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  13/02/2012

Apeca BtoB transaction news


APECA BtoB Transaction News février 2012


 

Sphère publique

 

 

Le RESAH-IDF et l'UGAP signent une convention de partenariat
Cette convention, indiquent les deux parties dans un communiqué commun, prévoit la mise en place de conditions tarifaires minorées au profit des adhérents du réseau, sur des segments qu'il ne couvre pas, via des groupements de commandes ou en qualité de centrale d'achat. Cette convention devrait aussi permettre l'ouverture d'un espace privatif de visualisation de l'ensemble de ces offres et de commande en ligne sur le site Internet de l'UGAP à destination des adhérents du RESAH-IDF. L'organisation de réunions d'information est également prévue afin de présenter aux établissements membres du réseau les offres de la centrale d'achat. Par ailleurs, les deux organismes souhaitent développer des initiatives conjointes dans les domaines des acquisitions spécifiques au secteur médico-social, mais aussi des achats de produits ou de solutions innovantes. Cette collaboration, qui s'inscrit dans le cadre du programme Performance hospitalière pour des achats responsables (PHARE), devrait aussi permettre au RESAH-IDF et à l'UGAP de porter une « attention particulière aux offres émanant des entreprises ayant le statut de PME ou d'entreprise de taille intermédiaire (ETI) ».

http://www.weka.fr/actualite/sante-thematique_7850/le-resah-idf-et-l-ugap-signent-une-convention-de-partenariat-article_69002/

 

 

Répondre par voie électronique aux marchés publics : Mise à jour du guide
Ce guide présente étape par étape comment répondre par voie électronique sur les différentes plateformes de dématérialisation. Chaque étape est illustrée par une capture d'écran permettant aux entreprises d'effectuer correctement leur dépôt électronique. Les modifications portent principalement sur les nouvelles ergonomies des différentes plateformes de dématérialisation (achatpublic.com, e-marchespublics.com, klekoon) et également sur les nouvelles fonctionnalités comme sur marches-publics.gouv.fr

http://www.marchespublicspme.com/actualite/3895/

Dématérialisation du recensement de l'achat public
Le Ministère vient de publier une note informant que le recensement des marchés publics de manière dématérialisée entre en vigueur progressivement à partir du 1er janvier 2012. Ces fiches permettront de faciliter le travail de recensement de l'OEAP et de dégager des informations plus fiables sur le volume et la nature des marchés publics passés. Désormais grâce au système CHORUS, les données utiles au recensement sont directement récupérées par le logiciel. Espérons que ce nouveau mode de fonctionnement permettra également d'automatiser et de faciliter l'accès aux recensements des marchés publics pour les entreprises. En effet, il est encore laborieux, en tant qu'entreprise, de récupérer ces informations qui peuvent s'avérer indispensable.

http://www.marchespublicspme.com/actualite/3898/

 

 

Marchés publics : n’oubliez pas les nouveaux seuils au 1er janvier 2012
A compter du 1er janvier 2012, les seuils de procédure formalisée des marchés publics sont relevés. Le décret du 30 décembre 2011 a relevé, avec effet au 1er janvier 2012 jusqu’au 31 décembre 2013, les seuils applicables aux marchés passés en application du Code des marchés publics ou par les pouvoirs adjudicateurs et entités adjudicatrices non soumis au Code des marchés publics, aux contrats de partenariat et aux concessions de travaux publics. A compter du 1er janvier 2012, les seuils de procédure formalisée des marchés publics sont relevés à : - 130.000 € HT pour les marchés de fournitures et de services de l’Etat (au lieu de 125 000 euros HT actuellement); - 200.000 € HT pour les marchés de fournitures et de services des collectivités territoriales (au lieu de 193 000 euros HT) ; - 400.000 € HT pour les marchés de fournitures et de services des entités adjudicatrices et pour les marchés de fournitures et de services passés dans le domaine de la défense ou de la sécurité (au lieu de 387 000 euros HT) ; - 5.000.000 € HT pour les marchés de travaux (au lieu de 4 845 000 euros HT). Le décret modifie également le Code général des collectivités territoriales afin d'aligner sur le seuil de procédure formalisée applicable aux marchés de services passés par les collectivités territoriales, à savoir 200 000 € HT, le seuil à partir duquel les marchés et accords-cadres passés par ces collectivités et leurs établissements publics sont obligatoirement transmis au représentant de l'Etat dans le département pour contrôle de légalité..

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/871000-marches-publics-n-oubliez-pas-les-nouveaux-seuils-au-1er-janvier-2012

 

 

Envoyer des factures dématérialisées à l'Etat , mode d'emploi
Le Journal Officiel a publié aujourd'hui un arrêté réglementant l'envoi de factures dématérialisées aux administrations d'Etat et ainsi destinées à être traitées dans le PGI Chorus. Il est notamment pris en application du décret du 22 décembre 2011 relatif aux conditions d'acceptation par l'Etat des factures émises pour ses fournisseurs sous forme dématérialisée. Cet arrêté prévoit deux modes de transmission des factures : le mode flux et le mode portail. D'autres modes ne sont pas absolument interdits mais doivent obtenir un double accord préalable un, métier, du directeur général des finances publiques et l'autre, technique, du directeur du service à compétence nationale responsable du Systèmes d'information budgétaire, financière et comptable de l'Etat (autrement dit : le système Chorus). Le mode portail passe par un site web lié au système Chorus. Il est destiné à des envois ponctuels de factures avec saisie manuelle des données d'accompagnement dans les formats XML UBL INVOICE ou CII-UNCEFACT. La production des factures dans ces formats peut être confiée à l'Etat dans le cadre d'un mandat de facturation à partir de données saisies en ligne. Le portail permet de suivre l'état du traitement des factures déposées (et, ainsi, notamment, anticiper une date de paiement) et stocke celles-ci durant dix ans. La connexion au portail se fait par un simple couple identifiant/mot de passe.

http://www.distributique.com/actualites/lire-envoyer-des-factures-dematerialisees-a-l-etat-mode-d-emploi-17609.html

 

 
L'Armée engagée pour des achats responsables

Avec un budget de fonctionnement annuel de près de 17 milliards d'euros, le Ministère de la Défense et des Anciens Combattants est l'un des premiers postes de dépense de l'Etat. A ce titre, il a engagé diverses actions pour que ce budget soit utilisé de manière la plus responsable possible. 'La proportion d'achats dits responsables a augmenté de manière significative ces dernières années, passant de seulement 2 millions d'euros en 2008 à plus de 30 millions d'euros en 2011, et ce chiffre est bien sûr appelé à augmenter', lance Jean Bouverot, directeur de la mission Achats au ministère. A l'occasion du troisième colloque de l'ObsAR sur les achats responsables, l'Armée a officialisé plusieurs accords avec différents partenaires industriels et institutionnels. Jean-Paul Bodin, Secrétaire Général pour l'administration du ministère de la Défense et des Anciens Combattants, a commencé la journée par signer un accord avec Bertrand Munch, préfet, secrétaire général de préfecture de Paris et directeur de la Maison de l'Emploi de Paris. Par cet accord, lequel le ministère s'engage à inclure des clauses sociales dans les futurs contrats d'appel d'offres. 'Cet engagement de l'Armée devrait se révéler être un important levier pour faciliter l'insertion sociale, car il incitera les entreprises attributaires à favoriser le retour à l'emploi et l'embauche des personnes handicapées ou sans qualification', explique Alain Gachet, directeur adjoint de la maison de l'emploi de Paris. Les problématiques liées à l'environnement n'ont pas été oubliées, le ministère étant le premier consommateur d'énergie de l'Etat. Jean-Paul Bodin a signé plusieurs accords visant à fixer les orientations de la politique d'économies d'énergie dans des domaines tels que le bâtiment ou les infrastructures réseau.

http://www.usinenouvelle.com/article/l-armee-engagee-pour-des-achats-responsables.N167271?xtor=RSS-215&utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+a-la-une+%28Usine+nouvelle+-+A+la+une%29

 

 

 

Optimisation des achats publics : après les ministères, au tour des opérateurs de l’Etat 
Valérie Pécresse, ministre du Budget, a donné le 9 janvier le coup d’envoi d’ « Aïda ». Un nom d’opéra, comme dans « opérateurs » de l’Etat, pour ce programme qui vise à professionnaliser leurs achats et réaliser 10 % d’économies d’ici 2014. L’idée est simple : appliquer aux opérateurs de l’Etat les méthodes qui ont permis une baisse significative du montant des achats des ministères depuis 2009. Valérie Pécresse a dressé en quelques chiffres le bilan du programme mené par le Service des achats de l’Etat (SAE) : - un périmètre de 6,5 milliards d’euros d’achats ; - 500 millions d’euros d’économies déjà réalisées depuis 2009, et « le milliard sera atteint d’ici fin 2013 » ; - des marchés mutualisés dans 4 grands secteurs : informatique, prestations immobilières, prestations intellectuelles, et fournitures et prestations générales. L’accès des PME à la commande publique a été préservé, estime la ministre, malgré les craintes exprimées face à la massification des achats. Elle cite un exemple : « en 2011, des marchés d’entretien des appareils de chauffage climatisation ont été passés dans sept régions. Sur 44 lots, 20 ont été attribués à des PME, soit 50 %. » Le SAE n’aurait pas non plus fait l’impasse sur le développement durable, « la quasi-totalité des marchés passés en 2011 ayant inclus une clause ou des critères d’insertion sociale »

http://www.lemoniteur.fr/165-commande-publique/article/actualite/871279-optimisation-des-achats-publics-apres-les-ministeres-au-tour-des-operateurs-de-l-etat

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L'État économise 500 millions d’euros grâce aux achats groupés
La mutualisation d’une partie des achats des ministères a réduit la facture de 500 millions d’euros entre 2008 et 2011. Le 9 janvier, la ministre du Budget, Valérie Pécresse, réunissait les responsables des 70 principaux établissements publics pour les inciter à adopter une démarche similaire, afin de réduire de 10 % leurs achats d’ici 2014. La rationalisation des achats, ça marche et ça peut rapporter gros. C’est, en substance, le couplet qu’a entonné, le 9 janvier, Valérie Pécresse devant les responsables des achats des 70 principaux établissements publics de l’État. Identifiés dès 2006 comme un gisement d’économies potentiel par un audit de Bercy (cliquez ici pour télécharger l’audit), les achats des ministères sont aujourd’hui en partie mutualisés grâce au service des achats de l’État (SAE), créé en 2009 et dirigé par Jacques Barrailler. La ministre du Budget n’a pas été avare d’éloges envers le directeur venu du groupe d’aluminium Alcan : "Vous aviez pour objectif de réaliser 1 milliard d’euros de gains en trois ans sur les achats courants. Or, dès 2011, près de 500 millions d’euros ont été constatés et le milliard sera atteint en 2013." Le résultat s’explique par des mutualisations dans quatre grands domaines : l’informatique, les prestations immobilières, les prestations intellectuelles et les fournitures. La méthode a permis de dégager 23 % d’économies sur les imprimantes (soit un gain de 60 millions d’euros), 46 % sur le stockage de données informatiques (- 8 millions d’euros) ou 60 % sur la téléphonie mobile (- 7 millions d’euros). Le parc automobile de l’État a été réduit de 6 500 véhicules et devrait encore être aminci de 4 500 véhicules d’ici 2013 grâce à l’externalisation de sa gestion. Problème : cette mutualisation des achats interdit-elle aux petites et moyennes entreprises de répondre à des marchés publics devenus gigantesques ? Non, répond Valérie Pécresse, qui insiste sur un accompagnement spécifique des PME et le recours à l’allotissement chaque fois que possible. En 2011, sur 44 lots de marchés d’entretien de chauffage, 20 ont ainsi été attribués à des PME.

http://www.acteurspublics.com/article/09-01-12/500-millions-d-euros-economises-grace-aux-achats-groupes

 

 

 

 

Carte d'achat/carte de paiement

 

 

Le marché des moyens de paiement en pleine ( r) évolution

Le marché des moyens de paiement est en plein bouleversement sous l’effet des évolutions réglementaires (Sepa, DSP, directive monnaie électronique 2, loi Lagarde…) et des nouvelles technologies. Elles impliquent une reconfiguration totale du marché de l’avis des experts de Xerfi-Precepta. Tous les maillons de la chaine sont impactés. Les modèles économiques traditionnels sur les cartes bancaires et privatives sont en effet remis en cause par la baisse programmée des tarifs et des commissions. Dans le même temps, les nouvelles solutions de paiement – issues des nouvelles formes de commerce comme la vente en ligne et le commerce sur téléphone mobile – sont favorisées. Celles-ci nécessitent d’autres savoir-faire et créent de nouveaux avantages concurrentiels. Le leadership des groupes financiers en question Elles peuvent être proposées par des établissements de paiement venus d’horizons divers, tous agréés par la Banque de France. C’est d’ailleurs la question même du leadership des groupes bancaires qui est aujourd’hui posée face à l’arrivée de ces nouveaux établissements de paiement non bancaires (opérateurs télécoms Google, distribution…) et dont les compétences clés (technologie, téléphonie mobile) représentent des atouts certains sur le segment des moyens de paiement du futur. C’est d’ailleurs sur le segment des nouveaux moyens de paiement que l’émergence de nouveaux modèles économiques est la plus frappante. Les nouvelles technologies et le marché des moyens de paiement Et les enjeux sont colossaux. Le marché français des moyens de paiement représente en effet plus de 16 milliards de transactions correspondant à plus de 24 000 milliards d’euros en valeur. Car si les cartes bancaires restent encore le principal moyen de paiement sur Internet, 21% des acheteurs en ligne utilisent d’ores et déjà la solution de micropaiement Paypal (filiale d’e-Bay). Quant aux opérateurs télécom, ils bénéficient également de coûts d’acquisition de clients particuliers moindres (guichets clients, agents) et d’avantages technologiques… 

http://www.cfo-news.com/Le-marche-des-moyens-de-paiement-en-pleine-r-evolution_a21031.html

 

 

Citi gets green light to launch credit cards in China
Citi is set to become the first non-Asian bank to issue credit cards in China after getting approval from the country's regulator. The US bank expects its local unit to start offering both retail and commercial cards later this year following an okay from the China Banking Regulatory Commission. The decision makes Citi only the second foreign bank, after Hong Kong's Bank of East Asia, entitled to issue credit cards. China normally requires outside banks to co-brand with local players and to process payments through China UnionPay. Stuart Eizenstat, former deputy Treasury secretary under President Bill Clinton told Bloomberg that the Citi concession is likely a response to last year's decision by the World Trade Organisation to investigate a US complaint about access to China's market.

http://www.finextra.com/news/fullstory.aspx?newsitemid=23393

 

 

 

SEPA

 

 

L'impact de la normalisation SEPA sur les applications 
La mise en oeuvre de l’harmonisation des règles et moyens de paiement définis dans le cadre du projet SEPA (Single Euro Payments Area) est plus que jamais d’actualité. Or ce nouveau standard européen utilise des formats d’échange qui sont incompatibles avec les standards actuels, ce qui nécessite de remettre à plat les modalités d’échanges interbancaires (banque < banque) et d’échanges électroniques (banque < entreprises). SEPA : ce qui va changer Actuellement, comme le protocole bancaire ETEBAC s’appuie sur le réseau Transpac X25 et sur des formats de fichiers fixes, les utilisateurs doivent migrer vers des solutions de remplacement tant au niveau des protocoles réseaux & des protocoles d’échange que du format du message : - utiliser le réseau TCP/IP au lieu du réseau X25 qui ne sera plus supporté en juin 2012, - migrer vers les protocoles d’échanges EBICS ou SWIFTNet pour répondre aux enjeux SEPA et remplacer ETEBAC, - intégrer les formats de fichiers définis par SEPA pour traiter les virements, les prélèvements et les paiements par carte bancaire. 

http://www.infodsi.com/articles/127585/impact-normalisation-sepa-applications-jean-marie-barathe-directeur-general-syspertec.html

 

 

 

Le SEPA : la fin des temps ! - SVP
Il est prévu pour 2012 la mise en place d'un règlement ' end-date ' fixant une date-butoir unique mettant ainsi fin à la cohabitation des outils SEPA (virement SCT et prélèvement SDD) et des outils nationaux. L'adoption naturelle des outils SEPA par les usagers de la zone euro étendue n'aura donc pas eu lieu L'obligation d'une migration contrainte Mis en place le 28 janvier 2008, le virement SEPA ou SCT représente en septembre 2011, 21,10% des virements européens. Il était prévu qu'il atteigne la ' masse critique ' en termes de volume (75% des virements) et d'usagers (50% des usagers) pour devenir obligatoire. L'horizon 2012 avait été évoqué pour cette migration. Mis en place le 1er novembre 2010 avec 10 mois de retard, le prélèvement SEPA ou SDD représente 0,1% des prélèvements de la zone euro en septembre 2011. Ce démarrage qualifié de confidentiel en Europe, et d'extrêmement marginal en France (0,01% des volumes en octobre 2011) rend utopique l'idée d'une migration naturelle aboutie à l'horizon 2013. Dans ces conditions, les organisateurs nationaux ont eu gain de cause contre les dogmes de la Commission européenne et du Parlement européen qui refusaient l'intervention politique dans le plan de migration.

http://www.svp.com/article/le-sepa-la-fin-des-temps-100004182 

   

 

 

 

 

 

 



Dématérialisation

 

 

La dématérialisation devra être acceptée pour certaines offres
Pour pousser les acheteurs publics à œuvre en faveur de la dématérialisation, depuis le 1er janvier, le ministère de l'Economie les contraint à accepter les plies électroniques pour les achats d'un montant supérieur à 90 000 euros HT, dès lors que le candidat a choisi ce mode de transmission. Peu importe l'objet du marché, l'acheteur public a donc l'obligation d'accepter de recevoir toutes les candidatures et offres qui lui sont transmises par voie électronique, sans pouvoir imposer le papier. Cette note va considérablement faciliter les démarches des entreprises, notamment du BTP, qui avaient parfois des milliers de pages à transmettre pour candidater. Elle va également inciter les collectivités à s'équiper en matériel informatique ou à mutualiser leurs moyens avec d'autres collectivités publiques

http://www.territorial.fr/PAR_TPL_IDENTIFIANT/7848/TPL_CODE/TPL_HYPERBREVE_FICHE/PAG_TITLE/La+d%E9mat%E9rialisation+devra+%EAtre+accept%E9e+pour+certaines+offres/803-actualite.htm


 

La facturation électronique B2B en hausse de 20 % en 2011
L'augmentation des taux d’adoption s'explique en partie par des mesures législatives visant à passer à la facturation électronique obligatoire ou à renforcer la valeur des formats électroniques. Il convient de noter les changements suivants : Le Mexique a défini de nouvelles conditions légales et a exigé des entreprises qu'elles adoptent la facturation électronique si la valeur de la facture excède un certain montant ou si l'entreprise possède un chiffre d’affaires supérieur à 4 millions de pesos mexicains (environ 270 000 €) ; L'Allemagne, les pays nordiques et le Benelux ont introduit une législation modérée visant à encourager l'utilisation de la facturation électronique, même si l'adoption par une majorité des entreprises s’est faite de manière pragmatique au vu des avantages de l'automatisation ; En 2010, le trésor public finlandais a exigé que les agences et institutions publiques ne reçoivent de leurs fournisseurs que des factures au format électronique ; Le département américain du trésor a annoncé que, d'ici la fin de l'exercice fiscal 2012, les Bureaux du Trésor devraient adopter la facturation électronique dans le cadre de la campagne de réduction des coûts lancée par le président Obama, qui vise à améliorer l'efficacité de l’administration et à réduire les frais pour les contribuables ; En 2012, la Grèce, le Kazakhstan, la Norvège et l'Espagne et d’autres mettront en place une réglementation obligatoire en matière de facturation électronique.

http://www.cfo-news.com/La-facturation-electronique-B2B-en-hausse-de-20-en-2011_a21138.html

 


Simplifier les télé-procédures au service des entreprises
En réponse à la volonté des pouvoirs publics d’accélérer les simplifications dans les entreprises, le GIP-MDS (Groupement d’intérêt public Modernisation des déclarations sociales) et le Conseil Supérieur de l’Ordre des Experts-Comptables ont souhaité s’associer. Objectif : faciliter et généraliser les télé-procédures des entreprises. Un partenariat qui s’inscrit dans la lignée de la loi Warsmann Fort de plus de 2,4 millions d’entreprises inscrites, le portail net-entreprises.fr, porté par les organismes de protection sociale réunis au sein du GIP-MDS, a été construit autour d’un objectif central : faire gagner les entreprises, en temps, en praticité et en sécurité. Le Conseil Supérieur de l’Ordre des Experts Comptables, quant à lui, a développé le portail jedeclare.com permettant la dématérialisation et la transmission des déclarations fiscales et sociales ainsi que les données bancaires d’un 1,7 million d’entreprises sur les 2,2 millions d’entreprises qu’accompagnent les experts-comptables.

http://www.cfo-news.com/Simplifier-les-tele-procedures-au-service-des-entreprises_a21313.html

 

 

Le consortium européen Peppol choisit la solution de traitement de facture électronique de Seres
Le consortium européen Peppol, représenté par le groupement d'intérêt public Atedef en France, a retenu la solution de l'éditeur Seres, filiale de Docapost et de la société Bull, pour le traitement des factures électroniques pour l'ensemble des marché publics européens. L’Adetef, groupement d’intérêt public pour la coopération internationale des ministères de l'Economie, du Budget et du Développement durable qui représente le programme européen des marchés publics Peppol en France, a lancé un appel d’offres pour connecter les acheteurs et fournisseurs français au réseau sécurisé du dit programme. Seres, la filiale de Docapost et de Bull , a été retenue pour créer un point d’accès, le relier à la plate-forme de factures Chorus et offrir de nouveaux services d’échanges numériques aux entreprises françaises et européennes, tels que la facture électronique. La solution proposée par Seres pour Peppol a été élaborée dans une logique ASP permettant de passer outre les obstacles liés à l’incompatibilité des systèmes de gestion, de gérer de manière sécurisée 100% des factures, d’optimiser les processus, d’automatiser l’intégration et le traitement des factures quel que soit le support utilisé..

http://www.decision-achats.fr/Breves/Le-consortium-europeen-Peppol-choisit-la-solution-de-traitement-de-facture-electronique-de-Seres-43460.htm?xtor=RSS-1

 

 

 


Etudes

 

Conjoncture • L'étude eAchats 360°
Sixième étude consécutive pour eAchats-Infos, et 3ème réalisée en mode "360°" avec l'IMA de l'Université Leonard De Vinci. Cette nouvelle mouture consacre un certain "réalisme" alors que, jusque-là, les offreurs de solutions et de conseils comme leurs clients - directions achats - semblaient sur un petit nuage, portés par une croissance inoxydable, encore augmentée d'une appétence à la modernisation. Qu'en est-il aujourd'hui ? Réponses. eAchats 360° : Du côté de l’offre Editeurs (63%), sociétés de conseil spécialisées en achats et en technologie eAchats(25%), place de marché, opérateur tiers, spécialiste de la carte achats (12%)... le panel 2012 des répondants à la 6ème enquête conduite via un formulaire de la mi-novembre à la mi-décembre 2011 comprend 24 des principaux acteurs présents sur notre territoire. En dépit de la forte dynamique constatée ces précédentes années autour de la modernisation des directions achats, et donc du marché des outils et services, (on parle par exemple de croissances de l’ordre de 27,5% en CA et de 29% en nombre de projets, en 2009), l’accumulation des années de crise appelle à des prévisions plus «réalistes », même si on est encore à des niveaux (+ 8% CA ; + 17% projets) qui font rêver le reste des acteurs du logiciel et des services qui, eux, selon Syntec numérique, prévoient... + 1% de CA sur 2012 .

http://www.eachats-infos.com/info_article/m/105/letude-eachats-360°.html#top_article

 


 

Achats responsables : un enjeu de taille dans le public et le privé
La majorité des acteurs privés et publics s'engagent désormais dans une démarche d'achats responsables. Tel est l'enseignement principal d'une étude réalisée par l'Obsar et délivrée lors d'un colloque. Une bonne nouvelle même si des progrès restent encore à faire. En matière d’achats responsables, il faut passer à la vitesse supérieure. Car on ne sortira pas de la crise actuelle sans un véritable changement de nos habitudes de consommation ». L’ancien ministre Michel Barnier, aujourd’hui commissaire européen au marché intérieur, n’y est pas allé par quatre chemins pour qualifier l’enjeu que représente désormais l’achat professionnel responsable lors du troisième colloque de l’Obsar (Observatoire des achats responsables), organisé le 23 janvier dernier. Des progrès à confirmer Un rendez-vous fédérateur qui a permis de faire le point sur l’évolution de telles pratiques aussi bien dans le secteur public que privé. « Et les progrès en la matière sont notables, même s’ils doivent encore être confirmés » a rappelé Pierre Pelouzet, président de la Cdaf (Compagnie des acheteurs de France) et directeur achats de la SNCF, en se référant aux résultats du baromètre 2011 de l’Obsar délivrés à l’occasion de ce colloque. Premier enseignement tiré par ce baromètre : la quasi-totalité des structures publiques (91 %) et pas moins de 82 % des entreprises privées ont désormais mis en place une politique d’achats responsables, des résultats largement en hausse par rapport à l’an dernier. « Si les grandes entreprises privées sont désormais aussi performantes en la matière que les acteurs publics, des marges de progrès non négligeables s’imposent toutefois encore parmi les PME et au sein du secteur industriel », note Jacques Schramm, président de l’Obsar.Plus grande maturité dans le public Signe que les achats responsables restent plus matures dans le public que dans le privé, ils constituent une priorité pour 77 % des organisations publiques contre seulement 45 % des entreprises privées. Les motifs de mise en place d’une telle politique se conjuguent au pluriel : respecter la réglementation et des normes (76 % pour le public contre 48 % pour le privé), valoriser l’image de l’entreprise, privilégier une démarche de qualité globale, etc. Preuve que les acheteurs bénéficient régulièrement de formation en matière d’achats responsables, 81 % des répondants estiment être dotés d’un niveau de connaissance suffisant en la matière.

http://www.decision-achats.fr/Breves/Obsar-43880.htm?xtor=RSS-1

 

 

 

Pour info…

 

 

 

UniHA lance son site destiné aux fournisseurs

Le nouvel espace internet d'UniHA facilite l'accès des entreprises à la commande publique, notamment en les informant des projets d'achat dès leur phase d'étude.Toutes les entreprises ont la possibilité de s’inscrire en ligne afin d’être notifiées des nouveaux projets à l’analyse ou des procédures publiées par UniHA dans leurs secteurs d’activité. Elles peuvent également entrer en contact direct, par mail, avec les responsables des différents marchés. Ce site permet de mieux découvrir le groupement UniHA et ses filières d’achats, être informé des projets d’achats groupés d’UniHA,s’inscrire sur la plateforme, se faire connaître des équipes achats de leur domaine d’activité, être automatiquement informé, par mail, des évolutions sur les filières et segments que chacun peut librement sélectionner en créant son profil, simplifier l’accès des entreprises de toute taille à la commande publique.

http://www.decision-achats.fr/Breves/UniHA-lance-son-site-destine-aux-fournisseurs-44203.htm?xtor=EPR-3&XType=XTM&isn=09/02/2012

 

 

Une enquête destinée aux PME/TPE

L’Observatoire des Achats Responsables se donne comme principal objectif de fournir aux TME/PME/PMI des informations disponibles et des outils pour développer une politique d’achats responsables en harmonie avec leurs clients, les acheteurs et en direction de leurs propres fournisseurs. Très représentatif du monde des entreprises (CJD, CGPME, ACFCI, APCMA, ORSE, AFNOR...), le groupe de travail souhaite améliorer la relation entre donneurs d’ordre et fournisseurs responsables au-delà de la taille, faciliter l’accès aux marchés et limiter les critères discriminants.Un questionnaire simple, en ligne, permettra de mesurer le niveau de maturité des PME/TPE en matière de RSE (responsabilité sociale de l'entreprise) et de fournir dans un deuxième temps un guide et des outils simples et adaptés. Il s'inspire en bonne partie de l'enquête menée par la CCIR Nord Pas de Calais et Réseau Alliance, que nous remercions à nouveau pour leur collaboration.

http://www.surveymonkey.com/s/monentrepriseRSE

 

 

 

Les délais de paiement s'allongent selon CroissancePlus
73% des entreprises subissent un allongement des délais de paiement de leurs clients. Et les entrepreneurs ne sont pas plus optimistes pour les mois à venir : 79% pensent que les délais de paiement vont continuer à se dégrader. Tels sont les enseignements principaux d'une étude flash réalisée par l'association CroissancePlus auprès de ses 350 entrepreneurs.CroissancePlus propose donc la création d’un médiateur des délais de paiement pour que les PME puissent dénoncer les mauvais payeurs et que des sanctions soient infligées rapidement. Le président de CroissancePlus enverra également une lettre ouverte aux pouvoirs publics, relayée aux dirigeants des entreprises du CAC 40 et du SBF 120, dans les prochains jours, pour leur demander de faire respecter les délais de paiement dans chacune de leur entreprise.

http://www.decision-achats.fr/Breves/Les-delais-de-paiement-s-allongent-selon-CroissancePlus-43243.htm?xtor=EPR-3&XType=XTM&isn=05/01/2012

 

 

 

 

A VOS AGENDAS

 

 

  •   12 mars 2012: 'Achats hospitaliers et dématérialisation: quelle place pour la carte d'achat?'

Un colloque organisé par l'APECA et la Direction Générale des Finances Publiques

Programme et inscriptions:

../r/default.asp?id=1024

 

 

  • 20-21 mars 2012: UGAP EXPO

Le rendez-vous des acteurs publics

L'APECA est partenaire de cet événement

Programme et inscriptions:

http://www.ugap.fr/ugap-expo-nantes-2012-preparez-votre-visite_37270.html

 

APECA NEWS

APECA News, une lettre d'information sur la carte d'achat, le marché et ses acteurs,les services associés, en France et en Europe.

 

 

 

 

Association des Professionnels Européens de la Carte d'Achat 79000 NIORT, adresse de correspondance 5 rue Ste Marthe 79000 Niort

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L'APECA  est créée le 4 avril 2003. Nous sommes une association d’acteurs économiques et entités publiques engagés autour d’un même objectif, la Performance des Achats Publics.


achatpublic.info

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