 

Chorus : trois pilotes de facturation électronique lancés
Le progiciel financier de l’État permet désormais la gestion automatique des factures dématérialisées. Orange, l’Ugap et Edibuild France vont la tester dès le mois de mai. Profitant de la conférence du Cleep, le Comité de liaison pour les échanges électroniques professionnels, début mars à Issy-les-Moulineaux, l’Agence pour l’informatique financière de l’État (AIFE) a annoncé que Chorus a été adapté pour permettre l’intégration des factures dématérialisées. Celles-ci s’intégreront directement dans le progiciel financier sans ressaisie de la partdes agents. Deux pilotes démarreront à compter du mois de mai : Orange et l’Ugap échangeront avec les ministères des Finances, de la Défense et du Développement durable. En 2012, les 3 millions defactures envoyées annuellement à l’État par ses fournisseurs seront concernées. Dans le prolongement, l’association Edibuild France de promotion du secteur de la construction a annoncé le lancement d’un pilote defacturation électronique pour les marchés publics de travaux routiers en région Pays de la Loire, également en mai et avec leministère du Développementdurable.

http://www.lettredesachats.com/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/4A/39/document_article_web.phtml

 

 

 

Carte d'achat/carte de paiement

 

 

Western European Commercial Cards Database 
The commercial card market in France, Germany, Italy, Spain and the UK grew from €66.6 billion in 2006 to reach €80.1 billion by 2010, and is forecast to reach €117.7billion by 2015. - The market remains split between small business cards and corporate and purchasing cards. Business cards account for the largest share of the market rising from €38.7 billion (58.1%) in 2006 to €49.9 billion (62.2%) by 2010. The business card market is forecast to grow to €68 billion by 2015, accounting for 57.8% of the total market. - The UK remains by far the largest market for commercial cards, with transaction value in 2010 standing at €33.8 billion, with a CAGR of 4.9%. The UK market is larger than the combined value of France and Germany, which stood at €16.4 billion and €13.9 billion respectively.

http://www.researchandmarkets.com/reportinfo.asp?rfm=rss&report_id=1652284

 

 

Payer en espèce, ce sera bientôt fini
La transposition en France de la nouvelle directive européenne sur les services de paiements est intervenue le 15 juillet 2009. Après plusieurs années d'élaboration avec les 27 États membres de l'Union européenne, poussée par la France, cette directive permet à de nouveaux acteurs de proposer des services innovants dans l'univers des paiements tout en renforçant la protection des consommateurs. La fin d'un certain monopole des banques, un monolithe s'effondre, pour laisser place au « Sepa World », un monde de dématérialisation qui, après l'Internet, remet en cause nos habitudes et certitudes en matière de paiement. Aujourd'hui en France, 10 établissements dont 3 sous conditions suspensives ont été agréés par l'Autorité de contrôle prudentiel. La France montre ainsi son dynamisme et sa créativité même si, dans une culture et un contexte différents, d'autres pays affichent plusieurs dizaines d'établissements de paiements (EP), plus de 80 en Angleterre, plus d'une dizaine en Belgique et autant au Luxembourg. Preuve est ainsi faite qu'un vent nouveau bouscule nos habitudes de paiements physiques, Internet et autres transferts d'argent, une dynamique souffle sur nos réflexes porte-monnaie.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/banque/20110514trib000621759/payer-en-espece-ce-sera-bientot-fini-.html

 

  

Dématérialisation : Carte d'achat professionnelle
Sécurité, réactivité, modernisation, compétitivité dématérialisation. Pour les collectivités publiques comme pour les entreprises privées, la carte d’achat professionnelle se révèle un outil intéressant pour régler les dépenses hors production et optimiser l’ensemble du processus de commande. Malgré son expansionactuelle et ses multiples avantages, ce moyen de paiement reste encore aujourd’hui encore peu utilisé. La faute, en grande partie, à des a priori psychologiques et à un manque d’information. Car passé un certain volume de dépenses annuelles, la carte s’avère extrêmement profitable. Fournitures de bureau, petit outillage, plateaux-repas, pièces détachées pour véhicules… Quoique non stratégiques pour l’entreprise, ces achats récurrents représentent un poids réel : leur coût de gestion peut d’ailleurs s’avérer très supérieur au montant total de la commande. Leur traitement est d’autant plus difficilement maîtrisable qu’ils sont en règle générale éparpillés parmi les services et que les processus papiers sur lesquels ils reposent peuvent représenter jusqu’à 40 % des coûts de gestion de l’entreprise ou de l’entité publique. Un problème sans issue ? Non : sans être un produit miracle, la carte d’achat professionnelle permet d’optimiser et de rationaliser l’ensemble de ces dépenses.

http://www.lenouveleconomiste.fr/dematerialisation-carte-dachat-professionnelle-1873/

 

 

BNP Paribas cash management lance sa carte virtuelle
BNP Paribas cash management lance la carte virtuelle BNP Paribas. Cette dernière vient enrichir la gamme de cartes commerciales existante (carte logée BNP Paribas AirPlus, carte corporate, etc.). À usage unique, cette carte professionnelle entièrement dématérialisée permet aux collaborateurs de payer leurs achats professionnels en vente à distance (VAD) en toute sécurité. Elle bénéficie de la large couverture géographique du réseau Visa et permet d'effectuer tout type de dépenses en VAD, qu'elles soient liées aux voyages d'affaires (location de voitures, nuitées d'hôtels ou billetterie low cost) ou aux dépenses fonctionnelles de l'entreprise.

http://www.decision-achats.fr/Breves/BNP-Paribas-cash-management-lance-sa-carte-virtuelle--38736.htm?xtor=RSS-1

 

  

 

EBICS : une opportunité pour les entreprises de passer à la signature électronique
L’arrêt « définitif » le 30 septembre 2011 du réseau X25-Transpac et du protocole bancaire ETEBAC utilisés par près de 90 000 entreprises : une opportunité pour les entreprises d’optimiser l’organisation de leurs flux bancaires, financiers et de mettre en place de nouvelles normes de sécurité. Très impliquée sur le sujet la FNTC (Fédération Nationale des Tiers de Confiance) livre son analyse, et formule ses préconisations. Du fait de l'arrêt du réseau Transpac de France Telecom en septembre prochain, les entreprises françaises qui utilisent le système ETEBAC (3 ou 5), pour effectuer leurs ordres bancaires, leurs encaissements et recevoir leurs relevés d’opérations, vont devoir passer à un nouveau système plus ouvert et plus moderne. En 2008, le Comité Français d’Organisation et de Normalisation Bancaire a recommandé deux nouveaux protocoles : SwiftNet et EBICS. L’usage de SwiftNet , plus coûteux qu’EBICS, est principalement destiné aux grandes et moyennes entreprises ayant des implantations ou des activités internationales qui leur permettront de rentabiliser ce protocole. Le protocole EBICS, développé au niveau européen et intégré par tous les éditeurs de logiciels de gestion comptable, va s'imposer comme la solution de référence pour une très grande majorité des 90 000 entreprises concernées par la migration, car ouverte, sure, interopérable, avec un coût de mise en place et d’exploitation comparable au protocole ETEBAC. 
 

http://www.fntc.org/content/view/876/48/

 

 

 

SEPA

 

 

Echange de données bancaires : un retard inquiétant des entreprises françaises
Avec l’avènement prochain de l'Espace unique de paiement en euros (SEPA) et la fin programmée du protocole ETEBAC, près de 100.000 entreprises françaises doivent changer leur système d'échange de données bancaires. Mais, à quelques mois de la date butoir, seules 20% d'entre elles ont entamé leur migration. Un constat inquiétant. La télétransmission bancaire est l'outil qui permet à une entreprise de communiquer avec sa banque pour réaliser des opérations sécurisées telles que des virements, des transferts internationaux ou encore récupérer ses relevés de comptes. Elle est assurée depuis les années 1980 grâce au protocole interbancaire ETEBAC, via le réseau de transmission Transpac X.25 de France Télécom. Mais ce système est devenu obsolète avec l’avènement prévue en 2014 du projet SEPA (pour Single Euro Payments Area, espace unique de paiement en euros). L’ETEBAC disparaitra définitivement le 30 septembre 2011. Déjà, il n’est plus commercialisé depuis le 31 juillet 2010.

http://www.cbanque.com/actu/23428/echange-de-donnees-bancaires-un-retard-inquietant-des-entreprises-francaises

 

 

RBS introduces online Sepa direct debit payments
With SEPA Direct Debit origination, organisations no longer require multiple bank accounts or a range of complex payment instruments to make cross border collections across Europe. Over the last 6 months, RBS has worked closely with various clients to bring this solution to the market. Harlands Services Limited are a leading Bacs processing company and have for sometime been seeking expansion opportunities across Europe. Until SEPA, trading in any country other than the UK meant that they would need to adopt the legacy SEPA Direct Debits processing system in each country, which was operationally inefficient and limited business expansion plans. Kevin Scott, Sales Director from Harlands Services Limited says 'SEPA DD now offers us the opportunity to seek numerous clients across the EU; the flexibility will clearly make Harlands stand out in the crowd of Direct Debit providers limited to a single country or legacy platform'.

http://www.finextra.com/news/announcement.aspx?pressreleaseid=39330

 

 

 

EPC launches public Sepa consultation
The European Payments Council (EPC), representing the European banking industry in relation to payments, today launched the annual public consultation on possible modifications to the Sepa Credit Transfer (SCT) and Sepa Direct Debit (SDD) Scheme Rulebooks. The EPC encourages all Single Euro Payments Area (SEPA) stakeholders to provide feedback by 20 August 2011. Updated versions of the SCT and SDD Rulebooks will be published in November 2011 and take effect in November 2012. Going forward, the European Commission seeks broad executive powers to determine payment functionalities. This is set out in the European Commission's proposal for a SEPA Regulation expected to set definitive deadlines for migration to harmonised SEPA payment schemes. The EPC stresses that any future changes to the SEPA Schemes mandated by the European Commission should be based on adequate market consultation and reflect broad consensus among all stakeholders. The SEPA payment schemes as defined in the SCT and SDD Rulebooks developed by the EPC - at the request of European authorities - are key elements necessary to create SEPA. The rulebooks contain sets of rules and standards for the execution of SEPA payment transactions that have to be implemented by payment service providers (PSPs). These rulebooks can be regarded as instruction manuals which provide a common understanding on how to move funds between bank accounts within SEPA. The rules and standards which make up a SEPA payment scheme are defined by PSPs in the cooperative environment that is the EPC. The development of payment schemes through self-regulation by PSPs in close dialogue with customers represents the established pressreleaseid=39348  approach in all national banking communities and in SEPA.

http://www.finextra.com/news/announcement.aspx?pressreleaseid=39348

 

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Dématérialisation

 

 

Facturation électronique - de l'évolution à la révolution 
Les organisations peuvent économiser l'équivalent de 1 à 2 % de leur chiffre d'affaires en remplaçant leurs factures papier et en optimisant les processus associés à ce remplacement. Comparativement aux systèmes traditionnels utilisant le papier, les processus de facturation électroniques et automatiques peuvent générer des économies de 50 à 80 %. En conséquence, la durée d'amortissement des projets de facturation électronique peuvent ne s'élever qu'à six mois. En 2011, environ 5 millions d'émetteurs de factures et 75 millions de destinataires devraient échanger plus de trois milliards de factures électroniques (dématérialisation fiscale de la facture) en Europe. Par le passé, la facturation électronique n'était souvent utilisée que par les entreprises de grande taille et par le secteur public. Aujourd'hui, cependant, un large éventail de solutions efficaces de facturation électronique est disponible à l'intention des entreprises de petite et moyenne tailles, ce qui constitue l'une des raisons des taux de croissance durables et importants, de 30 à 35 %, prévus au cours des années à venir.

http://www.cfo-news.com/Facturation-electronique-de-l-evolution-a-la-revolution-Billentis_a17776.html

 

 

« Coffre-fort numérique » : les PME devraient perdre moins de temps avec l’administration 
Frédéric Lefebvre, secrétaire d'Etat aux PME, a dévoilé 80 mesures pour faciliter la vie des entreprises. En particulier 'un coffre-fort numérique' pour faciliter les relations avec les organismes administratifs. Comment se débarrasser de la paperasserie administrative à l’ère numérique. » Dans le cadre de la conclusion des Assises nationales de la simplification de la règlementation pour les PME, Frédéric Lefebvre a dévoilé le 29 avril une série de 80 mesures. Comme son nom l’indique, l’objectif est de simplifier la vie des entreprises dans les formalités afin qu’elles se concentrent sur leurs cœurs de métier : redondance des informations exigées par les administrations, formalités déclaratives (en matière social ou fiscal), instabilité et complexité de la règlementation. Pêle-mêle, les économies escomptées (« de l’ordre du milliard d’euros pour les entreprises ») concerne la dématérialisation, le droit commercial, le droit social, les procédures fiscales et douanières et les marchés publics

http://www.itespresso.fr/coffre-fort-numerique-les-pme-devraient-perdre-moins-de-temps-avec-ladministration-42530.html

 


 

Les entreprises citent unanimement la facturation électronique comme élément clé pour une meilleure efficacité opérationnelle 
Selon l’enquête indépendante de Basware, premier fournisseur de solutions Purchase-to-pay, intitulée « La facturation électronique : une enquête internationale », 97% des entreprises pensent que l’efficacité de l’utilisation de la facturation électronique les aiderait à être plus performantes. Son adoption est cependant entravée par l’incapacité de proposer aux fournisseurs les outils pour effectuer des transactions électroniques, les obligeant à utiliser des portails multiples. Au cours de cette enquête, 1 373 professionnels de la finance des États-Unis, de l’Europe, des pays nordiques et de l’Australie ont été interrogés dans le but de présenter en détail les taux d’adoption de la facturation électronique, les attitudes envers la proposition et la façon dont ce type de facturation peut aider les entreprises à améliorer leurs relations avec les fournisseurs, et ainsi avoir de meilleurs mouvements de trésorerie, réduire le délai moyen de recouvrement et augmenter leurs fonds de roulement. Même si l’utilisation des factures et des bons de commande électroniques est reconnue comme étant avantageuse, les deux tiers des participants indiquant que cela a un impact positif sur leur entreprise, le taux d’adoption reste cependant encore peu élevé. La plupart des entreprises (56%) reçoivent aujourd'hui moins de 20 % de leurs factures au format électronique sur un mois, et seulement 9% des participants déclarent utiliser la facturation électronique de façon courante. Parallèlement, 93% pensent que la facturation pourrait aujourd'hui être améliorée un peu ou considérablement.

http://www.cfo-news.com/Les-entreprises-citent-unanimement-la-facturation-electronique-comme-element-cle-pour-une-meilleure-efficacite_a17982.html


 

 

Etudes

 

Marchés publics : la dématérialisation vue par les acheteurs

 L'Observatoire économique de l'achat public (OEAP) de Bercy publie dans sa lettre d'avril 2011, les résultats de cette enquête réalisée auprès de 827 acheteurs publics. 337 d'entre eux ont renvoyé un questionnaire complet à l'OEAP. Objectifs de cette enquête : connaître l'opinion et la pratique des acheteurs publics dans ce domaine, dresser un panorama de l'achat dématérialisé, déterminer les aspects de la dématérialisation qui sont les plus utilisés, et comprendre les éventuels freins à son développement. Principaux résultats de l'enquête : 82 % des répondants dématérialisent régulièrement et 11 % occasionnellement. Naturellement, la plupart de 337 réponses proviennent d'acheteurs aguerris en la matière ; le résultat est dès lors peu surprenant. Par ailleurs, la dématérialisation, telle qu'elle est conçue dans le questionnaire, englobe les marchés à procédure adaptée (MAPA), pour lesquels l'utilisation de la signature électronique est facultative. Il ne s'agit donc pas de dématérialisation au sens de l'article 56 du Code des marchés publics (cliquez ici). Toutes pratiques confondues, l'utilisation des modalités de publicité est convergente : les profils d'acheteurs sont très utilisés, même si ce n'est pas obligatoire, c'est-à-dire en dessous de 90 000 euros. Ainsi, observe l'OEAP, la mise 'en ligne sur les sites internet 'institutionnels' des entités semble également constituer un vecteur de mise en concurrence apprécié (30 % d'acheteurs), comme en témoigne la troisième place prise par la publication sur ces sites'.

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/848482-marches-publics-la-dematerialisation-vue-par-les-acheteurs

 

 

 

E-achat : l’analyse des dépenses tire les projets
Selon une étude d’Aberdeen, présentée par l’éditeur Zycus lors d’une réunion achats qui a rassemblé une soixantaine de participants, fin mars à Paris, les projets d’e-achat mettent l’accent sur l’analyse des dépenses. Alors que la moitié des entreprises disposent déjà d’une solution dans ce domaine, plus d’un quart (26 % du total) envisagent de s’en doter d’ici à fin 2011. Parmi les autres segments de l’e-achat proposés dans l’étude, la gestion descontrats et celle de la relation fournisseurs complètent le tiercé des priorités à court terme. Actuellement sous-informatisés, puisque respectivement présents dans seulement 23 et 21 % des entreprises sondées, ces deux segments figurent à l’agenda des déploiements de 24 % des répondants pour cette année. La surprise vient surtout du processus de paiement, qui se place quasiment au même niveau que l’e-sourcing et l’e-procurement : déjà en place dans deux entreprises sur cinq, et prévu en 2011 dans une sur deux. « Alors que lesachats et les paiements étaient gérés par des directions distinctes, ce résultat souligne la nécessaire collaboration transverse au sein des entreprises et l’implication de tous auprocessus », a commenté Arthur Raguette, vice-président en charge du développement commercial chez Zycus. En termes de leviers d’optimisation de la performance de la fonction, la collaboration des équipes achats avec les autres services arrive d’ailleurs en tête des réponses. Y compris sous un angle technique, pour favoriser les échanges et l’accessibilité aux données sur les dépenses, et donc optimiser leur analyse.

http://www.lettredesachats.com/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/4A/32/document_article_web.phtml

 

 

 

 

Pour info…

 

La Cdaf fait un tour de France pour promouvoir les achats responsables

 Faire la promotion des achats durables dans les quatre coins de la France. C’est le challenge qu’a relevé la Cdaf (Compagnie des acheteurs de France) en opérant un véritable tour de l’Hexagone à l’occasion de la Semaine du Développement Durable, organisée du 1er au 7 avril par le gouvernement. « Nous avons d’abord déposé un dossier sur le site du ministère de l’Ecologie. Ainsi, après avoir obtenu les accréditations nécessaires, nous avons pu mener notre périple en nous appuyant sur le label du ministère. Une empreinte forte qui a permis de donner plus de poids à notre démarche », explique Alain Chatenet, président national du groupe d’échange et de benchmark achats responsables et développement durable au sein de la Cdaf. Porter les initiatives en termes de RSE Un tour de France d’une semaine, entre Caen, Lille, Paris, Montbéliard, Lyon, Nice, Toulouse, Nantes et Orléans, qui a permis à Alain Chatenet de communiquer autour de quatre actions ou institutions phares s’inscrivant dans la droite lignée des achats responsables: la charte des bonnes pratiques entre grands donneurs d’ordres et PME, le pacte PME, l’observatoire des achats responsables et la plateforme Pas@Pas dédiée aux achats dans le secteur protégé. « Nous sommes allés dans toutes les villes où la Cdaf dispose d’une antenne. Car notre objectif consistait à porter au niveau régional les grandes initiatives en termes de RSE pour lesquelles la Cdaf milite, aussi bien auprès des acheteurs en région qu’à l’égard de l’ensemble du tissu économique local. Et ce, afin qu’ils puissent bénéficier de toutes les informations utiles en la matière et bien comprendre les enjeux de ces actions».

http://www.decision-achats.fr/Breves/La-Cdaf-fait-un-tour-de-France-pour-promouvoir-les-achats-responsables--38784.htm?xtor=RSS-1

 

 


Le marché de la dématérialisation des paiements reste encore à défricher

(3 questions à Jan Andersson, co-fondateur de Readsoft AB)

Le marché démarre à peine et les perspectives de croissance sont de fait très importantes. Il est clair que nous sommes encore en phase d’évangélisation de ce marché. Les pays scandinaves sont plus avancés dans la dématérialisation des paiements. Viennent ensuite la France et l’Allemagne. Chaque pays a ses particularités qui permettent d’avancer plus vite dans le processus ou au contraire de le freiner. En Suède par exemple les chèques n’existent plus. En France, la loi LME impose de réduire les délais de paiement mais parallèlement l’exigence en matière de sécurité comme l’appel à des tiers certificateurs, dans certains cas, freine les déploiements massifs. Mais la France est très réceptive à l’innovation. C’est elle qui a inventé la carte bancaire à puce et a été le premier pays avec le Minitel à mettre en place la banque à distance. Il n'empêche, les volumes de papiers échangés sont encore colossaux en Europe. Dans la majorité des pays 80% à 90% des factures sont encore envoyées au format papier. Au pays champion de la dématérialisation, la Finlande, la part est de 50/50 entre le papier et les formats électroniques. Ce qui montre encore le chemin à parcourir pour arriver au zéro papier. Le marché est donc encore à défricher !

http://www.eachats-infos.com/info_article/m/40/-le-marche-de-la-dematerialisation-des-paiements-reste-encore-a-defricher-.html#top_article

 

 

EU: PEPPOL and the European Commission: First electronic transaction in production
On 17 May 2011, two invoices were sent by a British telecommunications' provider using the PEPPOL* Infrastructure and were successfully received in production by the European Commission, Directorate-General for Informatics (DIGIT). The provider in question has been sending electronic invoices to DIGIT since 2009 using the e-PRIOR solution. e-PRIOR is a service-oriented platform, developed by DIGIT, allowing suppliers to exchange with the European Commission and its Institutions standardised eProcurement documents via a secured communication channel. An open-source version of e-PRIOR, called Open e-PRIOR is freely available to the Member States and can be implemented in any public administration. PEPPOL is an EU-funded initiative aiming at implementing an infrastructure based on common standards to enable EU-wide public eProcurement. DIGIT has developed a PEPPOL Access Point to allow the exchange of the e-PRIOR documents through the PEPPOL network. For instance, electronic invoices sent by the supplier can be transferred through the PEPPOL Access Point to e-PRIOR, which is connected to the customer back-office. The same Access Point is embedded in Open e-PRIOR.

http://www.epractice.eu/en/news/5305705

 

L'ONU choisit Factea Durable pour mener une étude sur l'impact de l'achat public responsable
Le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) vient de retenir le cabinet de conseil Factea Durable pour mener une étude sur les politiques d’achats publics durables dans les pays développés, en voie de développement ou en transition. « L’objectif de cette enquête est de démontrer, à travers huit études de cas, l’impact positif de l’achat public durable dans ces pays, bien évidemment d’un point de vue environnemental et social mais également au niveau économique, par exemple vis-à-vis des marchés fournisseurs, indique Pierre Ravenel, directeur de Factea Durable. Les cas recensés devront être facilement reproductibles, de manière à donner envie à toute entité publique dans le monde de facilement mettre en place une politique d’achats plus responsables. » Les résultats de cette enquête sont attendus pour septembre 2011. Le PNUE entend ensuite mener une campagne de communication où seront mis en avant les huit exemples recensés par Factea Durable. Des entités publiques qui deviendront ainsi des références en matière d’achats publics durables à travers le monde.

http://www.decision-achats.fr/Breves/L-ONU-choisit-Factea-Durable-pour-mener-une-etude-sur-l-impact-de-l-achat-public-responsable--39462.htm?xtor=RSS-1

 

Dématérialisation des marchés 
MPF, filiale du groupe européen EBP, et acteur de référence dans l’accompagnement global en marchés publics pour les sociétés, annonce le lancement de son module « Démat », lui permettant d’offrir aux entreprises françaises une solution complète de réponse aux appels d’offres par voie uniquement électronique.

http://www.categorynet.com/communiques-de-presse/informatique/dematerialisation-des-marches-publics-20110505157585/

 

 

DOD : la dématérialisation de documents pour tous !
DOD. C'est le nom d'une nouvelle ofgfre de dématérialisation de documents initiée par Itesoft, en partenariat avec Oseo (qui a accordé une aide de 10,5 millions d'euros au projet), Sagemcom et l'équipe Read du Loria. Le projet « DOD » a été développé afin d'accélérer la généralisation de la dématérialisation des documents et de faire tomber les dernières barrières liées à son adoption au sein des TPE/PME et des collectivités. Et ce, grâce à une grande simplicité de mise en œuvre et d’utilisation (paramétrage extrêmement simple, pas de phase d’installation, aucun achat de serveurs ou d’ordinateur dédié, …) et à une grille de tarifs en ligne avec les besoins de cette cible.

http://www.itrmanager.com/articles/117611/dod-dematerialisation-documents.html

 

 

EADS : projet mondial de dématérialisation
Le groupe d’aéronautique, spatial et défense, qui a réalisé 31,5 milliards d’euros d’achats en 2009 pour 42,8 milliards de chiffre d’affaires, s’apprête à démarrer la dématérialisation fiscale à l’échelle internationale avec l’opérateur B-Process.

http://www.lettredesachats.com/services/lda_web/derniere_heure/e-docs/00/00/4A/38/document_article_web.phtml

 

 

 

 

 

 

A VOS AGENDAS

  • 3ème édition des Etats généraux de la Carte d'Achat - 23 septembre

Organisée par la Direction Générale des Finances Publiques et l'APECA, Centre de conférence Pierre Mendès France 

  

Infos et inscriptions à partir du 21 juin :

../r/default.asp

 

 

  • Les Salons Solutions 2011 du 4 au 6 octobre

Toutes les applications pour la gestion de l'entreprise, CNIT Paris La Défense 

 

 Plus d'infos et inscriptions: http://www.salons-solutions.com/

 

 

 

APECA NEWS

APECA News, une lettre d'information sur la carte d'achat, le marché et ses acteurs,les services associés, en France et en Europe.

 

 

 

 

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